Déjà le nom : un fail. Et le traitement qu’en font les actualités télévisées de l’époque. Petite grammaire du frisson maîtrisé. Musique — l’expertise protège — la presse en référence — les enquêteurs cernent les douilles — le poste de tireurs / le poste de radio — madame constate / monsieur se fait panser — tout est sous contrôle mais rien n’est pas grave — les fêtes, pardon les FAITS — minute infographie — sonorisation déléguée à l’ingénieur vestern — les voitures ONT passé — les conjurés ont détalé — le gros index dans son pansé : c’est peu gravement — futur, pas de narration, mais prophétique : on examinera, le travail sera fait — il y a miracle, on peut le dire comme ça.
Et si on fait apparaître la transcription de la video, les “sous-titres automatiques” générés par youtube sont confondants : “l’attentât”. C’est bien, c’est les années 60. Jamais nous ne revivrons ça. Le poème de la transcription vaut le coup d’œil :
juste dans l’absolu le tir les enquêtes continuent
si inutile que le vtt