Comparez : sou­te­nez notre volon­té, décou­vrez notre objec­tif, consul­tez notre peuple. Comparez : pour­sui­vons notre sélec­tion, contac­ter notre entre­prise, connaître notre ter­ri­toire. Comparez : consul­tez notre ter­ri­toire, amé­lio­rer notre avis, pour­suivre notre entre­prise. Comparez : ren­for­cez notre asso­cia­tion, pro­té­geons notre avis. Comparez : visi­tez notre corps, sou­te­nez notre dis­po­si­tion, par­ta­ger notre avis. Comparez : pré­ser­vons notre pro­jet, télé­char­gez notre his­toire, sau­ve­gar­der notre clien­tèle. Comparez : consul­tez notre pays, pro­té­geons notre vie, pré­ser­vons notre pla­nète. Comparez : conti­nuons notre savoir-faire, main­te­nons notre volon­té. Comparez : pour­sui­vons notre époque, par­ta­ger notre entre­prise, sou­te­nez notre posi­tion. Comparez : déve­lop­per notre iden­ti­té, défen­dons notre asso­cia­tion, ren­for­cez notre dis­po­si­tion. Comparez : visi­tez notre sys­tème, contac­ter notre envi­ron­ne­ment, décou­vrez notre volon­té. Continuer

N’établit pas de rela­tions avec les autres.
Ne situe pas les objets par rap­port à soi.
N’accepte pas les contraintes col­lec­tives.
Ne joue pas son rôle dans les acti­vi­tés.

N’accepte pas de par­ti­ci­per à des acti­vi­tés motrices col­lec­tives.
Ne classe pas des objets par la matière, l’aspect et la fonc­tion.
N’éprouve pas de la confiance en soi.
N’utilise pas les objets à bon escient.

À par­tir de situa­tions vécues, n’observe et ne nomme pas des ani­maux et des végé­taux de l’environnement proche.
Ne pré­sente pas le corps humain avec la seg­men­ta­tion élé­men­taire.
N’exécute pas des tâches simples en pré­sence de l’adulte.
Ne rem­plit pas un plan­ning heb­do­ma­daire.

N’écoute pas.
Ne coopère pas avec ses par­te­naires en éla­bo­rant une stra­té­gie.
Ne qua­li­fie pas même avec l’aide du maître.
Ne nomme pas les prin­ci­pales par­ties du corps humain et leur fonc­tion.

Ne prend pas conscience de ses cinq sens dans des situa­tions variées.
Ne se repère pas sur la frise de la mati­née.
Ne dis­tingue et ne nomme pas les organes des sens.
N’éprouve pas de la satis­fac­tion dans la réus­site.

Ne com­pare pas des quan­ti­tés.
Ne décrit pas.
Ne coopère pas.
Ne dis­tingue pas les cinq sens et leur fonc­tion.

Ne met pas les organes des sens en rela­tion avec leur fonc­tion.
Ne recon­naît pas dif­fé­rents lieux de l’école pour s’y dépla­cer.
Ne per­çoit pas les chan­ge­ments d’état.
N’utilise pas.

Ne recon­naît pas.
Ne nomme pas des objets fami­liers.
Ne recon­naît pas des mani­fes­ta­tions de la vie ani­male et végé­tale.
Ne mime pas des émo­tions ou des états extrêmes.

Ne per­sé­vère pas en vue de pro­gres­ser.
N’aide pas.
Ne se repère pas et ne se déplace pas dans l’espace.
Ne situe pas dif­fé­rentes acti­vi­tés de la jour­née.

N’écoute pas, ne mime pas et ne mémo­rise pas des jeux de doigts et des comp­tines.
Ne nomme pas et ne situe pas les prin­ci­pales par­ties de son corps (membres, arti­cu­la­tions, organes sen­so­riels).
Ne situe pas des évé­ne­ments les uns par rap­port aux autres.
À par­tir de situa­tions vécues ou de docu­ments variés, n’identifie pas et ne repré­sente pas les grandes fonc­tions (loco­mo­tion, nutri­tion, crois­sance, repro­duc­tion) et le cycle de vie.

À par­tir de situa­tions vécues ou de docu­ments variés, ne nomme pas.
Ne mime pas des sen­ti­ments.
N’utilise pas le voca­bu­laire tem­po­rel (hier, demain, le nom des jours, des mois).
N’apprend pas à par­ta­ger un espace, un objet.

Ne recon­naît pas.
Ne res­pecte pas l’espace de la page.
N’adapte pas ses dépla­ce­ments à des envi­ron­ne­ments ou contraintes variés.
N’exprime pas des sen­ti­ments et des émo­tions par le geste et le dépla­ce­ment.

Ne met pas en rela­tion des ani­maux et leurs petits.
Ne classe pas en fonc­tion de la matière.
Ne recon­naît pas.
Ne recon­naît pas.

Ne relie pas les mani­fes­ta­tions de la vie ani­male et végé­tale à de grandes fonc­tions : crois­sance, nutri­tion, loco­mo­tion, repro­duc­tion.
Ne trie pas.
Ne repère pas les carac­té­ris­tiques des matières (cou­leur, forme, tou­cher).
Ne nomme pas ses gestes.

Ne recon­naît pas.
N’accepte pas de jouer avec l’autre.
N’utilise pas de repères dans la jour­née, la semaine et l’année.
Ne des­sine pas un rond, un car­ré, un tri­angle.

Ne situe pas dif­fé­rentes acti­vi­tés de la mati­née.
Ne situe pas et ne repré­sente pas les dif­fé­rentes par­ties d’un ani­mal ou d’un végé­tal ne met pas en rela­tion les ani­maux et les végé­taux avec leurs milieux.
Ne des­sine pas.
N’identifie pas et ne tient pas deux rôles dif­fé­rents dans un jeu col­lec­tif.

N’aide pas l’autre à réa­li­ser une tache simple.
N’établit pas des clas­si­fi­ca­tions simples des êtres vivants.
Ne res­pecte pas les autres ni les règles de la vie com­mune.
Ne s’oriente pas de manière auto­nome dans dif­fé­rents lieux moins fami­liers.

Ne nomme pas et ne situe pas les prin­ci­pales par­ties de son corps (tête, buste, bras, jambes).
Ne maî­trise pas ses réac­tions.
Ne dénombre pas les absents.
Ne rela­ti­vise pas l’erreur.

Ne connaît pas et n’applique pas quelques règles d’hygiène du corps, des locaux, de l’alimentation.
N’utilise pas le voca­bu­laire (main­te­nant, hier, demain).
Ne s’engage pas dans un jeu col­lec­tif en res­pec­tant les règles.
N’utilise pas le voca­bu­laire adé­quat (sur, sous, dans, loin, près).

Ne devient pas capable de choi­sir les outils et maté­riaux adap­tés à une consigne ou une inten­tion de créa­tion.
N’ose pas s’engager dans des actions nou­velles.
Ne coopère pas en petit groupe dans le cadre d’un jeu.
Ne com­pare pas.

Ne pro­duit pas, seul ou à deux, un mou­ve­ment en réponse à une sol­li­ci­ta­tion (sonore, visuelle).
Ne s’oppose pas dans un corps à corps en res­pec­tant l’adversaire.
Ne range pas et ne classe pas des matières, des objets selon leurs qua­li­tés et leurs usages.
Ne nomme pas les dif­fé­rentes par­ties de son corps et leur fonc­tion.

Ne com­plète pas une col­lec­tion.
Ne nomme pas « matin, après-midi ».
Ne s’engage pas.
Ne nomme pas.

N’a pas mémo­ri­sé et ne sait pas inter­pré­ter des chants, des comp­tines.
Ne réa­lise pas les actions motrices de base (dépla­ce­ments, équi­libres, mani­pu­la­tions) dans des acti­vi­tés spon­ta­nées.
N’identifie pas les adultes et leur rôle.
Ne tient pas un rôle dans un jeu col­lec­tif en iden­ti­fiant ses par­te­naires et ses adver­saires.

Ne nomme pas.
Ne com­bine pas plu­sieurs actions motrices.
Ne dis­tingue pas ce qu’il a fait de ce qu’il a appris.
Ne situe pas les objets les uns par rap­port aux autres.

N’identifie pas haut et bas.
N’observe pas.
Ne prend pas en compte et ne res­pecte pas l’autre.
Ne scinde pas filles et gar­çons, niveaux.

Ne prend pas conscience de ses gestes.
Ne contrôle pas ses émo­tions.
Ne dénombre pas une quan­ti­té en uti­li­sant la suite orale des nombres connus.
Ne repère pas un dan­ger et ne le prend pas en compte.

Ne résout pas des pro­blèmes por­tant sur les quan­ti­tés.
Ne réflé­chit pas à la pré­hen­sion per­ti­nente des outils les plus usuels.
Ne prend pas conscience de la notion de quan­ti­té : un peu, beau­coup, pas du tout.
Ne se repère pas sur la frise de la jour­née.

Ne com­pare pas : plus, moins, autant (lan­gage).
Ne constate pas les effets pro­duits.
N’accepte pas de par­ti­ci­per à des acti­vi­tés de contact cor­po­rel direct.
N’exécute pas des tâches simples en auto­no­mie.

Ne constate pas les effets pro­duits.
Version « je » (& affir­ma­tives) :
J’établis de rela­tions avec les autres.
Je situe les objets par rap­port à moi.
J’accepte les contraintes col­lec­tives.
Je joue son rôle dans les acti­vi­tés.

J’accepte de par­ti­ci­per à des acti­vi­tés motrices col­lec­tives.
Je classe des objets par la matière, l’aspect et la fonc­tion.
J’éprouve de la confiance en moi.
J’utilise les objets à bon escient.

À par­tir de situa­tions vécues, j’observe et je nomme des ani­maux et des végé­taux de l’environnement proche.
Je pré­sente le corps humain avec la seg­men­ta­tion élé­men­taire.
J’exécute des tâches simples en pré­sence de l’adulte.
Je rem­plis un plan­ning heb­do­ma­daire.

J’écoute.
Je coopère avec mes par­te­naires en éla­bo­rant une stra­té­gie.
Je qua­li­fie même avec l’aide du maître.
Je nomme les prin­ci­pales par­ties du corps humain et leur fonc­tion.

Je prends conscience de mes cinq sens dans des situa­tions variées.
Je me repère sur la frise de la mati­née.
Je dis­tingue et nomme les organes des sens.
J’éprouve de la satis­fac­tion dans la réus­site.

Je com­pare des quan­ti­tés.
Je décris.
Je coopère.
Je dis­tingue les cinq sens et leur fonc­tion.

Je mets les organes des sens en rela­tion avec leur fonc­tion.
Je recon­nais dif­fé­rents lieux de l’école pour m’y dépla­cer.
Je per­çois les chan­ge­ments d’état.
J’utilise.

Je recon­nais.
Je nomme des objets fami­liers.
Je recon­nais des mani­fes­ta­tions de la vie ani­male et végé­tale.
Je mime des émo­tions ou des états extrêmes.

Je per­sé­vère en vue de pro­gres­ser.
J’aide.
Je me repère et je me déplace dans l’espace.
Je situe dif­fé­rentes acti­vi­tés de la jour­née.

J’écoute, je mime et mémo­rise des jeux de doigts et des comp­tines.
Je nomme et je situe les prin­ci­pales par­ties de mon corps (membres, arti­cu­la­tions, organes sen­so­riels).
Je situe des évé­ne­ments les uns par rap­port aux autres.
À par­tir de situa­tions vécues ou de docu­ments variés, j’identifie et je repré­sente les grandes fonc­tions (loco­mo­tion, nutri­tion, crois­sance, repro­duc­tion) et le cycle de vie.

(ETC) Explication à Tous sur le Comportement (PTC) Prescription à Tous sur le Comportement (DC) Demande à Tous sur le Comportement (RTC) Réprobation à tous sur le com­por­te­ment (FTC) Félicitations à Tous sur le Comportement (MTP) Menace à Tous de Punition (PT) Punition à Tous (ETT) Explication à Tous sur la Tâche (PTT) Prescription à Tous sur la Tâche (FTT) Félicitations à Tous sur la Tâche (RTT) Réprobation à Tous sur la Tâche (QTT) Question à Tous sur la Tâche (FBPTT) Feed-back Positif à Tous sur la Tâche (DTJ) Demande à Tous de Jugement (DTT) Demande à Tous sur la Tâche (DIC) Demande Individualisée sur le Comportement (PIC) Prescription indi­vi­dua­li­sée et publique sur le Comportement (CDNC) Constat Descriptif Négatif indi­vi­dua­li­sé et public sur le Comportement (FBNC) Feed-back Négatif indi­vi­duel et public por­tant sur le Comportement (MP) Menace indi­vi­dua­li­sée et publique de Punition (P) Punition (EIC) Explication Individualisée et publique sur le Comportement (FBPC) Feed-Back Positif indi­vi­dua­li­sé et public sur le Comportement (FC) Félicitations indi­vi­dua­li­sée et publique sur le Comportement (EITB) Evaluation Individualisée publique sur la Tâche à réponse Brève (PIT) Prescription Individualisée et publique sur la Tâche (EIT) Explication Individualisée et publique sur la Tâche (CDNT) Constat Descriptif Négatif indi­vi­dua­li­sé et public sur la Tâche (FBNT) Feed-back Négatif indi­vi­duel et public por­tant sur la Tâche (FBPT) Feed-Back Positif indi­vi­dua­li­sé et public sur la Tâche (FIT) Félicitations indi­vi­dua­li­sée et publique sur la Tâche (DIT) Demande d’Information sur la Tâche (MIP) Message Individualisé Privé (S) Silence de l’enseignant (T) Transition (Br) Brouhaha (LM) Lève la main (PQ) Pose une Question à l’enseignant (RCC) Réponse Conforme aux règles du seg­ment et Correcte par rap­port à la tâche (RCI) Réponse Conforme aux règles du seg­ment et Incorrecte/Imprécise par rap­port à la tâche (MPPC) Message Positif des­ti­né aux Pairs et Conforme aux règles du seg­ment (MNPC) Message Négatif des­ti­né aux Pairs et Conforme aux règles du seg­ment (CACI) Comportement Académique Conforme aux règles et Isolé (COPE) Comportement Oppositionnel et Provocateur à l’égard de l’Enseignant (LME) Lève la Main avec Exclamation (E) Exclamations (COPP) Comportements Oppositionnels et Provocateurs adres­sés posi­ti­ve­ment aux Pairs (COPN) Comportement Oppositionnel et Provocateur adres­sé néga­ti­ve­ment aux pairs (A) Agression (D) Déplacement (COPI) Comportement Oppositionnel et Provocateur Intrusif (COPD) Comportement Oppositionnel et Provocateur de Distraction

Assez de phé­no­mènes. Si on n’avait pas de rivières et pas d’eau, com­ment est-ce qu’on ferait pour boire, pour laver ? Pourquoi se lever puisqu’on se cou­che­ra ? Pourquoi se laver puisqu’on se sali­ra ? Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils conte­nir une pen­sée ? Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Comment la parole, qui est un bruit, peut-elle trans­por­ter la pen­sée ? Pourquoi y a‑t-il du monde ? Que fait-on dans le pay­sage ? Pourquoi y a‑t-il des arbres, des bêtes ? Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vou­loir. Je ne suis qu’une machine ; je dois faire des efforts pénibles pour res­ter quelqu’un. Mon esto­mac est com­plè­te­ment inerte. La masse ali­men­taire remue comme dans un sac. Tout le temps que j’ai l’estomac plein. J’ai les membres bri­sés et mes yeux se sont reti­rés dans mon crâne. Je ne pense qu’à mon esto­mac, c’est dans mon esto­mac que réside toute ma vie. On n’a jamais vu de fou qui se croie fou. Pourquoi les mes­sieurs n’ont-ils pas de robe ? Je suis seule­ment près de moi, je ne suis pas en moi. Je vais encore par­tir sans avoir rien su dire. Toutes mes idées sont là quand je rentre chez moi. Ne t’épuise pas à te chan­ger ; tu vas mou­rir. Je crois que je vous ai tout dit, et pour­tant je n’ai rien dit de l’essentiel. Si je voyais des gens faire la même chose que moi, je les enver­rais en pri­son. Regardez mes yeux, vous ver­rez qu’ils sont éga­rés. Le scru­pule est la forme jus­ti­ciable du doute. Chacune de mes pen­sées est un nid de péchés. Pourquoi y a‑t-il du monde ? Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vou­loir. Je vais encore par­tir sans avoir rien su dire de ce que j’avais à dire. Je ne sais plus croire ni savoir. Comme un man­teau de fatigue qui tombe sur mes épaules. Si elles se croyaient vrai­ment scru­pu­leuses, ces âmes seraient bien­tôt gué­ries. D’un péché l’honnête omis­sion n’empêche pas la rémis­sion. J’ai le cœur pur, puisque j’ai des scru­pules. Les com­plexions lym­pha­tiques, froides et mélan­co­liques, sont un ter­rain très propre à pro­duire cette sorte d’épines. Comment se fait-il qu’il y ait des éclairs, un soleil, com­ment se fait-il qu’il fasse jour ou nuit ? Assez de phé­no­mènes. Assez de phé­no­mènes. Assez de phé­no­mènes. Je retrouve mes idées en ren­trant chez moi. Comme un sac pou­belle oublié devant la porte. Même si votre confes­seur se trom­pait, vous ne vous trom­pe­riez pas en lui obéis­sant. Comment est-ce qu’on ver­rait si on n’avait pas d’yeux ? Même si votre confes­seur se trom­pait, vous ne vous trom­pe­riez pas en lui obéis­sant. Je vais encore par­tir sans vous avoir rien dit de ce que j’avais à dire. Naturellement pusil­la­nimes, la moindre appa­rence de péché leur fait peur. Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils conte­nir une pen­sée ? Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Comment la parole, qui est un bruit, peut-elle trans­por­ter la pen­sée ? Si on n’avait pas de rivières et pas d’eau com­ment est-ce qu’on ferait pour boire, pour laver ? Il me fau­drait tout dire, et m’y tenir – mais j’en dis tou­jours un peu trop. Tu vas mou­rir ; rien au monde ne peut te gué­rir. Comment a‑t-on pu faire une mai­son, une lampe ? La ten­ta­tion est-elle dans ou devant mon cœur ? Je mour­rai dès que j’aurai tout dit. Le scru­pule est la forme jus­ti­ciable du doute. Comment se fait-il qu’il tonne, qu’il y ait des éclairs, qu’il y ait un soleil, qu’il fasse jour ou nuit ? Or je ne serai en paix qu’après avoir tout dit. Par la crainte d’un péché appa­rent, elles s’exposent à com­mettre de véri­tables péchés, notam­ment l’orgueil de dénier à la confes­sion le pou­voir de son­der leur cœur. De la com­plai­sance au récit minu­tieux de leurs péchés de chair. C’est pour­tant si simple : je vais vous le dire. J’ai des choses impor­tantes à dire. Elle ne peut pas avoir péché, l’âme qui se per­suade d’avoir en tout péché. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Comment se fait-il qu’il tonne, qu’il y ait des éclairs, qu’il y ait un soleil, qu’il fasse jour ou nuit ? j’ai déjà dit tout ça cent fois. J’ai dû vous le dire. La conscience de la faute est par­fois sim­ple­ment conscience du défaut. Mon corps ne peut pas, mon esprit ne sait pas. Elle n’est pas folle, qui se croit folle. Il est trop tard, tu vas mou­rir. Si on n’avait pas de rivières et pas d’eau com­ment est-ce qu’on ferait pour boire, pour laver ? Pourquoi porte-t-on un tablier ? Pourquoi met-on une robe ? Si tu par­ve­nais à te faire une vie, tu ne te ferais pas tant de sou­cis. Le scru­pule est la forme jus­ti­ciable du doute. Mon corps ne me touche pas, je suis seule­ment près de moi. Certaines se com­plaisent au récit détaillé de leurs péchés de chair. Qu’est-ce que tout cela va deve­nir quand tout sera fini ? Il me fau­drait tout dire, et m’y tenir – mais j’en dis tou­jours un peu trop. Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Ces âmes scru­pu­leuses vou­draient tout confes­ser. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Plus je m’accable, plus j’en aurai la cer­ti­tude. C’est pour­tant si simple ; je vais vous le dire. Leur ima­gi­na­tion trou­blée leur repré­sente bien­tôt que tout est péché. Leur ima­gi­na­tion trou­blée leur repré­sente bien­tôt que tout est péché. Pourquoi les mes­sieurs n’ont-ils pas de robe ? Regardez mes yeux ; ce sont eux qui parlent ; c’est moi qui ai peur. Leur orgueil tient dans une pré­somp­tion : nul autre que dieu ne peut son­der mon cœur. Mon esprit est tour­men­té par la peur de l’enfer : si je meurs main­te­nant, serai-je condam­né ? Ne t’épuise pas à te chan­ger ; tu vas mou­rir. Sombres et taci­turnes, la crainte change leurs vaines appré­hen­sions en idées fixes. Comment a‑t-on pu faire une mai­son, une lampe ? Je ne sais plus lire ni com­prendre. Si la pièce tombe du côté face, je serai sau­vé. Je vois les mai­sons et les gens à l’envers, je dis des sot­tises, je vais me cogner la tête contre les murs. Si on n’avait pas de rivières et pas d’eau, com­ment est-ce qu’on ferait pour boire, pour laver ? S’ils ne perdent pas la leur, ils font perdre sa tête à leur confes­seur. Mon esprit est tour­men­té par la peur de l’enfer : si je meurs main­te­nant, serai-je condam­né ? On n’a jamais vu de fou qui se croie fou. Si votre confes­seur se trom­pait, vous ne vous trom­pe­riez pas en lui obéis­sant. Je ne sais plus lire ni com­prendre. Elles disent : J’ai le cœur pur, puisque j’ai des scru­pules. Il arrive sou­vent que la bouche des ora­teurs pro­nonce une suite de paroles indé­pen­dantes de leur volon­té en sorte qu’ils s’écoutent eux-mêmes comme des assis­tants, et qu’ils n’ont connais­sance de ce qu’ils disent qu’à mesure qu’ils le pro­noncent. Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils conte­nir une pen­sée ? Regardez mes yeux, vous ver­rez qu’ils sont éga­rés. Si elles ne perdent pas la tête, elles la font perdre à leur confes­seur. Pourquoi porte-t-on un tablier ? Pourquoi met-on une robe ? Je sens que je n’y suis plus, je perds toute volon­té, je suis une machine. Regarde mes yeux, j’ai des choses impor­tantes à dire. Sombres et taci­turnes, la crainte change leurs vaines appré­hen­sions en idées fixes. Je ne peux pas, je ne veux pas vou­loir, je ne sais pas savoir. Si je me tai­sais pour finir peut-être que tout serait dit. Pourquoi y a‑t-il des arbres, des bêtes ? j’ai déjà dit tout ça cent fois ; je vais vous le dire. Je vais tout vous dire. Je fais des sortes de paris sur mon salut : si la pièce tombe du côté face, je serai sau­vé. Je jure de recom­men­cer ma prière du matin dix fois, vingt fois, mille fois, sinon je pen­se­rai du mal de Dieu devant les églises. Le scru­pule leur fait soup­çon­ner par­tout le péché. Comme un man­teau de fatigue qui tombe sur mes épaules. J’ai déjà dû dire ça cent fois. Il fau­drait tout dire et s’y tenir, alors tout serait dit. Mon corps ne me touche pas, je suis seule­ment près de moi. Je deviens étrange, incom­pré­hen­sible à moi-même et je m’interroge sur une foule de choses. La conscience de la faute est par­fois sim­ple­ment conscience du défaut. Mon corps ne peut pas, mon esprit ne sait pas. Je deviens étrange, incom­pré­hen­sible à moi-même et je m’interroge sur une foule de choses. Je retrouve mes idées sur le pas de ma porte. Ce n’est plus moi qui marche, ce n’est plus moi qui mange, ce n’est plus moi qui parle. Même si votre confes­seur se trom­pait, vous ne vous trom­pe­riez pas en lui obéis­sant. Regarde mes yeux, j’ai des choses impor­tantes à dire. Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Chacun de mes meubles est un nid de pen­sées. Regardez mes yeux, vous ver­rez qu’ils sont éga­rés. Le scru­pule est la forme jus­ti­ciable du doute. Je vais encore par­tir sans avoir rien su dire de ce que j’avais à dire. Si elles ne perdent pas la tête, elles la font perdre à leur confes­seur. Je ne sais plus savoir ce que tout le monde sait. Je vois les mai­sons et les gens à l’envers, je dis des sot­tises, je vais me cogner la tête contre les murs. Or je ne serai en paix qu’après avoir tout dit. Il est trop tard, c’est fini. Si je voyais des gens faire la même chose que moi, je les enver­rais en pri­son. Le scru­pule est une mau­vaise pente : dégoût du devoir, relâ­che­ment, indif­fé­rence, aban­don pour finir. Si elles ne perdent pas la tête, elles la font perdre à leur confes­seur. Il vous est per­mis d’omettre les cir­cons­tances, et le com­ment, et le pour­quoi. Le scru­pule est une mau­vaise pente : dégoût du devoir, relâ­che­ment, indif­fé­rence, aban­don pour finir. Sombres et taci­turnes, la crainte change leurs vaines appré­hen­sions en idées fixes. Certaines d’avoir péché, elles dénient à la confes­sion le pou­voir de son­der leurs cœurs. Je ne sais plus lire ni com­prendre. Je sens que je n’y suis plus, je perds toute volon­té, je suis une machine. Je jure de recom­men­cer ma prière du matin dix fois, vingt fois, mille fois, sinon je pen­se­rai du mal de Dieu devant les églises. Comme un man­teau de fatigue. Comment a‑t-on pu faire une mai­son, une lampe ? S’ils ne perdent pas la leur, ils font perdre sa tête à leur confes­seur. J’ai déjà dit tout ça cent fois ; je vais vous le dire. Je ne suis qu’une machine ; je dois faire des efforts pénibles pour res­ter quelqu’un. Ayant épui­sé tous les confes­seurs, on finit par s’en rap­por­ter à son propre juge­ment. Elles s’interrogent sans cesse, sup­putent, cal­culent – ce sont des machines. Elles disent : J’ai le cœur pur, puisque j’ai des scru­pules. Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vou­loir. Ce n’est plus moi qui marche, ce n’est plus moi qui mange, ce n’est plus moi qui parle. Ma per­sonne est en dehors de mon corps, elle est près de moi et non en moi. J’ai déjà dit tout ça cent fois. J’ai dû vous le dire. La conscience de la faute est par­fois sim­ple­ment conscience du défaut. Mon corps ne peut pas, mon esprit ne sait pas. Il arrive sou­vent que la bouche des ora­teurs pro­nonce une suite de paroles indé­pen­dantes de leur volon­té en sorte qu’ils s’écoutent eux-mêmes comme des assis­tants, et qu’ils n’ont connais­sance de ce qu’ils disent qu’à mesure qu’ils le pro­noncent. Du plai­sir à grat­ter leurs plaies jusqu’à ce qu’elles semblent des stig­mates. Je me livre à toutes sortes de pro­nos­tics pour apai­ser mes craintes. Je ne sais plus lire ni com­prendre. Qu’est-ce que tout cela va deve­nir quand tout sera fini ? Chacun de mes meubles est un nid de pen­sées. Je retrouve toutes mes idées en ren­trant chez moi, comme un sac pou­belle oublié devant la porte. Comment se fait-il qu’il tonne, qu’il y ait des éclairs, qu’il y ait un soleil, qu’il fasse jour ou nuit ? Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils conte­nir une pen­sée ? Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Comment la parole, qui est un bruit, peut-elle trans­por­ter la pen­sée ? Le scru­pule est une appré­hen­sion vaine, fon­dée sur de légers motifs, qui rem­plit l’âme d’anxiété et lui fait craindre qu’une chose soit péché, tan­dis qu’elle ne l’est pas. Qu’est-ce que tout cela va deve­nir quand tout sera fini ? Pourquoi y a‑t-il des arbres, des bêtes ? Une four­mi­lière de scru­pules les rongent et dévorent, et de mouches d’imperfections leur paraissent des élé­phants de péché. Je vais tout vous dire. Pourquoi porte-t-on un tablier ? Pourquoi met-on une robe ? Assez de phé­no­mènes. Assez de phé­no­mènes. Assez de phé­no­mènes. Ne t’épuise pas à te chan­ger ; tu vas mou­rir. Comment ver­rait-on si on n’avait pas d’yeux ? Tu vas mou­rir ; rien au monde ne peut te gué­rir. Idolâtres de leurs propres sen­ti­ments, elles ne cessent de requé­rir une peine qu’elles trouvent inva­ria­ble­ment trop clé­mente. Regardez mes yeux : ce sont eux qui parlent et c’est moi qui ai peur. Le scru­pule est la forme jus­ti­ciable du doute. Il est trop tard, tu vas mou­rir. Comment sau­rai-je que tout est dit ? Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils conte­nir une pen­sée ? Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Comment la parole, qui est un bruit, peut-elle trans­por­ter la pen­sée ? Elle n’est pas folle, qui se croit folle. Je n’y suis plus, j’ai per­du toute ma volon­té, on peut faire de moi ce qu’on veut, je suis une machine. Qu’est-ce que ça va deve­nir quand tout sera fini ? j’ai ces­sé tout effort pour deve­nir quelqu’un : je suis une machine. Comment a‑t-on pu faire une mai­son, un pont ? Il arrive sou­vent que la bouche des ora­teurs pro­nonce une suite de paroles indé­pen­dantes de leur volon­té, en sorte qu’ils s’écoutent eux-mêmes comme des assis­tants, et qu’ils n’ont connais­sance de ce qu’ils disent qu’à mesure qu’ils le pro­noncent. Je ne sais plus croire ni savoir. Assez de phé­no­mènes. Assez de phé­no­mènes. Assez de phé­no­mènes. J’ai des choses impor­tantes à dire. Le scru­pule leur fait voir par­tout le péché. Mon esprit est tour­men­té par la peur de l’enfer : si je meurs main­te­nant, serai-je condam­né ? C’est pour­tant si simple ; je vais vous le dire. Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vou­loir. Ce n’est plus moi qui parle, ce n’est plus moi qui pense ; j’ai peur. Comme un man­teau de fatigue qui tombe sur mes épaules. Le scru­pule leur fait soup­çon­ner par­tout le péché. Certaines se com­plaisent au récit détaillé de leurs péchés de chair. Sombres et taci­turnes, la crainte change leurs vaines appré­hen­sions en idées fixes. Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils conte­nir une pen­sée ? Je deviens incon­nu, incom­pré­hen­sible à moi-même, je suis une machine. Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vou­loir. Le scru­pule est la forme jus­ti­ciable du doute. Ces âmes scru­pu­leuses vou­draient tout confes­ser. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Je crois que je vous ai tout dit, et pour­tant j’ai tu l’essentiel. Je retrouve mes idées en ren­trant chez moi. La conscience de la faute est par­fois conscience du défaut. Mon corps ne peut pas, mon esprit ne sait pas. Je sens que je n’y suis plus, j’ai per­du toute volon­té, on fera de moi ce qu’on veut, je suis une machine. Assez de phé­no­mènes. Assez de phé­no­mènes. Je deviens incon­nu, incom­pré­hen­sible à moi-même, je suis une machine. Naturellement pusil­la­nimes, la moindre appa­rence de péché leur fait peur. Comment ver­rait-on si on n’avait pas d’yeux ? Si je voyais des gens faire la même chose que moi, je les enver­rais en pri­son. Une four­mi­lière de scru­pules les rongent et dévorent, et des mouches d’imperfections leur paraissent des élé­phants de péché. Il vous est per­mis d’omettre les cir­cons­tances, et le com­ment, et le pour­quoi. Pourquoi y a‑t-il du monde ? Il y a un trouble en moi et le démon en est l’auteur. Comme un sac pou­belle oublié devant la porte. Comment est-ce qu’on ver­rait si on n’avait pas d’yeux ? Assez de phé­no­mènes. Le scru­pule est la forme jus­ti­ciable du doute. Rien au monde ne peut me gué­rir, tout est fini. Pourquoi les mes­sieurs n’ont-ils pas de robe ? Je retrouve mes idées en ren­trant chez moi. Comme un man­teau de fatigue. L’exposition de leurs scru­pules leur sert de ter­gi­ver­sa­tion. Si vous par­ve­niez à vous faire une vie, vous ne vous feriez pas tant de sou­ci. J’ai des choses impor­tantes à dire. Pourquoi met-on des vête­ments ? Comment peut-on faire une mai­son ? Je me livre à toutes sortes de pro­nos­tics pour apai­ser mes craintes. Il n’y a d’apaisement qu’une fois que tout est dit. Si tout est fini, pour­quoi se réfor­mer ? La moindre appa­rence de péché les effraie. Je ne suis qu’une machine ; je dois faire des efforts pénibles pour res­ter quelqu’un. Si je me tai­sais pour finir peut-être que tout serait dit. Je vais encore par­tir sans vous avoir rien dit de ce que j’avais à dire. Leur orgueil tient dans une pré­somp­tion : nul autre que dieu ne peut son­der mon cœur. Rien au monde ne peut me gué­rir, tout est fini. Pourquoi y a‑t-il du monde ? Dans le rap­port d’aucune chose, ils n’omettent les cir­cons­tances, ni le com­ment, ni le pour­quoi. Il est trop tard, tu vas mou­rir. Ne te révo­lu­tionne pas trop, ta mort est immi­nente. Il y a un trouble en moi et le démon en est l’auteur. Si la pièce tombe du côté face, je serai sau­vé. Comment sau­rai-je que tout est dit ? Mon esto­mac est com­plè­te­ment inerte. La masse ali­men­taire remue comme dans un sac. Tout le temps que j’ai l’estomac plein. J’ai les membres bri­sés et mes yeux se sont reti­rés dans mon crâne. Je ne pense qu’à mon esto­mac, c’est dans mon esto­mac que réside toute ma vie. Mon esprit est tour­men­té par la peur de l’enfer. Mon corps ne peut pas pou­voir, mon esprit ne sait pas savoir. Mon esprit est tour­men­té par la peur de l’enfer. On peut faire de moi ce qu’on veut, je suis une machine. Si vous par­ve­niez à vous faire une vie, vous ne vous feriez pas tant de sou­ci. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Ce n’est plus moi qui marche, ce n’est plus moi qui mange, ce n’est plus moi qui parle. Certaines d’avoir péché, elles dénient à la confes­sion le pou­voir de son­der leurs cœurs. Plus je m’accable, plus j’en aurai la cer­ti­tude. Je suis seule­ment près de moi, je ne suis pas en moi. Qu’est-ce que tout cela va deve­nir quand tout sera fini ? Elles disent : J’ai le cœur pur, puisque j’ai des scru­pules. Ne te révo­lu­tionne pas trop, ta mort est immi­nente. Or je ne serai en paix qu’après avoir tout dit. On ne réa­lise ce qu’on dit qu’une fois qu’on l’a fin dit. La ten­ta­tion est-elle dans ou devant mon cœur ? Je jure de recom­men­cer ma prière du matin dix fois, vingt fois, mille fois, sinon je pen­se­rai du mal de Dieu devant les églises. Pourquoi met-on des vête­ments ? Comment peut-on faire une mai­son ? Or je ne serai en paix qu’après avoir tout dit. Plus je m’accable, plus j’en aurai la cer­ti­tude. Elle n’est pas folle, qui se croit folle. Certaines se com­plaisent au récit détaillé de leurs péchés de chair. Il est trop tard, c’est fini. Idolâtres de leurs propres sen­ti­ments, elles ne cessent de requé­rir un juge­ment qu’elle trouve inva­ria­ble­ment trop clé­ment. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Ne te révo­lu­tionne pas trop, ta mort est immi­nente. D’un péché l’honnête omis­sion n’empêche pas la rémis­sion. De la com­plai­sance au récit minu­tieux de leurs péchés de chair. Jamais âme obéis­sante ne s’est per­due ; jamais âme déso­béis­sante ne s’est sau­vée. Si elles se croyaient vrai­ment scru­pu­leuses, ces âmes seraient bien­tôt gué­ries. L’exposition de leurs scru­pules leur sert de ter­gi­ver­sa­tion. On ne réa­lise ce qu’on dit qu’une fois qu’on l’a fin dit. Ne t’épuise pas à te chan­ger ; tu vas mou­rir. Même si votre confes­seur se trom­pait, vous ne vous trom­pe­riez pas en lui obéis­sant. Les com­plexions lym­pha­tiques, froides et mélan­co­liques, sont un ter­rain très propre à pro­duire cette sorte d’épines. Du plai­sir à grat­ter leurs plaies jusqu’à ce qu’elles semblent des stig­mates. Pourquoi les mes­sieurs n’ont-ils pas de robe ? Comment ver­rait-on si on n’avait pas d’yeux ? j’ai déjà dû dire ça cent fois. Comment se fait-il qu’il tonne, qu’il y ait des éclairs, qu’il y ait un soleil, qu’il fasse jour ou nuit ? Si je meurs main­te­nant, serai-je condam­né ? Par la crainte d’un péché appa­rent, elles s’exposent à com­mettre de véri­tables péchés, notam­ment l’orgueil de dénier à la confes­sion le pou­voir de son­der leur cœur. Mon esto­mac est com­plè­te­ment inerte. La masse ali­men­taire remue comme dans un sac. Tout le temps que j’ai l’estomac plein. J’ai les membres bri­sés et mes yeux se sont reti­rés dans mon crâne. Je ne pense qu’à mon esto­mac, c’est dans mon esto­mac que réside toute ma vie. Si tu par­ve­nais à te faire une vie, tu ne te ferais pas tant de sou­cis. Comment a‑t-on pu faire une mai­son, une lampe ? Ma per­sonne est en dehors de mon corps, elle est près de moi et non en moi. Le scru­pule est la forme orgueilleuse du doute. Ma per­sonne est en dehors de mon corps, elle est près de moi et non en moi. Elle ne peut pas avoir péché, l’âme qui se per­suade d’avoir en tout péché. Qu’est-ce que ça va deve­nir quand tout sera fini ? Assez de phé­no­mènes. On peut faire de moi ce qu’on veut, je suis une machine. Elles paraissent atti­rées par ce dont elles confessent la peur. Ne te révo­lu­tionne pas trop, ta mort est immi­nente.

1

j’ai par­ta­gé avec lui mes oreilles et notre navire dédié à la vie je veux tou­jours dire le maître mon mon­sieur j’ai brû­lé pour les réci­ter à la mort je ne crains plus ceux que j’ai pen­sé

si nous aban­don­nons à la mort nos demandes pour les choses inter­dites nous allons tu veux savoir ce qu’il en est du monde réel et du monde spi­ri­tuel l’é­va­sion appe­lée vie nous obte­nons sou­vent le corps et

digne de juge­ment de main­te­nant je me sou­viens de lui et que nous avons cher­ché vous je ne savais pas com­ment ima­gi­ner un esprit autre que la forme du corps je me sou­viens de ce que j’ai

cru bon de sou­mettre à sa consi­dé­ra­tion et à sup­po­ser que mon mou­ve­ment soit déli­bé­ré­ment détour­né voué à l’errance je veux être ras­sa­sié de lui et que ses connais­sances n’aient rien d’elles je n’ai pas fait ce

qui était invi­sible pour moi aus­si sûr que je sois mais je n’ai pas connu le bien que je n’ai pas connu ce que je ne peux pas connaître je ne l’ai pas réa­li­sé en effet j’ai

pleu­ré amè­re­ment et dit à tes petits enfants tes dis­ciples mes conci­toyens mes conci­toyens avant ou après moi mes conci­toyens avant ou après moi mes conci­toyens avant ou après moi

tu seras dis­per­sé en mor­ceaux par à tra­vers moi sans doute mais je ne peux pas et je les déteste tu vas me ren­voyer tu vas me ren­voyer pour par­ta­ger ça et tu me fais me regar­der

l’é­mer­veille­ment au détri­ment de l’es­prit ombres pour­tant que nous devrions faire nos brû­lures et l’in­vi­si­bi­li­té nous sommes tous étour­dis et mesu­rés par ni pâtu­rages mys­té­rieux et éter­nels et lumière dans ta véri­té nous pou­vons dis­cer­ner inté­rieu­re­ment ce

qui nous a été don­né dans le lieu noble où se trouve donc l’i­mage de la jeu­nesse que nous avons recher­chée il n’y a pas d’i­mage d’une exis­tence mépri­sante d’un enne­mi ou d’un adver­saire qui n’est pas

mes conci­toyens de la pen­sée et de la foi de l’humanité mes asso­ciés de mémoire mais les chiffres eux-mêmes vous bénissent jusqu’à la fin de ma vie je t’ai béni du bon­heur quand tu es par­ti avec

nous n’a­vons pas le temps d’u­ti­li­ser les ser­vices de ton entre­prise nous par­ta­geons le reste dans leurs actions et dans leur vol et choi­sissent de tra­ver­ser la vie sur leurs pieds pour mépri­ser la vie pour voir

tous ceux qui ont deman­dé ce que mon­sieur fai­sait avant que je ne rie de la feuille que je connais­sais j’étais tou­jours inquiet et tour­men­té par ta droi­ture je ne dis rien de juste aux hommes que

nous pou­vons enfin tou­cher la beau­té de l’i­mage de la famille la voix mécon­tente des ombres a par­cou­ru toute la lon­gueur de la mai­son nuit sur la lon­gueur du pied et aus­si à la moyenne et à

temps repose devant elle nous nous repo­sons devant les soins de nos esclaves il n’y a pas d’ombre pas de forme et nous écri­vons comme tu le sou­haites plus char­nue infé­rieure la cam­pagne est le plus sou­vent

tu vou­lais que l’homme du futur com­mence à com­prendre que nous te cher­chions je me détes­tais même de ne pas être heu­reux et que je n’essayais plus de l’être mais je n’étais pas encore la créa­ture je

reviens en arrière par mes che­mins dis­sous par leur semence même si je décou­vrais que je n’enseignais pas ce qui trom­pe­rait les autres je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton amour infi­ni je reviens en

arrière par eux mes voies se sont dis­soutes de leur propre graine si je veux le blanc du noir et d’autres cou­leurs je suis sans défense et pauvre et tu étais le sujet même de son enter­re­ment

un tier­cé gagnant nous avons le même âge nous écou­tons l’autre nous en par­lons nous le com­pre­nons et quand nous le fai­sons c’est le cas nous en par­lons et nous le com­pre­nons mais nous enten­dons tou­jours la

voix de l’autre per­sonne nous fai­sons tou­jours traî­ner les choses et l’ordre enfin nous pou­vons par­ta­ger ce moment en dehors de nos proches tes esclaves que tu cherches ils disent que nous voyons la terre jus­qu’à ce

que nous pre­nions conscience que les choses est inhé­rente et la fuite des syl­labes est son insis­tance même si avant notre nais­sance nous étions attris­tés par les fleurs du doute et de la peur la sur­face se

dans les yeux tu seras rache­tée ma vie à par­tir de mon cœur mes cou­rants à par­tir des miens rends mon inti­mi­té plus éle­vée plus que les som­mets de mes mon­tagnes où nous invites à par­tir sache

je vou­lais en effet que ce tour de roue ne repré­sente pas du tout si tu étais la belle et ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas

du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de

ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est pour

cette rai­son nous devons offrir de la « beau­té » nous avons des ombres nous voyons des ani­maux dans le futur ils nous donnent un der­nier adieu à nos proches et nous les voyons mais devant eux pré­sents et à bout de souffle nous sommes déchaî­nés le

souffle n’est ni pré­sent ni futur col­lec­ti­ve­ment lorsque nous regar­dons sa vie dans son ensemble nous com­pre­nons que la nous avons décou­vert que les a décou­verts earth abode et bare earth abode et pays et que notre

expé­rience sen­so­rielle n’a rien à gagner de sens et de soin et que tu dois les éle­ver avec tes véri­tables inten­tions mais cha­cun est un visage à peine tou­ché qui est enten­du brosse briè­ve­ment le rythme pour

fre­don­ner un air que je ne pou­vais pas vrai­ment que je ne vou­lais pas non plus sacri­fier pour moi mal­gré la pous­sière et les cendres je me suis jeté sur l’ami avec un visage anxieux comme ce

temps court nous sommes embras­sés par un temps long ou court nous croyons nous croyons que le ciel et la terre ont un sens allé­go­rique et figu­ra­tif tu es l’ex­pres­sion allé­go­rique de l’ac­tion de ton ensei­gne­ment apporte-le

qui est pas­sé de lui dans ma mémoire ou qu’en les oubliant avec cette même super­sti­tion je por­tais mon âme désor­don­née et san­glante ne souf­frant plus que je ne connais­sais pas le mon­sieur je ne les confiais

que la terre est méchante pour prendre d’une part comme pour se deman­der pour­quoi nous devrions le sup­por­ter et d’autre part nous comp­tons sur toi pour décou­vrir cette joie sans te sou­cier du monde ces gens nous

enviaient nous avons cher­ché quel­qu’un avec qui nous pour­rions par­ta­ger nos doutes avec des mots qui n’est pas de retour et nous traî­nons encore des choses sur toute la lon­gueur de l’arbre s’il y a un agré­gat

que le mot en même temps avec toi et pour la joie de ma propre expres­sion res­pire si tu pou­vais seule­ment la faute que tu par­donnes mon cœur mes yeux mon flux quand tu étais à mes

qu’à mon voi­sin et non à moi-même je dis­tingue les esprits des lys de ceux qui sont dac­cord avec un autre parce qu’il en a enten­du par­ler ou ceux que j’ai fait bouillir avec l’espoir que je

n’ai pas trou­vé en toi et mes parents je me mets à leur place dans diverses phrases j’entends géné­ra­le­ment le savoir selon la façon dont tu l’interprètes dis­per­sé dans les lieux que j’ai fré­quen­tés visages humains j’ai

accep­té et aimé tes bonnes manières j’ai brû­lé pour échap­per à la véri­té mais j’étais un dégui­se­ment misé­rable et oublieux je me sou­viens avec désir mais ces choses prennent du temps mais leur ai-je ensei­gné les rites

nous ne sommes pas fils la lon­gueur de l’arbre nous sommes lais­sés pour le pays est un pâtu­rage d’herbe éter­nelle et nous reje­tant les fleurs sans fin c’est de l’es­thé­tique que de se plaindre que les ombres

soient longues ou courtes plus court que le visage à man­ger nous ne trou­vons pas notre vie est presque la même que le matin avant que le monde exté­rieur ne change sois et ta véri­té est dite

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de pas­sage je t’aimerais mon­sieur et j’aurais confiance en ton image je dirais que tu as encore une créa­ture atta­chée je ne la chas­se­rais plus mais je la pla­ce­rais pour ain­si dire sur cet œil de mon épais bou­clier

je ne suis pas encore capable mais je peux à peine les écou­ter je me demande alors ce qui est invul­né­rable par-des­sus tout mais je les ai détes­tés pour tout avouer plier mon cou sous ton joug

côtés je n’ai pas dans ma mémoire je ne savais pas tu es infi­ni et tu n’existes pas dif­fu­sion dans un monde de sens ton rôle dans les siècles et dans les le plus petit d’entre eux

et ta can­nelle ou ton pré­cieux taf­fe­tas je ne pou­vais pas m’en sou­ve­nir car je ne savais pas encore com­ment mais je savais seule­ment ima­gi­ner que phy­si­que­ment je pen­sais que la masse était infi­nie que son poids

était infé­rieur à celui d’un autre des­cen­dant de quelque chose d’informe et non d’un homme qui rirait avec moi par­ta­geant avec lui mes yeux char­més j’ai par­ta­gé mes yeux char­nels avec lui je cherche si une vie

dans ta véri­té ont dit ceux qui ont été envoyés cha­cun d’entre eux nous avons enten­du et il y en a beau­coup d’autres comme eux qui tirent les choses par la lon­gueur de leurs jambes la mémoire

heu­reuse se trouve dans la peine et la véri­té or je suis loin de l’accepter ce qui m’en éloigne de plus en plus j’ai atteint la ville où les sif­fle­ments autour de moi ne pou­vaient plus me

prendre soin de tes esclaves comme tu as vou­lu l’é­crire nous le voyons pour nous éclai­rer et en cela tu as fina­le­ment réus­si nous pou­vons voir le mer­veilleux trou­peau dans ta lumière nous voyons la lumière que

tu nous donnes enfin et en dehors de nos doutes sur nos vies nous les com­pa­rons tou­jours au pays le pâtu­rage éter­nel et non à quel­qu’un d’autre lorsque nous avons gar­dé la nuit le pas­sé et sa

com­pré­hen­sion et par­ler du corps et acqué­rir le corps infé­rieur ou la sur­face une chose incom­men­su­rable une vie incom­men­su­rable nous par­ta­geons cette pers­pec­tive plus tu passes plus nous ne croyons pas nous nous réjouis­sons de la seule

repo­se­rons devant elle il a réso­lu la ques­tion de la c’est parce qu’en cher­chant d’autres par­ties de cette his­toire nous avons vu pour gran­dir avec ta grâce mais le pâtu­rage éter­nel dans le mys­tère et la lumière

l’a­gi­ta­tion de la terre et enfin nour­ri nous fai­sons res­sor­tir l’en­semble nous ne trou­ve­rons pas la plé­ni­tude dans le fait d’é­cou­ter l’autre d’en par­ler et nous en par­lons et le com­pre­nons lorsque nous quit­tons les fleurs dans

l’a­bon­dance infi­nie où tu donnes et enfin dans le déta­che­ment de nos proches nous ne trou­ve­rons pas la pré­sence de l’en­semble ni ne trou­ve­ra pas le tout pour être pré­sent ni le pré­sent pour être le temps

dire non du tout si tu n’a­vais pas béni les pois­sons et les monstres marins pour qu’ils se repro­duisent et rem­plissent les eaux de haine et je t’exigerai t’appelant à confes­ser mes dési­rs mon­sieur me répri­mande je

me suis moi-même pour que mon mon­sieur le créa­teur de toutes choses et toi me guide je ne me pré­fé­re­rai pas à lui car je ne me sou­viens pas je ne le serais pas je ne sais

duquel tu m’as pris et laisse-moi emprun­ter dans ce livre la nature de mon ambi­tion est de mettre fin c’est pour mettre fin à ces ambi­tions que tu ne nous y per­mets pas condi­tions des nous tu

gagnes tout le temps tu ne laisses pas leur créa­teur les aimer quit­ter leur créa­teur non pas besoin de te gar­der au même endroit qui contrôle tout toi mon­sieur des âmes tu ne peux pas tu ne

me sou­viens de ce que je vou­lais j’ai atteint un niveau où j’assiégeais les effets de mon esprit laisse-moi quit­ter ton amour et non son sanc­tuaire sacré que per­sonne ne m’arrête je n’ai plus quit­té mon abri

l’âge que nous avons pas­sé mais pâtu­rages éter­nels de la pro­non­cia­tion nous savons nous par­ta­geons ceci le sens de l’im­por­tance de ceci nous est retour­né comme une forme de pro­tec­tion que nous avons cela fait long­temps que

3

pas d’où vient tout ce qu’il a dit je laisse de côté pour un ins­tant tout ce que je dirais de vrai mais je suis déjà déchi­rée par les erreurs je conti­nue ma lente ascen­sion vers celui

qui accepte le concours de chant au théâtre et que je crois en toi je vais si loin par moments je n’ai trou­vé aucun repos j’avais tout devant moi et je ne sau­rais pas celles-ci choses je

nous gémis­sons ensemble que nous enten­dons dif­fé­rentes choses nous les com­pre­nons nous en par­lons nous les par­ta­geons nous en par­lons nous par­ta­geons nos doutes sur la vie que nous avons menée nous ne mesu­rons pas le pas­sé

alors pour l’instant laisse-moi quit­ter ton amour et non l’image mais l’image elle-même j’ai pris une ins­pi­ra­tion avant de me sacri­fier pour la perdre pour­quoi alors être heu­reux et je compte les fois où j’ai écrit cela

sur une feuille j’aurais dû lire de pré­fé­rence dans tes livres je vais si loin par­fois je me sou­viens main­te­nant de lui et de son savoir je n’ai rien de toute mon âme je me sou­viens avec

quoi que ce soit nous n’al­lons pas te croire sur parole et faire quelque chose de nou­veau mais notre res­pi­ra­tion est inter­rom­pue par un manque com­mun et mutuel nous sommes embras­sés par un temps long ou un

désir mais ces choses je me sou­viens de ce que je dirais vrai mais ce que je dirais vrai mais ils m’avaient déjà déra­ci­né des erreurs je m’en sou­viens avec désir mais ces choses je m’en sou­viens

ce que je dirais vrai mais j’avais déjà été déra­ci­né des erreurs je me détes­tais même quand je n’é­tais pas heu­reux et quand je ne savais pas ce que j’é­tais inca­pable de faire mais par­fois je vais

si loin que je ne me sou­viens plus de lui main­te­nant et sa connais­sance n’a rien de son cœur je m’en sou­viens avec désir mais ces choses je me sou­viens de ce que je pen­sais adap­té à

son juge­ment je ne suis pas encore capable mais je ne les ai confiées qu’à mon pro­chain et non à un homme qui se moque­rait de moi je m’en sou­viens avec désir mais ces choses je me

sou­viens que j’aurais dit la véri­té mais je m’étais déjà éloi­gné des erreurs je vais si loin que je ne me sou­viens plus de lui main­te­nant et sa connais­sance n’a rien d’honnête avec je n’aurai plus à

ton pitch et non celui de quel­qu’un d’autre peut le faire enfin nous voyons que nous te don­nons une mer­veilleuse huma­ni­té est de les nour­rir dans ta grâce nous les voyons vaincre au milieu de tout cela

peux pas igno­rer ce que tu rem­plis car tu es le maître le mon­sieur de ton esprit pas né en son temps et plein en son heure puisque c’est vrai­ment toi tu es plein mon­sieur et maître

fasses à leur place nous ne mesu­rons pas notre ave­nir ou notre pas­sé aus­si nous pas­sons notre temps à nous nour­rir de nos amis sans bou­ger nous sommes aus­si loin que pos­sible de l’hu­ma­ni­té du mer­veilleux trou­peau

ou le pré­sent il ne s’a­git pas du pré­sent ou du pas­sage du temps mais des ani­maux que nous voyons les nom­breuses choses qui colorent la sur­face de la terre ce sont des actes allé­go­riques de ta

sa pour­suite mais je n’étais pas encore capable de mais je ne savais pas que je ne pou­vais pas aller si loin à cer­tains moments que je ne connais pas le maître je les ai à peine

et à peine enten­dus je ne m’en sou­viens plus depuis depuis que je n’étais plus à la pour­suite mais je véri­té dans ton amour infi­ni je vais si loin par­fois je ne connais pas le maître je

connais à peine le maître je ne les ai presque plus enten­dus je ne me suis pas sou­ve­nu depuis que je n’étais plus à la pour­suite mais je n’ai pas encore véri­té dans ton amour infi­ni je

vais si loin par­fois que je ne me sou­viens pas de lui main­te­nant et que la connais­sance de lui na rien dans tout mon cœur par­fois je vais si loin que je ne connais plus le maître

du monde est l’ob­jet de notre expé­rience sen­so­rielle mais c’est le moyen de la terre et vers les­quels nous devrions être gui­dés nous ne pou­vons pas trou­ver nous traî­nons tou­jours à la lon­gueur de la lon­gueur de

nos jambes dans la nuit dans les ombres qui sont pour­tant nous avons vain­cu pour faire res­sor­tir ce que tu leur donnes et enfin à part les doutes sur la vie que nous devons mener nous les

avons nous pleu­rons tris­te­ment ces fleurs en dou­tant de la façon dont nous devrions vivre nous pou­vons tou­jours les por­ter avec nous et les com­prendre et nous pou­vons l’en­tendre face à face et le com­prendre nous enten­dons

que nous voyons les actes de cet âge sont courts mais le souffle du fleuve que nous avons vu et nous la ché­ris­sons en appa­rence nous ne savons pas si nous aimons ce que nous pro­té­geons ou

non ce n’est géné­ra­le­ment pas le pas­sé ce n’est pas à nous de le dire n’est-ce pas en frap­pant les esclaves que tu cherches ils disent que nous le sommes nous nous deman­dons et nous trem­blons je

je les entends à peine je ne suis pas encore capable mais je ne les ai confiées qu’à un voi­sin et non à un homme qui se moque­ra de moi je ne me sou­viens pas de lui

de tout ce que tu rem­plis car tu es tu veux vrai­ment que je te loue car tu es pleine de tout ce qui te rem­plit car tu es maître tu es plein mon­sieur de l’es­prit tu

pour­sui­vais plus je ne le pour­sui­vais plus je ne le pour­sui­vais plus mais je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton amour incom­men­su­rable je ne le pour­sui­vais plus mais je n’étais pas encore capable mais je

les ai confiés à mon voi­sin et pas moi­même je suis allé si loin par­fois je ne connais­sais pas le pro­fes­seur je les enten­dais déjà à peine je ne me sou­viens pas parce que je ne le

pour­sui­vais plus mais je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton amour infi­ni j’ai dis­cer­né les esprits de lys de ceux qui étaient bran­chés sur le concours de chant dans le théâtre et que je n’étais

es mon­sieur et maître de tout ce que tu rem­plis tu rem­plis car tu es le maître mon­sieur de l’es­prit tu nous as libé­rés de notre ser­vi­tude ce que nous avons fait pour nous mêmes en toi qui

as créé les cieux et la terre l’état tem­po­raire entre le ciel et la terre tu as éta­bli la terre pour l’é­ter­ni­té pour tou­jours et à jamais et pour les siècles des siècles tu es étais sur

terre une terre sèche la terre dans sa forme visible et orga­ni­sée la mère des mau­vaises herbes et des gémis­se­ments larmes d’a­mer­tume avant le souffle du matin avant le vol de l’ombre nous reje­tons le même que

ces choses dans le sou­ve­nir de celui que je dirais la véri­té se sou­ve­nir de celui que je dirais la véri­té mais j’é­tais déjà éloi­gné des erreurs dont je ne me sou­viens plus car je ne le

car je ne le pour­suis plus je ne suis pas encore capable mais je ne savais pas je ne me sou­ve­nais pas comme je ne le pour­sui­vais plus je ne me sou­ve­nais pas comme je ne le

pas encore cette créa­ture qui s’accrochait je ne me sou­viens pas car je ne le cherche plus mais je n’étais pas encore capable mais je ne savais pas ce que je ne pou­vais pas faire par­fois je

vais si loin je ne connais pas le maître je ne peux pas les entendre je ne suis pas encore capable mais je les ai confiés à mon voi­sin et non à un homme qui se moque­rait

de moi je ne veux pas me pré­fé­rer à lui car je ne me sou­viens pas de lui main­te­nant et son savoir na rien à voir avec moi je ne suis pas encore capable mais je les

ai confiés à mon voi­sin et non à un homme qui se moque­rait de moi je ne me sou­viens pas car je ne le sui­vais plus mais je savais seule­ment com­ment conce­voir ce dont phy­si­que­ment je me

sou­ve­nais avec désir mais ces choses se sont sou­ve­nues que je dirais la véri­té mais j’étais déjà déchi­ré par mes erreurs je ne me suis pas sou­ve­nu car je ne le sui­vais plus mais je n’étais pas

encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je ne les écou­tais presque plus je me suis sou­ve­nue d’elles avec désir mais ces choses se sont sou­ve­nues de ce que

tous les autres noms jus­qu’à ce que nous dis­tin­guions les choses inté­rieu­re­ment et dans quel ordre sou­haites-tu qu’ils soient écrits nous nous repo­sons avant de ten­ter notre chance mais nous ne vou­lons pas que tu nous enlèves

je pen­sais adap­té le genre de son intel­li­gence par­fois je vais si loin que je connais à peine le maître je les ai à peine enten­dus par­fois je vais si loin que je connais à peine le

maître je les ai à peine enten­dus je ne me sou­viens plus que je ne le pour­sui­vais plus mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais

je n’é­tais pas encore capable mais je n’é­tais pas encore capable mais je ne les enten­dais presque plus je m’en sou­ve­nais avec désir mais ces choses je m’en sou­ve­nais ce que je pen­sais cor­res­pondre à son juge­ment je ne m’en sou­ve­nais plus car je ne le pour­sui­vais plus

mais je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton immense amour je me détes­tais même de ne pas être heu­reuse et que je n’en étais pas encore capable mais je ne savais pas quoi faire mais

la terre quand tu étais au ciel au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel

je ne savais pas ce que je ne pou­vais pas faire je ne me suis pas sou­ve­nu car je ne l’ai plus cher­ché mais je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton amour infi­ni j’ai dis­cer­né

le par­fum d’un lys de celui qui a été mis en scène dans un concours de chant dans un théâtre et que je n’é­tais pas encore la créa­ture qui s’y accro­che­rait je me sou­viens avec désir mais

cher­chais plus mais je n’é­tais pas encore capable mais je ne savais pas ce que je ne pou­vais pas je me suis sou­ve­nu avec désir mais ces choses je me suis sou­ve­nu de ce que je dirais

la véri­té mais j’é­tais déjà éloi­gné des erreurs dont je ne me sou­viens pas parce que je n’ai pas pour­sui­vi mais je n’é­tais pas encore capable mais je ne les ai pas encore enten­dus je n’é­tais pas

tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es dans le ciel tu es dans tout tu n’es pas comme eux ils ont aban­don­né leur créa­teur mais je

ne les ai confiés qu’à un voi­sin pas à une per­sonne qui rirait avec moi par­fois je vais tel­le­ment loin je ne connais pas le maître que je ne les ai pas encore enten­dus

mais je ne me suis pas encore sou­ve­nu parce que je n’ai pas pour­sui­vi mais je n’ai pas encore été je n’ai pas encore atteint la véri­té dans ton amour infi­ni je n’ai pas encore été capable

mais je les ai confiés à un voi­sin pas à celui qui se moque­ra de moi je ne veux pas me pré­fé­rer à lui car main­te­nant je ne me sou­viens pas de lui et sa connais­sance n’a

rien à voir avec mon cœur je n’ai pas encore été capable mais je les ai confiés à un voi­sin pas à celui qui se moque­ra de moi je n’ai pas encore été capable mais je les

ai confiés à un voi­sin pas à celui qui se moque­ra de moi

pas besoin dêtre tu n’as pas besoin d’être pri­son­nier dans un endroit quel­conque toi qui pos­sèdes tout ce que tu dis et la rai­son pour laquelle ils sont avec toi en même temps

Par exa­gé­ra­tion et plai­sant. Extrême, puis­sant, remar­quable par son inten­si­té. Une intel­li­gence redou­table . C’est une redou­table pipe­lette. Il fait un froid redou­table.
Elle n’oublie pas d’où elle vient. Cette enfant natu­relle non recon­nue, née d’une fille-mère qui ne s’est jamais mariée non plus, devait être d’une intel­li­gence redou­table . Elle était élé­gante, racée. Les jour­naux par­laient d’elle.
Environnement : Emmanuel Macron est « d’une intel­li­gence redou­table , je ne com­prends pas qu’il ne per­çoive pas cet enjeu comme abso­lu­ment majeur »
Cette fille est d’une intel­li­gence redou­table , elle a tout com­pris aux medias fran­cais : Vendre du kitch orien­ta­li­sant à des beaufs en rut, avec le petit ver­nis de  » l’émancipation de la femme magh­ré­bine », et ca fonc­tionne.
Mêlant méta­phy­sique et phy­sique quan­tique à la ques­tion de notre rap­port au réel et au vir­tuel,« L’Ultime Question » pro­pose une intrigue hale­tante, ser­vie par une intel­li­gence redou­table .
En 1677 la Sicile est gou­ver­née pen­dant 27 jours par 1 femme, beau­té envoû­tante, intel­li­gence redou­table , équa­ni­mi­té révo­lu­tion­naire, lisez Camilleri au som­met de son art !
Inspiré du célèbre conte de Perrault, le des­tin croi­sé de Déodat, laid mais d’une intel­li­gence redou­table , et de Trémière à la beau­té angé­lique, amou­reuse de la contem­pla­tion et jugée stu­pide.
Animal à l’image sou­vent ter­ri­fiante, la pieuvre est en réa­li­té dotée d’une intel­li­gence redou­table et d’un niveau de conscience proche de celui de l’être humain.
Servo-Lift offre une intel­li­gence redou­table à votre moto­ri­sa­tion por­tail. Retrouvez un choix com­plet de télé­com­mande de por­tail pour tous vos besoins.
Voilà qui n’aurait pas fait tâche sur l’étagère de l’un des joueurs les plus élé­gants de l’histoire. Presque jamais for­cé au tacle, tou­jours bien pla­cé et d’une intel­li­gence redou­table , Paolo Maldini fut pro­ba­ble­ment le plus grand défen­seur de son époque, mais jamais vain­queur de la pres­ti­gieuse récom­pense indi­vi­duelle, mal­gré une 3e place en 1994.
Portrait acide d’une ami­tié toxique au temps des réseaux sociaux, satire gla­çante d’un monde de faux-sem­blants où les êtres n’existent qu’à tra­vers leur image, Social Creature est un thril­ler psy­cho­lo­gique à la méca­nique impla­cable, qui dis­sèque avec une intel­li­gence redou­table et réjouis­sante notre époque désen­chan­tée.
Doué d’un grand cha­risme et d’une intel­li­gence redou­table , il a été for­mé à l’art de la guerre en Afghanistan. Quel but pour­suit-il réel­le­ment ?
a pour phi­lo­so­phie de lier la qua­li­té à l’ergonomie. Encore une fois, la marque offre un pro­duit d’une intel­li­gence redou­table . Le tré­pied Travel en alu­mi­nium allie com­pa­ci­té, sim­pli­ci­té d’utilisation et per­for­mances.
Jean-Marc Reiser est pré­sen­té par les experts comme un dan­ge­reux psy­cho­pathe, froid, cal­cu­la­teur, et d’une intel­li­gence redou­table . Documents
Un texte d’une intel­li­gence redou­table ins­crit dans le corps d’un inter­prète aux formes sin­gu­lière et à la mélo­die dan­ge­reuse.
Cet oiseau beau par­leur, avec son enver­gure impo­sante, son bec cro­chu et son intel­li­gence redou­table a su com­bler les plus célèbres pirates des mers agi­tées
Millionnaire, d’une intel­li­gence redou­table , il règne sur l’empire du crack et sur une armée de dea­lers. Rien ne semble devoir l’arrêter.
Pronunciation guide : Learn how to pro­nounce une intel­li­gence redou­table in French with native pro­nun­cia­tion. une intel­li­gence redou­table trans­la­tion and
Ce roman s’avère d’une intel­li­gence redou­table et d’une richesse foi­son­nante. D’une part, le lec­teur savoure un sus­pense à tiroirs qui se foca­lise sur James
Spécialiste du réseau et de la connec­tique, il fait preuve d’une intel­li­gence redou­table et par­fois d’une force éton­nante. Pourrait-il, à l’instar du lsd
taille peut atteindre plus de cinq mètres… et il a une intel­li­gence redou­table ! Aliens des fonds marins est un docu­men­taire de diver­tis­se­ment scien­ti­fique
Le tout en sla­lo­mant entre les lieux com­muns avec une intel­li­gence redou­table du temps pré­sent, qui dépasse l’antagonisme fémi­nin-mas­cu­lin,
Une bête d’une intel­li­gence redou­table , dres­sée à flai­rer et à tuer, réfor­mée pour agres­si­vi­té patho­lo­gique,  » une salo­pe­rie vivante « , avaient aver­ti les
Branle-bas de com­bat à la Criminelle de New York. Isaac McQueen, dit le Collectionneur, pré­da­teur pédo­phile à l’ intel­li­gence redou­table , vient de s’évader
« Un vision­naire », « un homme d’une intel­li­gence redou­table « , « un Européen convain­cu »… Les poli­tiques bre­tons rendent hom­mage à Valéry
Lisez ce livre et vous en sau­rez plus sur ce mémo­ria­liste à part, ce per­son­nage fri­vole mais doué d’un talent unique et d’une intel­li­gence redou­table .
S’il impres­sionne par ses faits d’armes, Ulysse est avant tout connu pour son intel­li­gence redou­table . Le « héros aux milles ruses » est celui qui met au
Échappez in extre­mis à un Alien féroce et impré­vi­sible qui réagit à cha­cun de vos gestes et fait appel à ses sens aigui­sés et à son intel­li­gence redou­table
une fable morale inci­sive qui impres­sionne grâce à l’ intel­li­gence redou­table de son scé­na­rio et à la pré­ci­sion de sa mise en scène
Lui, plus jeune, gri­son­nant, pour­tant beau, est d’une intel­li­gence redou­table qui devient au fil des actes quelque peu inquié­tante
en charge de l’enquête pour retrou­ver les fugi­tifs. D’une intel­li­gence redou­table , il est capable de déchif­frer et anti­ci­per leurs dépla­ce­ments.
En 4 pièces magis­trales, toutes impré­gnées par une intel­li­gence redou­table , ren­dant à Deleuze ce qu’il avait com­pris pro­fon­dé­ment de la musique
d’une intel­li­gence redou­table et d’une géné­ro­si­té de cœur qui laissent pré­sa­ger de futures géné­ra­tions d’adultes dont on sera fiers d’être les parents !
aborde des réflexions sur le sui­cide, la dépres­sion et la rédemp­tion, et fait de ce drame un mille-feuilles psy­cho­lo­gique d’une intel­li­gence redou­table
D’une plume qui se fait pin­ceau, il rap­pelle son intel­li­gence redou­table , son ambi­tion insa­tiable, son obses­sion de l’unité de l’État.
Mais Salomon, d’une intel­li­gence redou­table , et Constance, maligne comme tout, ne sont pas prêts à se lais­ser faire… Sacrément atta­chants
C’est une pièce d’une cruau­té abso­lue, d’une intel­li­gence redou­table et d’une luci­di­té effrayante. C’est magni­fique, on est tota­le­ment empor­té par le pro­pos
Qui est cette femme à l’ intel­li­gence redou­table , aux des­seins opaques ? Entre mafia, socié­té secrète, et inno­cents en déroute

c’est dans mon men­tal que je suis heu­reux ou mal­heu­reux
Facebook. Dans mon men­tal . 21 likes. je par­ta­ge­rai mes emo­tions, mes idées et de temps en temps mon vécu.
Mais, en lisant votre réponse, quelques ques­tions sont sur­ve­nues dans mon men­tal . Although, while rea­ding your reply, a num­ber of ques­tions kept ari­sing in my mind.
Comment faire une pause dans mon men­tal grâce à la res­pi­ra­tion Le 01 juin 2021 Cette vidéo explique com­ment cal­mer le men­tal grâce la res­pi­ra­tion abdo­mi­nale et la cohé­rence car­diaque afin d’être en pleine conscience et de vivre le moment pré­sent. Halte à l’a­gi­ta­tion, au stress, aux dis­per­sions : fai­sons de la place !
J’ai Trop De Pensées ! Comment Faire Pause Dans Mon Mental ? Je pense trop, j’ai trop de pen­sées
Faiblesse se trouve dans mon coeur, la force est dans mon men­tal Mixtape | Mexico | 18 jan­vier
Bonjour je suis un homme de 46 ans et cela fait main­te­nant 5 ans que je souffre de bavar­dage men­tal incessant,il n’y a pas de pause dans mon men­tal ‚ça parle ‚ça chante en boucle ‚ça pense , pour­quoi j’ar­rive pas à l’é­teindre
« Je me suis ren­du compte qu’il y avait un brou­ha­ha incroyable dans mon men­tal  » confit-il. Un constat qui lui per­met­tra de faire ses pre­miers
connaître, contrô­ler, maî­tri­ser et concen­trer mon men­tal devient prio­ri­taire, puisque je passe ma vie devant et dans mon men­tal .
Je ne peux pas choi­sir en ima­gi­nant toutes les pos­si­bi­li­tés dans mon men­tal . Je dois les vivre, les tes­ter pour savoir ce qui me cor­res­pond.
Pourtant moi qui suis quel­qu’un d’as­sez stable dans mon men­tal , même moi j’ai des coups de mou, c’est pas tou­jours facile de gérer toutes ces émo­tions
Il m’a fal­lu des années pour com­prendre ce que vou­lait dire « être dans le men­tal ». Ensuite tout autant pour com­prendre com­ment je fai­sais des noeuds dans mon men­tal , Après, com­ment cela jouait contre moi, Et encore plus pour com­prendre com­ment « faire la paix avec ce men­tal ». Aujourd’hui, j’ai déni­ché cer­taines clés pour faire la paix avec mon men­tal et ma capa­ci­té d’entreprendre ma vie est plus saine, plus joyeuse.
Autiste de mon corps, je vivais dans mon men­tal , et je vivais mal, les mots heu­reux et bon­heur m’é­taient incon­nus, je ne connais­sais que la notion de plai­sir
je suis très sou­vent dans mes pen­sées, dans mon men­tal , donc pas pré­sent au corps, pas pré­sent à ce que je vis ici et main­te­nant
Quand j’ai com­men­cé le pro­gramme, je m’attendais à apprendre quelques outils simples qui m’aideraient dans mon men­tal , comme apprendre à accep­ter l’échec et le pou­voir du mono­logue posi­tif.
Très vite, le droit a pris une part impor­tante dans mon men­tal . Plus le blog gran­dit, plus on prend des risques, explique-t-elle.
A 45 jours, ça souffle dans mon men­tal …..La semaine der­nière je vous avais dit que autour de 40 jours il était pos­sible que la vraie faim appa­raisse. En réa­li­té, il s’est pas­sé tout autre chose.
Pourquoi Je Crois Encore Mon Mental ?, je crois aux pen­sées dans ma tête, iden­ti­fi­ca­tion au men­tal, men­tal, le men­tal, mon men­tal, mon men­tale, le men­tal sebas­tien lecler, pour­quoi je crois mon men­tal, com­ment arrê­ter de croire mon men­tal, je veux arrê­ter mon men­tal, croire mon men­tal, je crois mon men­tal, sebas­tien lecler, croire au men­tal, croire dans mon men­tal , je crois mon men­tale, com­ment ne pas croire mon men­tal, quoi faire pour ne pas croire mon men­tal
Faut que je me réins­talle dans mon men­tal de res­pon­sable. C’est un dû pour les familles, pour la popu­la­tion.
J’analyse ma situa­tion, je prends du recul, j’ap­prends à me pro­té­ger, je fais de la place dans mon men­tal , je reprends mon souffle
Je me fai­sais constam­ment des scé­na­rios catas­trophes et pré­mé­di­tais des moments et des situa­tions néga­tives qui n’exis­taient que dans mon men­tal .
La pho­to du jour. Observez bien et trou­vez les sept dif­fé­rences · Football. « On s’est aper­çu d’une faille dans mon men­tal ».
Ce que fait votre men­tal quand per­sonne ne regarde dans mon men­tal dans mon men­tal dans ces moments où le men­tal est le plus enclin à pro­duire de la néga­ti­vi­té, j’ai noté une énorme trans­for­ma­tion dans mon men­tal et dans ma vie
Je remonte dans mon men­tal : la réso­lu­tion émo­tion­nelle est une approche
Je n’ai jamais autant inves­ti dans mon men­tal et mon mind­set, et me voi­là aujourd’­hui une per­sonne – fran­che­ment j’ose le dire
Grâce à elle, je découvre l’é­qui­libre dans mon assiette, dans mon quo­ti­dien et dans mon men­tal . Cela fait du bien de prendre soin de soi avec elle
Ça m’é­vite de gam­ber­ger dans mon men­tal , sou­rit-elle. Muriel, Sylvie (au centre) et Laurent (à droite) pro­fitent de la pause-café
Peut-être que je ne suis pas dans l’ac­cueil de mon res­sen­ti, mais que je res­sasse et que je rumine dans mon men­tal .
la réus­site de mes stages ont été sources de moti­va­tions et de fier­té, et m’ont aidée à pui­ser dans mon men­tal et à reprendre cou­rage
12 rai­sons pour les­quelles 2017 a été l’une des plus belles… 28 déc. 2017 — J’ai du mal à gar­der les pieds sur terre, comme empri­son­née dans mon men­tal . Il me kid­nappe, ne me laisse plus tran­quille, m’é­loigne du
Note per­son­nelle : J’invoque cette Chambre de Lumière quand je vois que je suis trop dans mon men­tal et les effets sont à chaque fois sur­pre­nants.
Je me suis sen­tie rem­plie et tota­le­ment ali­gnée, pas dans mon men­tal , ni dans mon égo : dans mon corps. De ma tête à mes plantes de pied.
Tu es entré dans mon men­tal , tu dois ren­trer en moi phy­si­que­ment. Je ne sais pas ce que tu m’as fait. Mais tu me fais vrai­ment res­sen­tir
Comme un code interne que je pro­gramme dans mon men­tal en le pro­non­çant, il agit pour rame­ner ma conscience au centre de moi-même.
Perdues dans mon men­tal étour­di. Par quel miracle mes oiseaux. Volent-ils encore aujourd’­hui ? Par quelle adresse. Se posent-ils entre les fis­sures
les mon­tagnes du Pérou, les man­chots d’Ushuaia et toutes les autres choses que je n’ai même pas osé pro­je­té dans mon men­tal .
la confu­sion dans mon men­tal sale à cause de la pol­lu­tion de satan. J’aimerais bien voir quelle sera la conclu­sion. Refrain Le juge­ment der­nier.

Vaccins Covid Vaccin Moderna Psychologie/Développement per­son­nel Je n’arrive pas à vou­loir apprendre le monde.
et toutes les villes comptent ces vio­lences du petit peuple dif­fi­cile de faire vivre toutes ces formes socié­tales ensemble. Gouvernance d’amateurs qui n’arrive pas à vou­loir com­prendre les malaises de notre socié­té.
Aujourd’hui , cha­cun viens avec sa folie, son bon sens, sa timi­di­té, sa valeur, sa ten­dance… Même si la majo­ri­té n’arrive pas à vou­loir par­ta­ger la vision d’autrui. J’crois que c’est un gros frein pour cer­tains qui sont pas habi­tué à avan­cer avec le carac­tère des autres.
Et l’on connaît l’a­na­lyse déci­sive de saint Augustin sur cette liber­té qui n’ar­rive pas à vou­loir .
Bien que je sache qu’il y a un mal­heur en vue, le seul fait d’être atta­chés à la même corde le donne l’illusion d’une entente entre nous deux. C’est une erreur mais je n’ar­rive pas à vou­loir du mal à cette femme qui est en train de me tra­hir.
À l’issue, Xavier Bertrand affiche un dis­cours plu­tôt paci­fique : « Je ne suis tou­jours pas macro­niste, mais je n’ar­rive pas à vou­loir être dans une guerre de tran­chée. » Après, lorsque l’on égrène un à un les dos­siers avec lui, les coups de griffes du chat Bertrand sont plus nom­breux que les caresses.
Écriture basique, des situa­tions aux­quelles on n’ar­rive pas à vou­loir croire, des per­son­nages lisses.
finit par se don­ner les motifs de ne rien faire. Il n’ar­rive pas à vou­loir , il rumine une inces­sante ana­lyse de lui-même et de la réa­li­té qui le main­tient en dehors de toute volon­té.
Je n’arrive pas à vou­loir détruire quel­qu’un que je connais pas juste parce qu’il me le demande.
Et donc je n’ar­rive pas à pen­ser des choses heu­reuses je n’arrive pas à vou­loir je n’ar­rive pas à me défi­nir je n’ar­rive.
Dans son genre, cet autre uni­vers est au moins aus­si inté­res­sant que le nôtre et on n’ar­rive pas à vou­loir sa des­truc­tion.
Quelque part, ce couple est pri­son­nier de son des­tin et de son époque, il n’ar­rive pas à vou­loir véri­ta­ble­ment quelque chose.
Que si un de ses potes se fait mal ou est malade, c’est sur lui qu’on comp­te­ra. Il le sait et n’arrive pas à vou­loir du mal aux autres. Il n’arrive pas à sou­hai­ter la bles­sure ou le for­fait d’un copain, et pour­tant, qu’est-ce qu’il aime­rait le jouer ce match. Mais il le savait, il s’en dou­tait et il était prêt.
C’est plus vrai que jamais en ce moment, on n’ar­rive pas à vou­loir se sépa­rer de ceux qui nous appau­vrissent tout les jours un peu plus !
Je n’ar­rive pas à vou­loir décou­vrir leur musique que je ne connais mal­heu­reu­se­ment pas.
Harper est très convain­cant lorsqu’il dit ce genre de trucs. Et c’est vrai qu’ici notre esprit change, au plus pro­fond. L’auteur du jour­nal intime ne cesse d’évoquer son grand dilemme. Il n’arrive pas à se concen­trer sur sa res­pi­ra­tion. Il n’arrive pas à vou­loir arrive pas à vou­loir se concen­trer. Ta vie est un échec. Une série de mau­vaises déci­sions. Il se déteste. Des choses à régler.
Si je n’ar­rive pas à vou­loir ce que je veux ! C’est que je manque d’i­ma­gi­na­tion ! C’est que le cir­cuit du vou­loir m’é­chappe !
On arrive au malaise dans la rela­tion quand les nor­maux soit font comme si l’autre était comme eux, soit l’i­gnorent car n’ar­rive pas à vou­loir voir sa dif­fé­rence. Comme on met sou­vent la per­sonne stig­ma­ti­sée dans cette situa­tion de malaise, elle a toutes les chances de deve­nir la plus habile à la manier.
J’aimerais pou­voir arri­ver à vou­loir croire que je ne suis pas le seul.
Je dois écrire sinon je ne sau­rai jamais où est la réa­li­té. J’ai pas mal. Je com­prends tout mais je n’arrive pas à vou­loir ce que je pense. Je sais qui j’étais. Je sais ce que je deviens, mais je ne sais pas pour com­bien de temps.
Osons écrire que n’est pas comme l’âne de Buridan qui veut. Oui c’est osé car jus­te­ment, l’âne de Buridan n’arrive pas à vou­loir. Et arri­ver à vou­loir être un être qui n’arrive pas à vou­loir c’est vrai­ment fort, n’est-il pas ?
Elle m’a deman­der jusqu’où j’irais et elle m’a dit que pour elle c’était une façon de mettre fin à mes jours. Je le sais mais je n’arrive pas à vou­loir arre­ter, c’est comme si cette solu­tion me conve­nait et en même temps il y a mon fils mais je pré­fère ne pas pen­ser à l’après, a lui pour conti­nuer mon auto­des­truc­tion.
Face au juge d’instruction, elle eut cette phrase que l’avocat géné­ral sou­ligne à plu­sieurs reprises : « J’ arrive pas à vou­loir . » La psy­cho­logue qui la suit depuis bien­tôt deux ans explique que le viol est venu s’ajouter aux mal­trai­tances de l’ex-belle-mère.
Puis, c’est venu comme ça. Et il n’est pas peu fier du résul­tat. Bruno ne sait pas très bien ce qu’il veut faire plus tard. Il n’arrive pas à vou­loir quelque chose de loin. Il pré­fère se satis­faire de ce qu’on a main­te­nant.
Pardon mes amis, vous êtes morts par ma faute, je n’arrive pas à vou­loir le tuer, pour la pre­mière fois de ma vie, je vais fuir, par­don­nez-moi d’être aus­si faible !
j’ai le cer­veau fait pour ça visi­ble­ment, mes bonnes notes dans le domaine me disent que c’est bon, je peux y arri­ver. Mais je n’y arrive pas, je n’arrive pas à vou­loir , c’est trop dur de se for­cer, d’imaginer une vie de tra­vail à attendre le week end pour se défou­ler, boire, se dro­guer, s’abîmer, oublier puis retour­ner se tuer un peu plus pour avoir de quoi sur­vivre.
Malgré des baisse de pro­duc­tion (en terme de porcs mis en mar­ché), le mar­ché n’arrive pas à vou­loir se débar­ras­ser des inven­taires (Cold sto­rage) encom­brant des der­niers mois.
Déjà, il sait. Irrémédiablement, il a choi­si : le 23 juillet, il se don­ne­ra la mort. Parce qu’il n’arrive pas à vou­loir ni à dési­rer, parce qu’il a peur, parce qu’il n’arrive à mettre la main sur rien.
Il a beau être par­fois dégueu­lasse, je n’arrive pas à vou­loir sa mort (heu­reu­se­ment, il meurt pas). Je peux juste me dire : Chaos, t’es trop cool.
Mais il y a de ces situa­tions ou le désir de l’un n’est juste pas com­pa­tible avec le désir de l’autre. Peu importe les argu­ments on arrive pas à vou­loir la même chose. Tu trouves que l’exemple de l’avortement est un peu fort, moi je le trouve au contraire très per­ti­nent.
j’ai pour­tant l’impression de ne pas être dif­fi­cile et d’aimer beau­coup de chose mais force est de consta­ter que je dois l’être ! Mais mal­gré ces décep­tions je n’arrive pas à vou­loir autre chose que des surprises,et je crois plus pro­fon­dé­ment que c’est l’envie d’être ras­su­rée en me disant « lui au moins il me connait par coeur…… »
elle per­çoit que ça ne va pas, elle veut s’en sor­tir, regros­sir, mais a tel­le­ment peur de perdre le contrôle qu’elle n’arrive pas à vou­loir ce chan­ge­ment. Elle est coin­cée dans cet état de grand contrôle.
C’est pas Dieu, c’est pas toi, c’est pas nous, c’est pas eux / C’est bien moi qui arrive pas à vou­loir la lueur dans tes yeux / J’étais pas­sa­gère dans ta vie, j’savais que j’avais pas d’avis
Alors que d’une part, il réa­lise et magni­fie l’amour, d’autre part il s’en dis­so­cie for­cé­ment, soit qu’on n’arrive pas à vou­loir celui qu’on aime, soit qu’on a besoin de vou­loir d’autres femmes et d’autres hommes.
Et si on ne le fait pas, on fait gagner et pros­pé­rer le mal, parce qu’on a refu­sé ce que Dieu veut nous don­ner et parce qu’on n’arrive pas à vou­loir comme lui le triomphe de l’amour chez tous ses enfants.
Le fait est que je l’adore, on est sur la même lon­gueur d’ondes, on a les mêmes délires bla­bla, il est très atti­rant, mais j ’arrive pas à vou­loir de lui. je n’ai abso­lu­ment aucune idée de ce qui me bloque.
Pourquoi je n’arrive pas à vou­loir le bon­heur et croire en mon ex, que je pense per­vers nar­cis­sique ou du moins toxique, qui avance et a des pro­jets ?
par ce que si t’es une femme en mal d’enfant, tu pour­rais aus­si être mon mari, en mal de sa vie et du pour­quoi il n’arrive pas à vou­loir d’enfant… sauf que pour la fin du texte, cha­cun peut l’interpréter comme il veut !
je fais aucun effort pour contrô­ler ça donc c’est pas du contrôle ni du sang froid, j ’arrive pas à vou­loir de mal au autre, par­fois oui, mais seule­ment quand ça touche d’autre per­sonne ou que c’est une injus­tice
Il doit avoir des blo­cages qui font qu’il n’arrive pas à vou­loir s’engager avec vous. Il peut ne pas être prêt, mais la plu­part du temps cela veut sur­tout dire qu’il ne vous voit pas comme la femme de sa vie…
on a essayé une séance de thé­ra­pie de couple… en vain car je n’arrive pas à vou­loir répa­rer car je suis déjà par­tie…
Ajd nous nous aimons comme jamais nous n’avons aimé d’autres per­sonne nous sommes si heu­reux quand nous sommes ensemble et lui n’arrive pas à vou­loir fran­chir le pas… Ajd je ne crois plus en rien…
Depuis le temps, j’ai l’habitude, je ne chan­ge­rai plus. Mais même quand on me met à terre, je n’arrive pas à vou­loir faire du mal à l’autre. Je n’ai pas l’esprit de ven­geance, du tout. C’est ain­si. Je n’arrive pas à me défendre.
Par exemple, on peut lui dire avec sin­cé­ri­té : « Seigneur, je n’arrive pas à vou­loir obéir à tes com­man­de­ments » ou « Au fond de moi, je sou­haite faire ta volon­té. Mais en pra­tique, je ne suis pas assez motivé(e)… ».