Dans une description littéraire ou ordinaire on va d’un mot à l’autre, et l’homme ordinaire tout comme le littérateur se persuade qu’entre les objets se déploie un espace plus ou moins intéressant, plus ou moins pauvre et inoffensif, connu ou prévisible, vide, neutre, disparate. L’incident se produit, et parfois la pensée avec, quand un objet ou un être se met à faire quelque chose, et qu’alors peut-être entre deux objets ou êtres, entre un objet et un être, etc., un lien s’établit, que l’insignifiant signifie soudain. Il est souvent possible de raconter ce qui arrive de manière plus ou moins…
Parce que le travail est odieux, l’aventure illusoire, on veut réduire le malheur du temps, rien de plus naturel. Parce qu’il échoue, redouble le mal en esquivant la souffrance, le Pfuscher 1 inscrit dans les choses une déprédation : individuelle, elle signe une dépravation ; sociale, elle s’efface dans l’économie. Être des confins politiques, mercenaire sans romanesque, le Pfuscher vous inflige sa marque un jour ou l’autre. Ce qu’au fond il recherche par n’importe quels moyens, voire par l’intelligence la plus acérée, une immense tendresse, c’est proprement vous estropier. Le monde résonne si mal du bruit de ses pas ! À l’origine de…