Il s’est révélé que parmi les employés que je paye à la journée, certains, peu scrupuleux, n’accomplissent pas le travail d’une journée méritant une journée de salaire, et qu’ils ne remplissent pas leur devoir, qui est de travailler de toutes leurs forces à la croissance légitime de mes intérêts (par quoi ils atteignent les objectifs pour lesquels ils sont payés). Certains ont prétendu à une sorte de droit à musarder, estimant que leur cadence et leur habileté les autorisaient à travailler moins d’heures que les autres. D’autres, particulièrement insensés, ont visiblement cru qu’il suffisait de faire acte de présence sans…