Le comportement mimétique lui-même, par lequel les œuvres hermétiques luttent contre le principe bourgeois selon lequel tout doit avoir une utilité, s’en fait complice par l’apparence du pur en-soi auquel même ce qui le détruit par la suite n’échappe pas. Si aucun malentendu idéaliste n’était à craindre, on pourrait appeler cela la loi de toute œuvre et on approcherait ainsi de la légalité esthétique ; le fait qu’elle devienne analogue à son propre idéal objectif, nullement à celui de l’artiste. La mimésis des œuvres d’art est ressemblance en soi. Univoque ou ambiguë, cette loi est établie par les bases même de toute œuvre ; toute œuvre, en vertu de sa constitution, ne peut faire autrement. Les images esthétiques se distinguent ainsi des images cultuelles. Par l’autonomie de leur forme, les œuvres d’art s’interdisent de s’incorporer l’absolu comme si elles étaient des symboles.
Die mimetische Verhaltensweise selbst, durch welche die hermetischen Werke gegen das bürgerliche Füranderessein angehen, macht sich mitschuldig durch den Schein des reinen An sich, dem auch, was ihn dann zerstört, nicht entrinnt. Wäre kein idealistisches Mißverständnis zu befürchten, so dürfte man es das Gesetz eines jeden Werkes nennen, und käme damit der ästhetischen Gesetzlichkeit recht nahe : daß es seinem eigenen objektiven Ideal – keineswegs dem des Künstlers – ähnlich wird. Die Mimesis der Kunstwerke ist Ähnlichkeit mit sich selbst. Jenes Gesetz wird, ein- oder mehrdeutig, vom Ansatz eines jeglichen Werkes gestiftet ; ein jegliches ist, vermöge seiner Konstitution, darauf verpflichtet. Damit scheiden sich die ästhetischen Bilder von den kultischen. Kunstwerke verbieten sich durch Autonomie ihrer Gestalt, das Absolute in sich einzulassen, als wären sie Symbole.