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Catégorie : Post
Qui osera jamais raconter ce qui se passait alors dans les maternelles ?
N’établit pas de relations avec les autres.
Ne situe pas les objets par rapport à soi.
N’accepte pas les contraintes collectives.
Ne joue pas son rôle dans les activités.
N’accepte pas de participer à des activités motrices collectives.
Ne classe pas des objets par la matière, l’aspect et la fonction.
N’éprouve pas de la confiance en soi.
N’utilise pas les objets à bon escient.
À partir de situations vécues, n’observe et ne nomme pas des animaux et des végétaux de l’environnement proche.
Ne présente pas le corps humain avec la segmentation élémentaire.
N’exécute pas des tâches simples en présence de l’adulte.
Ne remplit pas un planning hebdomadaire.
N’écoute pas.
Ne coopère pas avec ses partenaires en élaborant une stratégie.
Ne qualifie pas même avec l’aide du maître.
Ne nomme pas les principales parties du corps humain et leur fonction.
Ne prend pas conscience de ses cinq sens dans des situations variées.
Ne se repère pas sur la frise de la matinée.
Ne distingue et ne nomme pas les organes des sens.
N’éprouve pas de la satisfaction dans la réussite.
Ne compare pas des quantités.
Ne décrit pas.
Ne coopère pas.
Ne distingue pas les cinq sens et leur fonction.
Ne met pas les organes des sens en relation avec leur fonction.
Ne reconnaît pas différents lieux de l’école pour s’y déplacer.
Ne perçoit pas les changements d’état.
N’utilise pas.
Ne reconnaît pas.
Ne nomme pas des objets familiers.
Ne reconnaît pas des manifestations de la vie animale et végétale.
Ne mime pas des émotions ou des états extrêmes.
Ne persévère pas en vue de progresser.
N’aide pas.
Ne se repère pas et ne se déplace pas dans l’espace.
Ne situe pas différentes activités de la journée.
N’écoute pas, ne mime pas et ne mémorise pas des jeux de doigts et des comptines.
Ne nomme pas et ne situe pas les principales parties de son corps (membres, articulations, organes sensoriels).
Ne situe pas des événements les uns par rapport aux autres.
À partir de situations vécues ou de documents variés, n’identifie pas et ne représente pas les grandes fonctions (locomotion, nutrition, croissance, reproduction) et le cycle de vie.
À partir de situations vécues ou de documents variés, ne nomme pas.
Ne mime pas des sentiments.
N’utilise pas le vocabulaire temporel (hier, demain, le nom des jours, des mois).
N’apprend pas à partager un espace, un objet.
Ne reconnaît pas.
Ne respecte pas l’espace de la page.
N’adapte pas ses déplacements à des environnements ou contraintes variés.
N’exprime pas des sentiments et des émotions par le geste et le déplacement.
Ne met pas en relation des animaux et leurs petits.
Ne classe pas en fonction de la matière.
Ne reconnaît pas.
Ne reconnaît pas.
Ne relie pas les manifestations de la vie animale et végétale à de grandes fonctions : croissance, nutrition, locomotion, reproduction.
Ne trie pas.
Ne repère pas les caractéristiques des matières (couleur, forme, toucher).
Ne nomme pas ses gestes.
Ne reconnaît pas.
N’accepte pas de jouer avec l’autre.
N’utilise pas de repères dans la journée, la semaine et l’année.
Ne dessine pas un rond, un carré, un triangle.
Ne situe pas différentes activités de la matinée.
Ne situe pas et ne représente pas les différentes parties d’un animal ou d’un végétal ne met pas en relation les animaux et les végétaux avec leurs milieux.
Ne dessine pas.
N’identifie pas et ne tient pas deux rôles différents dans un jeu collectif.
N’aide pas l’autre à réaliser une tache simple.
N’établit pas des classifications simples des êtres vivants.
Ne respecte pas les autres ni les règles de la vie commune.
Ne s’oriente pas de manière autonome dans différents lieux moins familiers.
Ne nomme pas et ne situe pas les principales parties de son corps (tête, buste, bras, jambes).
Ne maîtrise pas ses réactions.
Ne dénombre pas les absents.
Ne relativise pas l’erreur.
Ne connaît pas et n’applique pas quelques règles d’hygiène du corps, des locaux, de l’alimentation.
N’utilise pas le vocabulaire (maintenant, hier, demain).
Ne s’engage pas dans un jeu collectif en respectant les règles.
N’utilise pas le vocabulaire adéquat (sur, sous, dans, loin, près).
Ne devient pas capable de choisir les outils et matériaux adaptés à une consigne ou une intention de création.
N’ose pas s’engager dans des actions nouvelles.
Ne coopère pas en petit groupe dans le cadre d’un jeu.
Ne compare pas.
Ne produit pas, seul ou à deux, un mouvement en réponse à une sollicitation (sonore, visuelle).
Ne s’oppose pas dans un corps à corps en respectant l’adversaire.
Ne range pas et ne classe pas des matières, des objets selon leurs qualités et leurs usages.
Ne nomme pas les différentes parties de son corps et leur fonction.
Ne complète pas une collection.
Ne nomme pas « matin, après-midi ».
Ne s’engage pas.
Ne nomme pas.
N’a pas mémorisé et ne sait pas interpréter des chants, des comptines.
Ne réalise pas les actions motrices de base (déplacements, équilibres, manipulations) dans des activités spontanées.
N’identifie pas les adultes et leur rôle.
Ne tient pas un rôle dans un jeu collectif en identifiant ses partenaires et ses adversaires.
Ne nomme pas.
Ne combine pas plusieurs actions motrices.
Ne distingue pas ce qu’il a fait de ce qu’il a appris.
Ne situe pas les objets les uns par rapport aux autres.
N’identifie pas haut et bas.
N’observe pas.
Ne prend pas en compte et ne respecte pas l’autre.
Ne scinde pas filles et garçons, niveaux.
Ne prend pas conscience de ses gestes.
Ne contrôle pas ses émotions.
Ne dénombre pas une quantité en utilisant la suite orale des nombres connus.
Ne repère pas un danger et ne le prend pas en compte.
Ne résout pas des problèmes portant sur les quantités.
Ne réfléchit pas à la préhension pertinente des outils les plus usuels.
Ne prend pas conscience de la notion de quantité : un peu, beaucoup, pas du tout.
Ne se repère pas sur la frise de la journée.
Ne compare pas : plus, moins, autant (langage).
Ne constate pas les effets produits.
N’accepte pas de participer à des activités de contact corporel direct.
N’exécute pas des tâches simples en autonomie.
Ne constate pas les effets produits.
Version « je » (& affirmatives) :
J’établis de relations avec les autres.
Je situe les objets par rapport à moi.
J’accepte les contraintes collectives.
Je joue son rôle dans les activités.
J’accepte de participer à des activités motrices collectives.
Je classe des objets par la matière, l’aspect et la fonction.
J’éprouve de la confiance en moi.
J’utilise les objets à bon escient.
À partir de situations vécues, j’observe et je nomme des animaux et des végétaux de l’environnement proche.
Je présente le corps humain avec la segmentation élémentaire.
J’exécute des tâches simples en présence de l’adulte.
Je remplis un planning hebdomadaire.
J’écoute.
Je coopère avec mes partenaires en élaborant une stratégie.
Je qualifie même avec l’aide du maître.
Je nomme les principales parties du corps humain et leur fonction.
Je prends conscience de mes cinq sens dans des situations variées.
Je me repère sur la frise de la matinée.
Je distingue et nomme les organes des sens.
J’éprouve de la satisfaction dans la réussite.
Je compare des quantités.
Je décris.
Je coopère.
Je distingue les cinq sens et leur fonction.
Je mets les organes des sens en relation avec leur fonction.
Je reconnais différents lieux de l’école pour m’y déplacer.
Je perçois les changements d’état.
J’utilise.
Je reconnais.
Je nomme des objets familiers.
Je reconnais des manifestations de la vie animale et végétale.
Je mime des émotions ou des états extrêmes.
Je persévère en vue de progresser.
J’aide.
Je me repère et je me déplace dans l’espace.
Je situe différentes activités de la journée.
J’écoute, je mime et mémorise des jeux de doigts et des comptines.
Je nomme et je situe les principales parties de mon corps (membres, articulations, organes sensoriels).
Je situe des événements les uns par rapport aux autres.
À partir de situations vécues ou de documents variés, j’identifie et je représente les grandes fonctions (locomotion, nutrition, croissance, reproduction) et le cycle de vie.
Aller se la jouer loin de sa nature
Ce texte, qui vient de paraître dans Trou noir, est dédié à Joachim C., cabaret travesti et chômeuse longue durée, qui résuma auprès d’une amie la teneur d’une remarque que je venais de lui faire : « Ce qu’Antoine veut dire, c’est qu’il trouve que tu es allée te la jouer loin de ta nature. »
C’est probablement par voie de « nature »
– ce mot des âges classiques qui colle aux palais et demeure, outre tous les congédiements, d’usage pour parler du matériel menacé de réduction biologique : genre et cul, courbes et inclinations… –
c’est très certainement en vertu de « ma » nature, ma nature « propre », et pour y échapper, que je déciderais, un jour, quand les conditions initiales auraient réduit jusqu’au bouillon, quand mes tentatives d’être populaire ou d’avoir un 15 en rédac auraient épuisé l’énergie de ma naissance et le fonds de mes propriétés, d’
ALLER ME LA JOUER LOIN DE MA NATURE– fugue sans témoin ou presque (n’étant pas du genre qui trouble ouvertement les genres), et presque sans effets (étant du genre qu’on ne marque pas), et fugue temporaire en tout cas, fugue composée de minifugues en chaîne, jamais trop loin jamais trop long, mais chaque fois un peu plus profond dans le savage alien hostile et merveilleux des natures contraires.
Or on sait bien ceci, que les Anciens toutefois semblaient ignorer, que si tu fonces tout droit vers ta nature « la plus contraire », tu finiras par faire des ronds autour du point d’où tu partis, naquis, fus posé là, pourvu de couilles par le plus grand, enfin par le plus petit des hasards : celui qui fait les couilles conformes
– avec ça d’intéressant quand même, et qui finit par faire d’une série minifugitive une dérive : les ronds toujours plus « grands », excentriquement parlant.
Aussi ALLER SE LA JOUER LOIN DE SA NATURE est-il (au moins à titre d’hypothèse, et toujours à ce stade dont le dépassement est en vue pour peu qu’on ne s’y projette pas) le premier pas d’une possible AVENTURE, le premier tour d’un vice qui mènerait à une embardée dans la périphérie de sa nature, une boucle autour de sa nature par l’extérieur de sa nature, par ce qui la cerne ou la ceint, et qui était jusque-là tenu pour non-lieu, ne figurant pas sur les cartes, sur le plateau de sa nature
– et bien sûr, les conditions de possibilité d’une telle aventure ne sont pas infuses, mais elles n’ont pas non plus rien à voir avec le standard, le standpoint, la config initiale, puisqu’on dit qu’elles procèdent d’une cascade d’implications faites, qui sont autant de désimplications à faire :s’être fait attribuer une nature et avoir eu à en répondre ;avoir reconnu que la nature, c’est du propre ;avoir non seulement identifié mais situé sa nature, l’avoir circonscrite, l’avoir consacrée comme topique (on peut maintenant s’en éloigner – pour le week-end, pour la nuit) ;avoir considéré l’écart par rapport à sa nature comme un « se la jouer », comme donc :une chevauchée dans l’artifice,un raid brouillon dans le latex ou le polystyrène,un truc de branleur ou de mauvaise fille,de bad bitch au soir tombant ;et, selon les époques et les genres en vigueur :un truc cuir,un truc Tacchini,un truc bottes à franges,un truc toge entrebâillée,un truc plume dans le cul.
On sait que, quand vous avez commencé à dire merde, vous n’êtes pas loin d’aller fuguer ;qu’après la première fugue, vous n’êtes pas loin de tomber dans la drogue ou le maquillage et,qu’une fois poudré, vous êtes à deux pas de la première gav ;or on sait que la première gav est un ticket pour la Syrie ou la porte ouverte à l’amok au collège – il suffit d’une nuit un peu chaude sur Twitch ou Youtube.
À quoi ressemble l’échelle dont ALLER SE LA JOUER LOIN DE SA NATURE est le premier degré ?A1. Percer,A2. tatouer,A3. prothéserle corps des factory settings ?
B1. Chausser les compensées de la frangine aux heures creuses de l’appartement,B2. profiter du cours d’EPS pour kiffer quand ça moule,B3. convoquer des soirées porno entre couilles et n’avoir qu’un œil sur l’écran ?
C1. Sucer pour un contrôle de maths,C2. une barrette,C3. une invitation à la teufdans les toilettes du CDI ?
Et si, à l’occasion d’une embardée loin de vos natures, un meurtre était commis, qui pourrait le juger ? Et quel serait le verdict ?A. La Nature trahie ?B. La Nature révélée ?C. La Dérive monstrueuse ?D. La Bouffée Soudaine d’état-de-nature ?
Et que diriez-vous pour votre défense ?A. Sous l’empire d’une nature aliène, j’avoue que j’ai commis.B. La nature est ce qui a élevé en moi une aptitude au crime, le crime de l’artifice.
Au retour de mes fugues, il arrive que, par peur de laisser percevoir que ma fugue m’a changé, j’épouse rigoureusement les contours de ma nature native : je m’y tiens sage, je m’y cantonne, et très certainement je m’y vautre, avec une ardeur louche – comme on se vautre avec jubilation dans la fange du capitalisme tardif, voilà,J’épouse ma nature native.=Je m’enfile un bigmac sur un parking à Plan-de-Campagne par une journée caniculaire d’avril, les bronches assaillies de particules fines.
Et, naturellement, le retour à soi vient avec son procès ;
la nature, parce qu’on sait qu’elle fait bien les choses, opère continûment pour rétablir l’équilibre du monde – l’équilibre des dignités et des indignités, celui des mérites et des démérites, etc. ;
la nature, parce qu’on sait qu’il est avéré que ses normes collent à ses formes, prononce spontanément une sorte de jugement
– une pluie de châtiments-réflexes s’abat sur qui est de retour dans sa nature après une fugue hors sa nature :asthénie post-prandiale,insuffisance pulmonaire,hypersudationnotation des courbes sur 20évaluation du coup de reins(sans compter le tournis que ça donne en cherchant la sortie, à Plan-de-Campagne).
À l’inverse, chaque maladie éteinte signalerait la fin de velléités à aller voir loin de sa nature ; récompenserait, en le sanctionnant positivement, un retour dans l’enclos de sa nature. Car c’est bien ainsi que la nature est faite : tout ce qui y paraît comparaît ; et tout jugement ex natura est de ceux qui, plus ou moins exécutoirement, décident de qui va vivre et de qui, ne sachant pas vivre selon ses normes, doit mourir. L’éventail des sanctions intermédiaires ou substitutives est large, les mesures disciplinaires temporaires et les préventions bienveillantes sont nombreuses : mettre fin à une cavale dans l’artifice,priver du plaisir de feindre une nature ou de trahir la sienne,rassoir dans la cellule de dégrisement des natures standard,confisquer les natures d’apparat, les natures irisées, les capes et les moires, paillettes, les natures d’ombres et de lumières – mais sans surprise elles tuent à la longue, et qui est suspecté de déserter sa nature, de chômer sa nature, voire de perruquer la nature, s’expose à la même rage que celle qui vise qui chôme tout court, perruque tout court et s’abstient tout bonnement de produire.
Ah. Oh. Si seulement le jugement n’était que la sanction ; mais il ne vient jamais sans sa leçon. Teneur : qui trahit sa natureest traître à la Nature Commune,et jouit d’une Dissidence personnelle et mesquine, et joue le Sensuel contre l’Organique,désaccorde l’Individu de l’Espèce,trouble,par ces misérables velléités de Distinction,ces prétentions puériles sur son Corps et son Cul,ces regimbements contre les Vices conformes et l’aiguillon de la Chair,une Nature Supérieure dont quelqu’un est l’Auteur,une Nature qui fut faite, et fut faite une bonne fois.
Ce tir nourri de reproches et de suspicions, de reproches nourrissant suspicions et réciproquement, est bien connu des coupables et complices d’actes contre-nature, des criminel⋅les de lèse-nature. Mais, à la douce, comme un paquet de lois passées pendant les fêtes, cette réprobation prononcée au nom de la raison naturelle et émise depuis la terre ferme, fertile, la véridique terre des natures instituées, frôle de plus en plus d’entre « nous » qui, après des années d’interrogations interdites ou bavardes devant cette fièvre de conversions Factices !, Capricieuses !, Narcissiques !, envisagent finalement, sinon de déserter leur nature, d’aller gentiment se la jouer loin de leur nature
– même si pas forcément bien loin (ni dans le jeu ni dans l’écart), mais au moins d’aller se la donner, disons, deux ou trois nuits dans le mois, au-delà du périph extérieur de leur nature élémentaire, avant de revenir, fantasmatiquement requinqué⋅es, pointer dans les locaux de La Nature SA, comme un courtier en assurance habitué du cabaret travesti.
Même si c’est par plaisir, d’abord, que nous nous offrons ces débordements ponctuels de nos natures élémentaires, nous ne sortons jamais, une fois poudré⋅es, qu’avec une théorie apologétique portative, et nous savons ce qu’il faut dire à qui viendrait nous accuser de folklore ou d’appropriation :
On notera que fuguer loin de sa nature ne se résume pas, et par conséquent ne consiste absolument pas, à parcourir la distance qui sépare(rait) une volupté innée (se vider les couilles dans une gorge) d’une volupté acquise (se faire écarter l’anus, peut-être pas jusqu’au prolapse mais quand même)
– d’ailleurs, on dirait mieux la première donnée que innée, et la seconde apprise plutôt que acquise, car nous sommes des animaux de notre temps, des bêtes d’agrément répertoriées au DSM, et pas une faune de fonds d’écrans issus d’un magazine de savane des années 1990.
Je ne vais pas « jouer » loin de ma nature.
Je n’ai pas quatre ans et demi.
Je n’ai pas mis le maquillage de maman.
Je n’ai pas un cœur de quatre ans dévoré d’amour-dépendance comme celui d’un petit chien.
J’ai le cœur vaillant des adolescents.
Je ne vais pas barboter à distance raisonnable de ma nature.
Je vais – regardez comme je vais, je suis au bord d’aller, c’est comme ça que ça va se passer : – « me la jouer ».
Comme si on est samedi, je passe une fourrure blanche et du fard à paupières et je catwalk dans les STOP PRETENDING ! GO BACK TO THE HETERO WORLD, WHERE YOU BELONG !
Je suis la norme, je l’incarne et je me rassoie.
Je suis straight : il va falloir que je file droit.
Je trahis mes privilèges dans le moindre de mes gestes.
Je promène mon genre dans chacun de mes pas.
J’appartiens à ma nature, d’ailleurs je la possède – ça se voit surtout quand je me tiens sage.
Là j’ai l’allure de ma nature.
Mais en même temps [resserre son nœud de cravate], ça va bien de faire comme si on ne jouait pas tout·e·x·s à la nature !
Je ne vais pas jouer loin de ma nature ; je vais me la jouer.
Je vais prendre part au game et aux performances, au jeu des impressions faites et des influences exercées.
C’est presque tous les samedis maintenant.
Je vais changer les proportions perçues de mon corps la lavette, je vais styliser la lavette pour en faire une silhouette,
ça y est je suis tout stylisé, poudré,
je joue un jeu de hide and show, de masque et de fard, d’exhib et de pudeur,
un jeu de lumières sur le matériel ombrageux de mon corps.
Et pourtant, quels que soient mon plaisir et ma joie, ça n’est encore, toujours et jamais rien, qu’une impression faite sur les témoins biologiques du seul crime que je puisse confesser sans trahir ce que toute justice, toute administration, ne manquera pas d’appeler : ma véritable nature.
Qui osera jamais raconter ce qui se passait alors dans les collèges ?
(ETC) Explication à Tous sur le Comportement (PTC) Prescription à Tous sur le Comportement (DC) Demande à Tous sur le Comportement (RTC) Réprobation à tous sur le comportement (FTC) Félicitations à Tous sur le Comportement (MTP) Menace à Tous de Punition (PT) Punition à Tous (ETT) Explication à Tous sur la Tâche (PTT) Prescription à Tous sur la Tâche (FTT) Félicitations à Tous sur la Tâche (RTT) Réprobation à Tous sur la Tâche (QTT) Question à Tous sur la Tâche (FBPTT) Feed-back Positif à Tous sur la Tâche (DTJ) Demande à Tous de Jugement (DTT) Demande à Tous sur la Tâche (DIC) Demande Individualisée sur le Comportement (PIC) Prescription individualisée et publique sur le Comportement (CDNC) Constat Descriptif Négatif individualisé et public sur le Comportement (FBNC) Feed-back Négatif individuel et public portant sur le Comportement (MP) Menace individualisée et publique de Punition (P) Punition (EIC) Explication Individualisée et publique sur le Comportement (FBPC) Feed-Back Positif individualisé et public sur le Comportement (FC) Félicitations individualisée et publique sur le Comportement (EITB) Evaluation Individualisée publique sur la Tâche à réponse Brève (PIT) Prescription Individualisée et publique sur la Tâche (EIT) Explication Individualisée et publique sur la Tâche (CDNT) Constat Descriptif Négatif individualisé et public sur la Tâche (FBNT) Feed-back Négatif individuel et public portant sur la Tâche (FBPT) Feed-Back Positif individualisé et public sur la Tâche (FIT) Félicitations individualisée et publique sur la Tâche (DIT) Demande d’Information sur la Tâche (MIP) Message Individualisé Privé (S) Silence de l’enseignant (T) Transition (Br) Brouhaha (LM) Lève la main (PQ) Pose une Question à l’enseignant (RCC) Réponse Conforme aux règles du segment et Correcte par rapport à la tâche (RCI) Réponse Conforme aux règles du segment et Incorrecte/Imprécise par rapport à la tâche (MPPC) Message Positif destiné aux Pairs et Conforme aux règles du segment (MNPC) Message Négatif destiné aux Pairs et Conforme aux règles du segment (CACI) Comportement Académique Conforme aux règles et Isolé (COPE) Comportement Oppositionnel et Provocateur à l’égard de l’Enseignant (LME) Lève la Main avec Exclamation (E) Exclamations (COPP) Comportements Oppositionnels et Provocateurs adressés positivement aux Pairs (COPN) Comportement Oppositionnel et Provocateur adressé négativement aux pairs (A) Agression (D) Déplacement (COPI) Comportement Oppositionnel et Provocateur Intrusif (COPD) Comportement Oppositionnel et Provocateur de Distraction
Petits points noirs
Assez de phénomènes. Si on n’avait pas de rivières et pas d’eau, comment est-ce qu’on ferait pour boire, pour laver ? Pourquoi se lever puisqu’on se couchera ? Pourquoi se laver puisqu’on se salira ? Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils contenir une pensée ? Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Comment la parole, qui est un bruit, peut-elle transporter la pensée ? Pourquoi y a‑t-il du monde ? Que fait-on dans le paysage ? Pourquoi y a‑t-il des arbres, des bêtes ? Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vouloir. Je ne suis qu’une machine ; je dois faire des efforts pénibles pour rester quelqu’un. Mon estomac est complètement inerte. La masse alimentaire remue comme dans un sac. Tout le temps que j’ai l’estomac plein. J’ai les membres brisés et mes yeux se sont retirés dans mon crâne. Je ne pense qu’à mon estomac, c’est dans mon estomac que réside toute ma vie. On n’a jamais vu de fou qui se croie fou. Pourquoi les messieurs n’ont-ils pas de robe ? Je suis seulement près de moi, je ne suis pas en moi. Je vais encore partir sans avoir rien su dire. Toutes mes idées sont là quand je rentre chez moi. Ne t’épuise pas à te changer ; tu vas mourir. Je crois que je vous ai tout dit, et pourtant je n’ai rien dit de l’essentiel. Si je voyais des gens faire la même chose que moi, je les enverrais en prison. Regardez mes yeux, vous verrez qu’ils sont égarés. Le scrupule est la forme justiciable du doute. Chacune de mes pensées est un nid de péchés. Pourquoi y a‑t-il du monde ? Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vouloir. Je vais encore partir sans avoir rien su dire de ce que j’avais à dire. Je ne sais plus croire ni savoir. Comme un manteau de fatigue qui tombe sur mes épaules. Si elles se croyaient vraiment scrupuleuses, ces âmes seraient bientôt guéries. D’un péché l’honnête omission n’empêche pas la rémission. J’ai le cœur pur, puisque j’ai des scrupules. Les complexions lymphatiques, froides et mélancoliques, sont un terrain très propre à produire cette sorte d’épines. Comment se fait-il qu’il y ait des éclairs, un soleil, comment se fait-il qu’il fasse jour ou nuit ? Assez de phénomènes. Assez de phénomènes. Assez de phénomènes. Je retrouve mes idées en rentrant chez moi. Comme un sac poubelle oublié devant la porte. Même si votre confesseur se trompait, vous ne vous tromperiez pas en lui obéissant. Comment est-ce qu’on verrait si on n’avait pas d’yeux ? Même si votre confesseur se trompait, vous ne vous tromperiez pas en lui obéissant. Je vais encore partir sans vous avoir rien dit de ce que j’avais à dire. Naturellement pusillanimes, la moindre apparence de péché leur fait peur. Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils contenir une pensée ? Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Comment la parole, qui est un bruit, peut-elle transporter la pensée ? Si on n’avait pas de rivières et pas d’eau comment est-ce qu’on ferait pour boire, pour laver ? Il me faudrait tout dire, et m’y tenir – mais j’en dis toujours un peu trop. Tu vas mourir ; rien au monde ne peut te guérir. Comment a‑t-on pu faire une maison, une lampe ? La tentation est-elle dans ou devant mon cœur ? Je mourrai dès que j’aurai tout dit. Le scrupule est la forme justiciable du doute. Comment se fait-il qu’il tonne, qu’il y ait des éclairs, qu’il y ait un soleil, qu’il fasse jour ou nuit ? Or je ne serai en paix qu’après avoir tout dit. Par la crainte d’un péché apparent, elles s’exposent à commettre de véritables péchés, notamment l’orgueil de dénier à la confession le pouvoir de sonder leur cœur. De la complaisance au récit minutieux de leurs péchés de chair. C’est pourtant si simple : je vais vous le dire. J’ai des choses importantes à dire. Elle ne peut pas avoir péché, l’âme qui se persuade d’avoir en tout péché. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Comment se fait-il qu’il tonne, qu’il y ait des éclairs, qu’il y ait un soleil, qu’il fasse jour ou nuit ? j’ai déjà dit tout ça cent fois. J’ai dû vous le dire. La conscience de la faute est parfois simplement conscience du défaut. Mon corps ne peut pas, mon esprit ne sait pas. Elle n’est pas folle, qui se croit folle. Il est trop tard, tu vas mourir. Si on n’avait pas de rivières et pas d’eau comment est-ce qu’on ferait pour boire, pour laver ? Pourquoi porte-t-on un tablier ? Pourquoi met-on une robe ? Si tu parvenais à te faire une vie, tu ne te ferais pas tant de soucis. Le scrupule est la forme justiciable du doute. Mon corps ne me touche pas, je suis seulement près de moi. Certaines se complaisent au récit détaillé de leurs péchés de chair. Qu’est-ce que tout cela va devenir quand tout sera fini ? Il me faudrait tout dire, et m’y tenir – mais j’en dis toujours un peu trop. Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Ces âmes scrupuleuses voudraient tout confesser. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Plus je m’accable, plus j’en aurai la certitude. C’est pourtant si simple ; je vais vous le dire. Leur imagination troublée leur représente bientôt que tout est péché. Leur imagination troublée leur représente bientôt que tout est péché. Pourquoi les messieurs n’ont-ils pas de robe ? Regardez mes yeux ; ce sont eux qui parlent ; c’est moi qui ai peur. Leur orgueil tient dans une présomption : nul autre que dieu ne peut sonder mon cœur. Mon esprit est tourmenté par la peur de l’enfer : si je meurs maintenant, serai-je condamné ? Ne t’épuise pas à te changer ; tu vas mourir. Sombres et taciturnes, la crainte change leurs vaines appréhensions en idées fixes. Comment a‑t-on pu faire une maison, une lampe ? Je ne sais plus lire ni comprendre. Si la pièce tombe du côté face, je serai sauvé. Je vois les maisons et les gens à l’envers, je dis des sottises, je vais me cogner la tête contre les murs. Si on n’avait pas de rivières et pas d’eau, comment est-ce qu’on ferait pour boire, pour laver ? S’ils ne perdent pas la leur, ils font perdre sa tête à leur confesseur. Mon esprit est tourmenté par la peur de l’enfer : si je meurs maintenant, serai-je condamné ? On n’a jamais vu de fou qui se croie fou. Si votre confesseur se trompait, vous ne vous tromperiez pas en lui obéissant. Je ne sais plus lire ni comprendre. Elles disent : J’ai le cœur pur, puisque j’ai des scrupules. Il arrive souvent que la bouche des orateurs prononce une suite de paroles indépendantes de leur volonté en sorte qu’ils s’écoutent eux-mêmes comme des assistants, et qu’ils n’ont connaissance de ce qu’ils disent qu’à mesure qu’ils le prononcent. Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils contenir une pensée ? Regardez mes yeux, vous verrez qu’ils sont égarés. Si elles ne perdent pas la tête, elles la font perdre à leur confesseur. Pourquoi porte-t-on un tablier ? Pourquoi met-on une robe ? Je sens que je n’y suis plus, je perds toute volonté, je suis une machine. Regarde mes yeux, j’ai des choses importantes à dire. Sombres et taciturnes, la crainte change leurs vaines appréhensions en idées fixes. Je ne peux pas, je ne veux pas vouloir, je ne sais pas savoir. Si je me taisais pour finir peut-être que tout serait dit. Pourquoi y a‑t-il des arbres, des bêtes ? j’ai déjà dit tout ça cent fois ; je vais vous le dire. Je vais tout vous dire. Je fais des sortes de paris sur mon salut : si la pièce tombe du côté face, je serai sauvé. Je jure de recommencer ma prière du matin dix fois, vingt fois, mille fois, sinon je penserai du mal de Dieu devant les églises. Le scrupule leur fait soupçonner partout le péché. Comme un manteau de fatigue qui tombe sur mes épaules. J’ai déjà dû dire ça cent fois. Il faudrait tout dire et s’y tenir, alors tout serait dit. Mon corps ne me touche pas, je suis seulement près de moi. Je deviens étrange, incompréhensible à moi-même et je m’interroge sur une foule de choses. La conscience de la faute est parfois simplement conscience du défaut. Mon corps ne peut pas, mon esprit ne sait pas. Je deviens étrange, incompréhensible à moi-même et je m’interroge sur une foule de choses. Je retrouve mes idées sur le pas de ma porte. Ce n’est plus moi qui marche, ce n’est plus moi qui mange, ce n’est plus moi qui parle. Même si votre confesseur se trompait, vous ne vous tromperiez pas en lui obéissant. Regarde mes yeux, j’ai des choses importantes à dire. Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Chacun de mes meubles est un nid de pensées. Regardez mes yeux, vous verrez qu’ils sont égarés. Le scrupule est la forme justiciable du doute. Je vais encore partir sans avoir rien su dire de ce que j’avais à dire. Si elles ne perdent pas la tête, elles la font perdre à leur confesseur. Je ne sais plus savoir ce que tout le monde sait. Je vois les maisons et les gens à l’envers, je dis des sottises, je vais me cogner la tête contre les murs. Or je ne serai en paix qu’après avoir tout dit. Il est trop tard, c’est fini. Si je voyais des gens faire la même chose que moi, je les enverrais en prison. Le scrupule est une mauvaise pente : dégoût du devoir, relâchement, indifférence, abandon pour finir. Si elles ne perdent pas la tête, elles la font perdre à leur confesseur. Il vous est permis d’omettre les circonstances, et le comment, et le pourquoi. Le scrupule est une mauvaise pente : dégoût du devoir, relâchement, indifférence, abandon pour finir. Sombres et taciturnes, la crainte change leurs vaines appréhensions en idées fixes. Certaines d’avoir péché, elles dénient à la confession le pouvoir de sonder leurs cœurs. Je ne sais plus lire ni comprendre. Je sens que je n’y suis plus, je perds toute volonté, je suis une machine. Je jure de recommencer ma prière du matin dix fois, vingt fois, mille fois, sinon je penserai du mal de Dieu devant les églises. Comme un manteau de fatigue. Comment a‑t-on pu faire une maison, une lampe ? S’ils ne perdent pas la leur, ils font perdre sa tête à leur confesseur. J’ai déjà dit tout ça cent fois ; je vais vous le dire. Je ne suis qu’une machine ; je dois faire des efforts pénibles pour rester quelqu’un. Ayant épuisé tous les confesseurs, on finit par s’en rapporter à son propre jugement. Elles s’interrogent sans cesse, supputent, calculent – ce sont des machines. Elles disent : J’ai le cœur pur, puisque j’ai des scrupules. Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vouloir. Ce n’est plus moi qui marche, ce n’est plus moi qui mange, ce n’est plus moi qui parle. Ma personne est en dehors de mon corps, elle est près de moi et non en moi. J’ai déjà dit tout ça cent fois. J’ai dû vous le dire. La conscience de la faute est parfois simplement conscience du défaut. Mon corps ne peut pas, mon esprit ne sait pas. Il arrive souvent que la bouche des orateurs prononce une suite de paroles indépendantes de leur volonté en sorte qu’ils s’écoutent eux-mêmes comme des assistants, et qu’ils n’ont connaissance de ce qu’ils disent qu’à mesure qu’ils le prononcent. Du plaisir à gratter leurs plaies jusqu’à ce qu’elles semblent des stigmates. Je me livre à toutes sortes de pronostics pour apaiser mes craintes. Je ne sais plus lire ni comprendre. Qu’est-ce que tout cela va devenir quand tout sera fini ? Chacun de mes meubles est un nid de pensées. Je retrouve toutes mes idées en rentrant chez moi, comme un sac poubelle oublié devant la porte. Comment se fait-il qu’il tonne, qu’il y ait des éclairs, qu’il y ait un soleil, qu’il fasse jour ou nuit ? Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils contenir une pensée ? Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Comment la parole, qui est un bruit, peut-elle transporter la pensée ? Le scrupule est une appréhension vaine, fondée sur de légers motifs, qui remplit l’âme d’anxiété et lui fait craindre qu’une chose soit péché, tandis qu’elle ne l’est pas. Qu’est-ce que tout cela va devenir quand tout sera fini ? Pourquoi y a‑t-il des arbres, des bêtes ? Une fourmilière de scrupules les rongent et dévorent, et de mouches d’imperfections leur paraissent des éléphants de péché. Je vais tout vous dire. Pourquoi porte-t-on un tablier ? Pourquoi met-on une robe ? Assez de phénomènes. Assez de phénomènes. Assez de phénomènes. Ne t’épuise pas à te changer ; tu vas mourir. Comment verrait-on si on n’avait pas d’yeux ? Tu vas mourir ; rien au monde ne peut te guérir. Idolâtres de leurs propres sentiments, elles ne cessent de requérir une peine qu’elles trouvent invariablement trop clémente. Regardez mes yeux : ce sont eux qui parlent et c’est moi qui ai peur. Le scrupule est la forme justiciable du doute. Il est trop tard, tu vas mourir. Comment saurai-je que tout est dit ? Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils contenir une pensée ? Comment les mots viennent-ils dans ma bouche en même temps que je pense ? Comment la parole, qui est un bruit, peut-elle transporter la pensée ? Elle n’est pas folle, qui se croit folle. Je n’y suis plus, j’ai perdu toute ma volonté, on peut faire de moi ce qu’on veut, je suis une machine. Qu’est-ce que ça va devenir quand tout sera fini ? j’ai cessé tout effort pour devenir quelqu’un : je suis une machine. Comment a‑t-on pu faire une maison, un pont ? Il arrive souvent que la bouche des orateurs prononce une suite de paroles indépendantes de leur volonté, en sorte qu’ils s’écoutent eux-mêmes comme des assistants, et qu’ils n’ont connaissance de ce qu’ils disent qu’à mesure qu’ils le prononcent. Je ne sais plus croire ni savoir. Assez de phénomènes. Assez de phénomènes. Assez de phénomènes. J’ai des choses importantes à dire. Le scrupule leur fait voir partout le péché. Mon esprit est tourmenté par la peur de l’enfer : si je meurs maintenant, serai-je condamné ? C’est pourtant si simple ; je vais vous le dire. Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vouloir. Ce n’est plus moi qui parle, ce n’est plus moi qui pense ; j’ai peur. Comme un manteau de fatigue qui tombe sur mes épaules. Le scrupule leur fait soupçonner partout le péché. Certaines se complaisent au récit détaillé de leurs péchés de chair. Sombres et taciturnes, la crainte change leurs vaines appréhensions en idées fixes. Comment des petits points noirs sur le papier peuvent-ils contenir une pensée ? Je deviens inconnu, incompréhensible à moi-même, je suis une machine. Elles ne savent pas, elles ne peuvent pas, elles ne veulent pas vouloir. Le scrupule est la forme justiciable du doute. Ces âmes scrupuleuses voudraient tout confesser. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Je crois que je vous ai tout dit, et pourtant j’ai tu l’essentiel. Je retrouve mes idées en rentrant chez moi. La conscience de la faute est parfois conscience du défaut. Mon corps ne peut pas, mon esprit ne sait pas. Je sens que je n’y suis plus, j’ai perdu toute volonté, on fera de moi ce qu’on veut, je suis une machine. Assez de phénomènes. Assez de phénomènes. Je deviens inconnu, incompréhensible à moi-même, je suis une machine. Naturellement pusillanimes, la moindre apparence de péché leur fait peur. Comment verrait-on si on n’avait pas d’yeux ? Si je voyais des gens faire la même chose que moi, je les enverrais en prison. Une fourmilière de scrupules les rongent et dévorent, et des mouches d’imperfections leur paraissent des éléphants de péché. Il vous est permis d’omettre les circonstances, et le comment, et le pourquoi. Pourquoi y a‑t-il du monde ? Il y a un trouble en moi et le démon en est l’auteur. Comme un sac poubelle oublié devant la porte. Comment est-ce qu’on verrait si on n’avait pas d’yeux ? Assez de phénomènes. Le scrupule est la forme justiciable du doute. Rien au monde ne peut me guérir, tout est fini. Pourquoi les messieurs n’ont-ils pas de robe ? Je retrouve mes idées en rentrant chez moi. Comme un manteau de fatigue. L’exposition de leurs scrupules leur sert de tergiversation. Si vous parveniez à vous faire une vie, vous ne vous feriez pas tant de souci. J’ai des choses importantes à dire. Pourquoi met-on des vêtements ? Comment peut-on faire une maison ? Je me livre à toutes sortes de pronostics pour apaiser mes craintes. Il n’y a d’apaisement qu’une fois que tout est dit. Si tout est fini, pourquoi se réformer ? La moindre apparence de péché les effraie. Je ne suis qu’une machine ; je dois faire des efforts pénibles pour rester quelqu’un. Si je me taisais pour finir peut-être que tout serait dit. Je vais encore partir sans vous avoir rien dit de ce que j’avais à dire. Leur orgueil tient dans une présomption : nul autre que dieu ne peut sonder mon cœur. Rien au monde ne peut me guérir, tout est fini. Pourquoi y a‑t-il du monde ? Dans le rapport d’aucune chose, ils n’omettent les circonstances, ni le comment, ni le pourquoi. Il est trop tard, tu vas mourir. Ne te révolutionne pas trop, ta mort est imminente. Il y a un trouble en moi et le démon en est l’auteur. Si la pièce tombe du côté face, je serai sauvé. Comment saurai-je que tout est dit ? Mon estomac est complètement inerte. La masse alimentaire remue comme dans un sac. Tout le temps que j’ai l’estomac plein. J’ai les membres brisés et mes yeux se sont retirés dans mon crâne. Je ne pense qu’à mon estomac, c’est dans mon estomac que réside toute ma vie. Mon esprit est tourmenté par la peur de l’enfer. Mon corps ne peut pas pouvoir, mon esprit ne sait pas savoir. Mon esprit est tourmenté par la peur de l’enfer. On peut faire de moi ce qu’on veut, je suis une machine. Si vous parveniez à vous faire une vie, vous ne vous feriez pas tant de souci. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Ce n’est plus moi qui marche, ce n’est plus moi qui mange, ce n’est plus moi qui parle. Certaines d’avoir péché, elles dénient à la confession le pouvoir de sonder leurs cœurs. Plus je m’accable, plus j’en aurai la certitude. Je suis seulement près de moi, je ne suis pas en moi. Qu’est-ce que tout cela va devenir quand tout sera fini ? Elles disent : J’ai le cœur pur, puisque j’ai des scrupules. Ne te révolutionne pas trop, ta mort est imminente. Or je ne serai en paix qu’après avoir tout dit. On ne réalise ce qu’on dit qu’une fois qu’on l’a fin dit. La tentation est-elle dans ou devant mon cœur ? Je jure de recommencer ma prière du matin dix fois, vingt fois, mille fois, sinon je penserai du mal de Dieu devant les églises. Pourquoi met-on des vêtements ? Comment peut-on faire une maison ? Or je ne serai en paix qu’après avoir tout dit. Plus je m’accable, plus j’en aurai la certitude. Elle n’est pas folle, qui se croit folle. Certaines se complaisent au récit détaillé de leurs péchés de chair. Il est trop tard, c’est fini. Idolâtres de leurs propres sentiments, elles ne cessent de requérir un jugement qu’elle trouve invariablement trop clément. Je fais des sortes de paris sur mon salut. Ne te révolutionne pas trop, ta mort est imminente. D’un péché l’honnête omission n’empêche pas la rémission. De la complaisance au récit minutieux de leurs péchés de chair. Jamais âme obéissante ne s’est perdue ; jamais âme désobéissante ne s’est sauvée. Si elles se croyaient vraiment scrupuleuses, ces âmes seraient bientôt guéries. L’exposition de leurs scrupules leur sert de tergiversation. On ne réalise ce qu’on dit qu’une fois qu’on l’a fin dit. Ne t’épuise pas à te changer ; tu vas mourir. Même si votre confesseur se trompait, vous ne vous tromperiez pas en lui obéissant. Les complexions lymphatiques, froides et mélancoliques, sont un terrain très propre à produire cette sorte d’épines. Du plaisir à gratter leurs plaies jusqu’à ce qu’elles semblent des stigmates. Pourquoi les messieurs n’ont-ils pas de robe ? Comment verrait-on si on n’avait pas d’yeux ? j’ai déjà dû dire ça cent fois. Comment se fait-il qu’il tonne, qu’il y ait des éclairs, qu’il y ait un soleil, qu’il fasse jour ou nuit ? Si je meurs maintenant, serai-je condamné ? Par la crainte d’un péché apparent, elles s’exposent à commettre de véritables péchés, notamment l’orgueil de dénier à la confession le pouvoir de sonder leur cœur. Mon estomac est complètement inerte. La masse alimentaire remue comme dans un sac. Tout le temps que j’ai l’estomac plein. J’ai les membres brisés et mes yeux se sont retirés dans mon crâne. Je ne pense qu’à mon estomac, c’est dans mon estomac que réside toute ma vie. Si tu parvenais à te faire une vie, tu ne te ferais pas tant de soucis. Comment a‑t-on pu faire une maison, une lampe ? Ma personne est en dehors de mon corps, elle est près de moi et non en moi. Le scrupule est la forme orgueilleuse du doute. Ma personne est en dehors de mon corps, elle est près de moi et non en moi. Elle ne peut pas avoir péché, l’âme qui se persuade d’avoir en tout péché. Qu’est-ce que ça va devenir quand tout sera fini ? Assez de phénomènes. On peut faire de moi ce qu’on veut, je suis une machine. Elles paraissent attirées par ce dont elles confessent la peur. Ne te révolutionne pas trop, ta mort est imminente.
Conf
1
j’ai partagé avec lui mes oreilles et notre navire dédié à la vie je veux toujours dire le maître mon monsieur j’ai brûlé pour les réciter à la mort je ne crains plus ceux que j’ai pensé
si nous abandonnons à la mort nos demandes pour les choses interdites nous allons tu veux savoir ce qu’il en est du monde réel et du monde spirituel l’évasion appelée vie nous obtenons souvent le corps et
digne de jugement de maintenant je me souviens de lui et que nous avons cherché vous je ne savais pas comment imaginer un esprit autre que la forme du corps je me souviens de ce que j’ai
cru bon de soumettre à sa considération et à supposer que mon mouvement soit délibérément détourné voué à l’errance je veux être rassasié de lui et que ses connaissances n’aient rien d’elles je n’ai pas fait ce
qui était invisible pour moi aussi sûr que je sois mais je n’ai pas connu le bien que je n’ai pas connu ce que je ne peux pas connaître je ne l’ai pas réalisé en effet j’ai
pleuré amèrement et dit à tes petits enfants tes disciples mes concitoyens mes concitoyens avant ou après moi mes concitoyens avant ou après moi mes concitoyens avant ou après moi
tu seras dispersé en morceaux par à travers moi sans doute mais je ne peux pas et je les déteste tu vas me renvoyer tu vas me renvoyer pour partager ça et tu me fais me regarder
l’émerveillement au détriment de l’esprit ombres pourtant que nous devrions faire nos brûlures et l’invisibilité nous sommes tous étourdis et mesurés par ni pâturages mystérieux et éternels et lumière dans ta vérité nous pouvons discerner intérieurement ce
qui nous a été donné dans le lieu noble où se trouve donc l’image de la jeunesse que nous avons recherchée il n’y a pas d’image d’une existence méprisante d’un ennemi ou d’un adversaire qui n’est pas
mes concitoyens de la pensée et de la foi de l’humanité mes associés de mémoire mais les chiffres eux-mêmes vous bénissent jusqu’à la fin de ma vie je t’ai béni du bonheur quand tu es parti avec
nous n’avons pas le temps d’utiliser les services de ton entreprise nous partageons le reste dans leurs actions et dans leur vol et choisissent de traverser la vie sur leurs pieds pour mépriser la vie pour voir
tous ceux qui ont demandé ce que monsieur faisait avant que je ne rie de la feuille que je connaissais j’étais toujours inquiet et tourmenté par ta droiture je ne dis rien de juste aux hommes que
nous pouvons enfin toucher la beauté de l’image de la famille la voix mécontente des ombres a parcouru toute la longueur de la maison nuit sur la longueur du pied et aussi à la moyenne et à
temps repose devant elle nous nous reposons devant les soins de nos esclaves il n’y a pas d’ombre pas de forme et nous écrivons comme tu le souhaites plus charnue inférieure la campagne est le plus souvent
tu voulais que l’homme du futur commence à comprendre que nous te cherchions je me détestais même de ne pas être heureux et que je n’essayais plus de l’être mais je n’étais pas encore la créature je
reviens en arrière par mes chemins dissous par leur semence même si je découvrais que je n’enseignais pas ce qui tromperait les autres je n’avais pas encore atteint la vérité dans ton amour infini je reviens en
arrière par eux mes voies se sont dissoutes de leur propre graine si je veux le blanc du noir et d’autres couleurs je suis sans défense et pauvre et tu étais le sujet même de son enterrement
un tiercé gagnant nous avons le même âge nous écoutons l’autre nous en parlons nous le comprenons et quand nous le faisons c’est le cas nous en parlons et nous le comprenons mais nous entendons toujours la
voix de l’autre personne nous faisons toujours traîner les choses et l’ordre enfin nous pouvons partager ce moment en dehors de nos proches tes esclaves que tu cherches ils disent que nous voyons la terre jusqu’à ce
que nous prenions conscience que les choses est inhérente et la fuite des syllabes est son insistance même si avant notre naissance nous étions attristés par les fleurs du doute et de la peur la surface se
dans les yeux tu seras rachetée ma vie à partir de mon cœur mes courants à partir des miens rends mon intimité plus élevée plus que les sommets de mes montagnes où nous invites à partir sache
je voulais en effet que ce tour de roue ne représente pas du tout si tu étais la belle et ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas
du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de
ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est pour
cette raison nous devons offrir de la « beauté » nous avons des ombres nous voyons des animaux dans le futur ils nous donnent un dernier adieu à nos proches et nous les voyons mais devant eux présents et à bout de souffle nous sommes déchaînés le
souffle n’est ni présent ni futur collectivement lorsque nous regardons sa vie dans son ensemble nous comprenons que la nous avons découvert que les a découverts earth abode et bare earth abode et pays et que notre
expérience sensorielle n’a rien à gagner de sens et de soin et que tu dois les élever avec tes véritables intentions mais chacun est un visage à peine touché qui est entendu brosse brièvement le rythme pour
fredonner un air que je ne pouvais pas vraiment que je ne voulais pas non plus sacrifier pour moi malgré la poussière et les cendres je me suis jeté sur l’ami avec un visage anxieux comme ce
temps court nous sommes embrassés par un temps long ou court nous croyons nous croyons que le ciel et la terre ont un sens allégorique et figuratif tu es l’expression allégorique de l’action de ton enseignement apporte-le
qui est passé de lui dans ma mémoire ou qu’en les oubliant avec cette même superstition je portais mon âme désordonnée et sanglante ne souffrant plus que je ne connaissais pas le monsieur je ne les confiais
que la terre est méchante pour prendre d’une part comme pour se demander pourquoi nous devrions le supporter et d’autre part nous comptons sur toi pour découvrir cette joie sans te soucier du monde ces gens nous
enviaient nous avons cherché quelqu’un avec qui nous pourrions partager nos doutes avec des mots qui n’est pas de retour et nous traînons encore des choses sur toute la longueur de l’arbre s’il y a un agrégat
que le mot en même temps avec toi et pour la joie de ma propre expression respire si tu pouvais seulement la faute que tu pardonnes mon cœur mes yeux mon flux quand tu étais à mes
qu’à mon voisin et non à moi-même je distingue les esprits des lys de ceux qui sont daccord avec un autre parce qu’il en a entendu parler ou ceux que j’ai fait bouillir avec l’espoir que je
n’ai pas trouvé en toi et mes parents je me mets à leur place dans diverses phrases j’entends généralement le savoir selon la façon dont tu l’interprètes dispersé dans les lieux que j’ai fréquentés visages humains j’ai
accepté et aimé tes bonnes manières j’ai brûlé pour échapper à la vérité mais j’étais un déguisement misérable et oublieux je me souviens avec désir mais ces choses prennent du temps mais leur ai-je enseigné les rites
nous ne sommes pas fils la longueur de l’arbre nous sommes laissés pour le pays est un pâturage d’herbe éternelle et nous rejetant les fleurs sans fin c’est de l’esthétique que de se plaindre que les ombres
soient longues ou courtes plus court que le visage à manger nous ne trouvons pas notre vie est presque la même que le matin avant que le monde extérieur ne change sois et ta vérité est dite
2
de passage je t’aimerais monsieur et j’aurais confiance en ton image je dirais que tu as encore une créature attachée je ne la chasserais plus mais je la placerais pour ainsi dire sur cet œil de mon épais bouclier
je ne suis pas encore capable mais je peux à peine les écouter je me demande alors ce qui est invulnérable par-dessus tout mais je les ai détestés pour tout avouer plier mon cou sous ton joug
côtés je n’ai pas dans ma mémoire je ne savais pas tu es infini et tu n’existes pas diffusion dans un monde de sens ton rôle dans les siècles et dans les le plus petit d’entre eux
et ta cannelle ou ton précieux taffetas je ne pouvais pas m’en souvenir car je ne savais pas encore comment mais je savais seulement imaginer que physiquement je pensais que la masse était infinie que son poids
était inférieur à celui d’un autre descendant de quelque chose d’informe et non d’un homme qui rirait avec moi partageant avec lui mes yeux charmés j’ai partagé mes yeux charnels avec lui je cherche si une vie
dans ta vérité ont dit ceux qui ont été envoyés chacun d’entre eux nous avons entendu et il y en a beaucoup d’autres comme eux qui tirent les choses par la longueur de leurs jambes la mémoire
heureuse se trouve dans la peine et la vérité or je suis loin de l’accepter ce qui m’en éloigne de plus en plus j’ai atteint la ville où les sifflements autour de moi ne pouvaient plus me
prendre soin de tes esclaves comme tu as voulu l’écrire nous le voyons pour nous éclairer et en cela tu as finalement réussi nous pouvons voir le merveilleux troupeau dans ta lumière nous voyons la lumière que
tu nous donnes enfin et en dehors de nos doutes sur nos vies nous les comparons toujours au pays le pâturage éternel et non à quelqu’un d’autre lorsque nous avons gardé la nuit le passé et sa
compréhension et parler du corps et acquérir le corps inférieur ou la surface une chose incommensurable une vie incommensurable nous partageons cette perspective plus tu passes plus nous ne croyons pas nous nous réjouissons de la seule
reposerons devant elle il a résolu la question de la c’est parce qu’en cherchant d’autres parties de cette histoire nous avons vu pour grandir avec ta grâce mais le pâturage éternel dans le mystère et la lumière
l’agitation de la terre et enfin nourri nous faisons ressortir l’ensemble nous ne trouverons pas la plénitude dans le fait d’écouter l’autre d’en parler et nous en parlons et le comprenons lorsque nous quittons les fleurs dans
l’abondance infinie où tu donnes et enfin dans le détachement de nos proches nous ne trouverons pas la présence de l’ensemble ni ne trouvera pas le tout pour être présent ni le présent pour être le temps
dire non du tout si tu n’avais pas béni les poissons et les monstres marins pour qu’ils se reproduisent et remplissent les eaux de haine et je t’exigerai t’appelant à confesser mes désirs monsieur me réprimande je
me suis moi-même pour que mon monsieur le créateur de toutes choses et toi me guide je ne me préférerai pas à lui car je ne me souviens pas je ne le serais pas je ne sais
duquel tu m’as pris et laisse-moi emprunter dans ce livre la nature de mon ambition est de mettre fin c’est pour mettre fin à ces ambitions que tu ne nous y permets pas conditions des nous tu
gagnes tout le temps tu ne laisses pas leur créateur les aimer quitter leur créateur non pas besoin de te garder au même endroit qui contrôle tout toi monsieur des âmes tu ne peux pas tu ne
me souviens de ce que je voulais j’ai atteint un niveau où j’assiégeais les effets de mon esprit laisse-moi quitter ton amour et non son sanctuaire sacré que personne ne m’arrête je n’ai plus quitté mon abri
l’âge que nous avons passé mais pâturages éternels de la prononciation nous savons nous partageons ceci le sens de l’importance de ceci nous est retourné comme une forme de protection que nous avons cela fait longtemps que
3
pas d’où vient tout ce qu’il a dit je laisse de côté pour un instant tout ce que je dirais de vrai mais je suis déjà déchirée par les erreurs je continue ma lente ascension vers celui
qui accepte le concours de chant au théâtre et que je crois en toi je vais si loin par moments je n’ai trouvé aucun repos j’avais tout devant moi et je ne saurais pas celles-ci choses je
nous gémissons ensemble que nous entendons différentes choses nous les comprenons nous en parlons nous les partageons nous en parlons nous partageons nos doutes sur la vie que nous avons menée nous ne mesurons pas le passé
alors pour l’instant laisse-moi quitter ton amour et non l’image mais l’image elle-même j’ai pris une inspiration avant de me sacrifier pour la perdre pourquoi alors être heureux et je compte les fois où j’ai écrit cela
sur une feuille j’aurais dû lire de préférence dans tes livres je vais si loin parfois je me souviens maintenant de lui et de son savoir je n’ai rien de toute mon âme je me souviens avec
quoi que ce soit nous n’allons pas te croire sur parole et faire quelque chose de nouveau mais notre respiration est interrompue par un manque commun et mutuel nous sommes embrassés par un temps long ou un
désir mais ces choses je me souviens de ce que je dirais vrai mais ce que je dirais vrai mais ils m’avaient déjà déraciné des erreurs je m’en souviens avec désir mais ces choses je m’en souviens
ce que je dirais vrai mais j’avais déjà été déraciné des erreurs je me détestais même quand je n’étais pas heureux et quand je ne savais pas ce que j’étais incapable de faire mais parfois je vais
si loin que je ne me souviens plus de lui maintenant et sa connaissance n’a rien de son cœur je m’en souviens avec désir mais ces choses je me souviens de ce que je pensais adapté à
son jugement je ne suis pas encore capable mais je ne les ai confiées qu’à mon prochain et non à un homme qui se moquerait de moi je m’en souviens avec désir mais ces choses je me
souviens que j’aurais dit la vérité mais je m’étais déjà éloigné des erreurs je vais si loin que je ne me souviens plus de lui maintenant et sa connaissance n’a rien d’honnête avec je n’aurai plus à
ton pitch et non celui de quelqu’un d’autre peut le faire enfin nous voyons que nous te donnons une merveilleuse humanité est de les nourrir dans ta grâce nous les voyons vaincre au milieu de tout cela
peux pas ignorer ce que tu remplis car tu es le maître le monsieur de ton esprit pas né en son temps et plein en son heure puisque c’est vraiment toi tu es plein monsieur et maître
fasses à leur place nous ne mesurons pas notre avenir ou notre passé aussi nous passons notre temps à nous nourrir de nos amis sans bouger nous sommes aussi loin que possible de l’humanité du merveilleux troupeau
ou le présent il ne s’agit pas du présent ou du passage du temps mais des animaux que nous voyons les nombreuses choses qui colorent la surface de la terre ce sont des actes allégoriques de ta
sa poursuite mais je n’étais pas encore capable de mais je ne savais pas que je ne pouvais pas aller si loin à certains moments que je ne connais pas le maître je les ai à peine
et à peine entendus je ne m’en souviens plus depuis depuis que je n’étais plus à la poursuite mais je vérité dans ton amour infini je vais si loin parfois je ne connais pas le maître je
connais à peine le maître je ne les ai presque plus entendus je ne me suis pas souvenu depuis que je n’étais plus à la poursuite mais je n’ai pas encore vérité dans ton amour infini je
vais si loin parfois que je ne me souviens pas de lui maintenant et que la connaissance de lui na rien dans tout mon cœur parfois je vais si loin que je ne connais plus le maître
du monde est l’objet de notre expérience sensorielle mais c’est le moyen de la terre et vers lesquels nous devrions être guidés nous ne pouvons pas trouver nous traînons toujours à la longueur de la longueur de
nos jambes dans la nuit dans les ombres qui sont pourtant nous avons vaincu pour faire ressortir ce que tu leur donnes et enfin à part les doutes sur la vie que nous devons mener nous les
avons nous pleurons tristement ces fleurs en doutant de la façon dont nous devrions vivre nous pouvons toujours les porter avec nous et les comprendre et nous pouvons l’entendre face à face et le comprendre nous entendons
que nous voyons les actes de cet âge sont courts mais le souffle du fleuve que nous avons vu et nous la chérissons en apparence nous ne savons pas si nous aimons ce que nous protégeons ou
non ce n’est généralement pas le passé ce n’est pas à nous de le dire n’est-ce pas en frappant les esclaves que tu cherches ils disent que nous le sommes nous nous demandons et nous tremblons je
je les entends à peine je ne suis pas encore capable mais je ne les ai confiées qu’à un voisin et non à un homme qui se moquera de moi je ne me souviens pas de lui
de tout ce que tu remplis car tu es tu veux vraiment que je te loue car tu es pleine de tout ce qui te remplit car tu es maître tu es plein monsieur de l’esprit tu
poursuivais plus je ne le poursuivais plus je ne le poursuivais plus mais je n’avais pas encore atteint la vérité dans ton amour incommensurable je ne le poursuivais plus mais je n’étais pas encore capable mais je
les ai confiés à mon voisin et pas moimême je suis allé si loin parfois je ne connaissais pas le professeur je les entendais déjà à peine je ne me souviens pas parce que je ne le
poursuivais plus mais je n’avais pas encore atteint la vérité dans ton amour infini j’ai discerné les esprits de lys de ceux qui étaient branchés sur le concours de chant dans le théâtre et que je n’étais
es monsieur et maître de tout ce que tu remplis tu remplis car tu es le maître monsieur de l’esprit tu nous as libérés de notre servitude ce que nous avons fait pour nous mêmes en toi qui
as créé les cieux et la terre l’état temporaire entre le ciel et la terre tu as établi la terre pour l’éternité pour toujours et à jamais et pour les siècles des siècles tu es étais sur
terre une terre sèche la terre dans sa forme visible et organisée la mère des mauvaises herbes et des gémissements larmes d’amertume avant le souffle du matin avant le vol de l’ombre nous rejetons le même que
ces choses dans le souvenir de celui que je dirais la vérité se souvenir de celui que je dirais la vérité mais j’étais déjà éloigné des erreurs dont je ne me souviens plus car je ne le
car je ne le poursuis plus je ne suis pas encore capable mais je ne savais pas je ne me souvenais pas comme je ne le poursuivais plus je ne me souvenais pas comme je ne le
pas encore cette créature qui s’accrochait je ne me souviens pas car je ne le cherche plus mais je n’étais pas encore capable mais je ne savais pas ce que je ne pouvais pas faire parfois je
vais si loin je ne connais pas le maître je ne peux pas les entendre je ne suis pas encore capable mais je les ai confiés à mon voisin et non à un homme qui se moquerait
de moi je ne veux pas me préférer à lui car je ne me souviens pas de lui maintenant et son savoir na rien à voir avec moi je ne suis pas encore capable mais je les
ai confiés à mon voisin et non à un homme qui se moquerait de moi je ne me souviens pas car je ne le suivais plus mais je savais seulement comment concevoir ce dont physiquement je me
souvenais avec désir mais ces choses se sont souvenues que je dirais la vérité mais j’étais déjà déchiré par mes erreurs je ne me suis pas souvenu car je ne le suivais plus mais je n’étais pas
encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je ne les écoutais presque plus je me suis souvenue d’elles avec désir mais ces choses se sont souvenues de ce que
tous les autres noms jusqu’à ce que nous distinguions les choses intérieurement et dans quel ordre souhaites-tu qu’ils soient écrits nous nous reposons avant de tenter notre chance mais nous ne voulons pas que tu nous enlèves
je pensais adapté le genre de son intelligence parfois je vais si loin que je connais à peine le maître je les ai à peine entendus parfois je vais si loin que je connais à peine le
maître je les ai à peine entendus je ne me souviens plus que je ne le poursuivais plus mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais
je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je ne les entendais presque plus je m’en souvenais avec désir mais ces choses je m’en souvenais ce que je pensais correspondre à son jugement je ne m’en souvenais plus car je ne le poursuivais plus
mais je n’avais pas encore atteint la vérité dans ton immense amour je me détestais même de ne pas être heureuse et que je n’en étais pas encore capable mais je ne savais pas quoi faire mais
la terre quand tu étais au ciel au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel
je ne savais pas ce que je ne pouvais pas faire je ne me suis pas souvenu car je ne l’ai plus cherché mais je n’avais pas encore atteint la vérité dans ton amour infini j’ai discerné
le parfum d’un lys de celui qui a été mis en scène dans un concours de chant dans un théâtre et que je n’étais pas encore la créature qui s’y accrocherait je me souviens avec désir mais
cherchais plus mais je n’étais pas encore capable mais je ne savais pas ce que je ne pouvais pas je me suis souvenu avec désir mais ces choses je me suis souvenu de ce que je dirais
la vérité mais j’étais déjà éloigné des erreurs dont je ne me souviens pas parce que je n’ai pas poursuivi mais je n’étais pas encore capable mais je ne les ai pas encore entendus je n’étais pas
tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es dans le ciel tu es dans tout tu n’es pas comme eux ils ont abandonné leur créateur mais je
ne les ai confiés qu’à un voisin pas à une personne qui rirait avec moi parfois je vais tellement loin je ne connais pas le maître que je ne les ai pas encore entendus
mais je ne me suis pas encore souvenu parce que je n’ai pas poursuivi mais je n’ai pas encore été je n’ai pas encore atteint la vérité dans ton amour infini je n’ai pas encore été capable
mais je les ai confiés à un voisin pas à celui qui se moquera de moi je ne veux pas me préférer à lui car maintenant je ne me souviens pas de lui et sa connaissance n’a
rien à voir avec mon cœur je n’ai pas encore été capable mais je les ai confiés à un voisin pas à celui qui se moquera de moi je n’ai pas encore été capable mais je les
ai confiés à un voisin pas à celui qui se moquera de moi
pas besoin d’être tu n’as pas besoin d’être prisonnier dans un endroit quelconque toi qui possèdes tout ce que tu dis et la raison pour laquelle ils sont avec toi en même temps
La matière appelée 20e siècle
Regarde j’ai une brosse, un manche : je suis tout et parties balai. Pour autant que j’en juge, ma brosse est en « poils » de synthèse, mais c’est peut-être le moins fun de tous les facts à mon endroit. Déjà mieux : Mon manche a été recouvert d’un film plastique imprimé bois. C’est qu’on a pensé, à un moment de ma conception, qu’il serait bon, ou bien, ou beau, pratique ou pertinent, judicieux sans être logique, pas inapproprié mais sans nécessité, de faire accroire gentiment à du bois. Et d’un vote solennel, au 39e étage du siège ou dans le bureau vitré surplombant la salle des machines, on a opté pour le film plastique imitation bois, écartant ou remettant à d’autres modèles les deux ou trois propositions alternatives du designer-produit.

aux blocs de bois l’épaisseur
voulue. En pivotant,
la machine à profiler les
pousse le long d’une tête
de coupe. Chaque passe profile
la moitié d’un bloc. Les ouvriers
retournent le bloc de bois
et le positionnent pour une seconde
passe qui profile l’autre moitié.
Il existe une machine à profiler pour
chaque modèle de brosse.
Mon imprimé bois, veiné, noueux, zélé dans la veinure, fait une impression de bois satisfaisante à la mesure du désir de chacun de se laisser satisfaire, c’est-à-dire très satisfaisante pour qui a déjà,
perché dans la contemplation
des grands saules qui ont
la majesté des gifs à la boucle splendide
et parfaitement nommés,
ou, picorette à cran dans la ville
le regard pigeonneu-
sement aimanté par les grilles circulaires,
conçu une certaine image générique de bois d’arbre.
Continuer
Une saloperie vivante élégante et racée
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Ça parle, ça chante en boucle, ça pense
| c’est | dans mon mental | que je suis heureux ou malheureux |
| Facebook. | Dans mon mental | . 21 likes. je partagerai mes emotions, mes idées et de temps en temps mon vécu. |
| Mais, en lisant votre réponse, quelques questions sont survenues | dans mon mental | . Although, while reading your reply, a number of questions kept arising in my mind. |
| Comment faire une pause | dans mon mental | grâce à la respiration Le 01 juin 2021 Cette vidéo explique comment calmer le mental grâce la respiration abdominale et la cohérence cardiaque afin d’être en pleine conscience et de vivre le moment présent. Halte à l’agitation, au stress, aux dispersions : faisons de la place ! |
| J’ai Trop De Pensées ! Comment Faire Pause | Dans Mon Mental | ? Je pense trop, j’ai trop de pensées |
| Faiblesse se trouve dans mon coeur, la force est | dans mon mental | Mixtape | Mexico | 18 janvier |
| Bonjour je suis un homme de 46 ans et cela fait maintenant 5 ans que je souffre de bavardage mental incessant,il n’y a pas de pause | dans mon mental | ‚ça parle ‚ça chante en boucle ‚ça pense , pourquoi j’arrive pas à l’éteindre |
| « Je me suis rendu compte qu’il y avait un brouhaha incroyable | dans mon mental | » confit-il. Un constat qui lui permettra de faire ses premiers |
| connaître, contrôler, maîtriser et concentrer mon mental devient prioritaire, puisque je passe ma vie devant et | dans mon mental | . |
| Je ne peux pas choisir en imaginant toutes les possibilités | dans mon mental | . Je dois les vivre, les tester pour savoir ce qui me correspond. |
| Pourtant moi qui suis quelqu’un d’assez stable | dans mon mental | , même moi j’ai des coups de mou, c’est pas toujours facile de gérer toutes ces émotions |
| Il m’a fallu des années pour comprendre ce que voulait dire « être dans le mental ». Ensuite tout autant pour comprendre comment je faisais des noeuds | dans mon mental | , Après, comment cela jouait contre moi, Et encore plus pour comprendre comment « faire la paix avec ce mental ». Aujourd’hui, j’ai déniché certaines clés pour faire la paix avec mon mental et ma capacité d’entreprendre ma vie est plus saine, plus joyeuse. |
| Autiste de mon corps, je vivais | dans mon mental | , et je vivais mal, les mots heureux et bonheur m’étaient inconnus, je ne connaissais que la notion de plaisir |
| je suis très souvent dans mes pensées, | dans mon mental | , donc pas présent au corps, pas présent à ce que je vis ici et maintenant |
| Quand j’ai commencé le programme, je m’attendais à apprendre quelques outils simples qui m’aideraient | dans mon mental | , comme apprendre à accepter l’échec et le pouvoir du monologue positif. |
| Très vite, le droit a pris une part importante | dans mon mental | . Plus le blog grandit, plus on prend des risques, explique-t-elle. |
| A 45 jours, ça souffle | dans mon mental | …..La semaine dernière je vous avais dit que autour de 40 jours il était possible que la vraie faim apparaisse. En réalité, il s’est passé tout autre chose. |
| Pourquoi Je Crois Encore Mon Mental ?, je crois aux pensées dans ma tête, identification au mental, mental, le mental, mon mental, mon mentale, le mental sebastien lecler, pourquoi je crois mon mental, comment arrêter de croire mon mental, je veux arrêter mon mental, croire mon mental, je crois mon mental, sebastien lecler, croire au mental, croire | dans mon mental | , je crois mon mentale, comment ne pas croire mon mental, quoi faire pour ne pas croire mon mental |
| Faut que je me réinstalle | dans mon mental | de responsable. C’est un dû pour les familles, pour la population. |
| J’analyse ma situation, je prends du recul, j’apprends à me protéger, je fais de la place | dans mon mental | , je reprends mon souffle |
| Je me faisais constamment des scénarios catastrophes et préméditais des moments et des situations négatives qui n’existaient que | dans mon mental | . |
| La photo du jour. Observez bien et trouvez les sept différences · Football. « On s’est aperçu d’une faille | dans mon mental | ». |
| Ce que fait votre mental quand personne ne regarde dans mon mental dans mon mental dans ces moments où le mental est le plus enclin à produire de la négativité, j’ai noté une énorme transformation | dans mon mental | et dans ma vie |
| Je remonte | dans mon mental | : la résolution émotionnelle est une approche |
| Je n’ai jamais autant investi | dans mon mental | et mon mindset, et me voilà aujourd’hui une personne – franchement j’ose le dire |
| Grâce à elle, je découvre l’équilibre dans mon assiette, dans mon quotidien et | dans mon mental | . Cela fait du bien de prendre soin de soi avec elle |
| Ça m’évite de gamberger | dans mon mental | , sourit-elle. Muriel, Sylvie (au centre) et Laurent (à droite) profitent de la pause-café |
| Peut-être que je ne suis pas dans l’accueil de mon ressenti, mais que je ressasse et que je rumine | dans mon mental | . |
| la réussite de mes stages ont été sources de motivations et de fierté, et m’ont aidée à puiser | dans mon mental | et à reprendre courage |
| 12 raisons pour lesquelles 2017 a été l’une des plus belles… 28 déc. 2017 — J’ai du mal à garder les pieds sur terre, comme emprisonnée | dans mon mental | . Il me kidnappe, ne me laisse plus tranquille, m’éloigne du |
| Note personnelle : J’invoque cette Chambre de Lumière quand je vois que je suis trop | dans mon mental | et les effets sont à chaque fois surprenants. |
| Je me suis sentie remplie et totalement alignée, pas | dans mon mental | , ni dans mon égo : dans mon corps. De ma tête à mes plantes de pied. |
| Tu es entré | dans mon mental | , tu dois rentrer en moi physiquement. Je ne sais pas ce que tu m’as fait. Mais tu me fais vraiment ressentir |
| Comme un code interne que je programme | dans mon mental | en le prononçant, il agit pour ramener ma conscience au centre de moi-même. |
| Perdues | dans mon mental | étourdi. Par quel miracle mes oiseaux. Volent-ils encore aujourd’hui ? Par quelle adresse. Se posent-ils entre les fissures |
| les montagnes du Pérou, les manchots d’Ushuaia et toutes les autres choses que je n’ai même pas osé projeté | dans mon mental | . |
| la confusion | dans mon mental | sale à cause de la pollution de satan. J’aimerais bien voir quelle sera la conclusion. Refrain Le jugement dernier. |
Vicissitudes
Ah, ah, ah, ah, stayin’ alive, stayin’ alive
Bee Gees, Stayin’ alive
Eh ! Psst ! Ehhhh !
…
Tu viens à l’enterrement ?
*
On est « ce qu’on est » ; on fait « ce qu’on peut » ; on a beau dire il y a des fois, être vivant ça fout la pêche.
L’histoire des sensations n’a jusqu’à présent fait connaître que quatre façons d’avoir mal : les fois où ça pèse, les fois où ça tire, les fois où ça lance, les fois où ça pique. Toute autre douleur – qu’elle soit continue ou intermittente, égale ou inégale, fixe ou baladeuse – n’est qu’une complication de ces sensations-ci.
Et à chaque fois qu’il y a des fois qu’être vivant ça fout la pêche, surgit l’impression que c’est « la nature » qui assume pour toi ce que tu ne sais pas ressentir ; et la pénible sensation d’en être pour ses frais d’ouverture :
ah la nature
oh la nature
toute étendue
comme incorruptible à la plage
de tout ce qui se tient comme un monde
sage
sous le soleil de « ce qui est ».
Un discours, un discours ! Non. Non. Je ne fais que m’interroger, vous savez. Je ne parle pas de malheur. J’optimise. Je constate que les gens s’affectent ; je les aide à être malheureux trois quatre ans – et puis un jour ils viennent me voir et ils me disent : écoutez ça y est, je crois que y’a du temps qui… recommence à se passer, là. Et sous tout ce malheur suspendu, pendant tout ce temps qui ne passait pas, en fait il y a eu bien des fois, établies de force et maintenues par la force en un lieu mystérieux, source et résultat des phénomènes matériels, où vivre a semblé spontané.
Ah…
Oh !
Ahaa !
Voilà une nature qui se tient sage. On y a de plus en plus pied et l’eau est de plus en plus bonne. Et comme d’une addiction, on oublie presque qu’on y trempe, sauf quand, de rares fois et confusément, on en voit qui se cassent le cul à tenter d’en sortir.
Mais si tu sais que ça pèse, si tu sens que ça tire, si tu trouves que ça lance, si quand tu y penses ça se met à piquer – bienvenue dans le cœur vibrant de la communauté endeuillée du corps endolori. Cénestopathes, bébé. Notre douleur n’a pas de lieu. Notre sensorium est sans interprète.
Endurant une douleur ou une privation sans remède, des gens ont atteint l’extase en prairie, en forêt, en falaise ou vautrés dans les dunes, mais aussi à la plage, à la salle, ou au vingtième étage de la tour de bureaux. Supplice pulsatile. Martyre tensif. Tourment pongitif. Lassitude et stupeur toujours plus gravatives. Soudain, par une lésion déterminée dans l’organe du sentiment général, il se produit une affection qui donne lieu à la perception. Il n’est plus question de journée ok – navigation à courte vue dans le sensorium brinquebalé – mais de vie intense.
Il y a des fois, rien à dire, être vivant, ça fout la patate. Au lieu de l’enterrement, j’ai décidé de taper quarante kilomètres à vélo – une petite corniche littorale en pente douce – seul au monde au milieu des suv et des scoots – de l’interfile un peu sportif entre deux « BUS 19 » – Pointe-Rouge, la pesanteur, mes mollets de poulet tendus, et ce pouls qui jamais ne s’emballe, une fierté génétique locale, sous le soleil de « ce qu’on peut ». Tout autre discours sur la vie n’est qu’une complication de celui-ci.
Établie de force et maintenue par la force, elle est la seule et unique souche, la source et le plateau, la base et le pinacle des phénomènes matériels ; elle est le coq sur le clocher des événements spontanés. Oui oui, c’est « la nature » – la mienne, la tienne : elle est à nous tou⋅te⋅s qui savons qu’il n’y a que ses possédé⋅e⋅s pour la fuir. Elle professe qu’entre terre à terre, cendres à cendres et poussière à poussière, il n’y a pas plus de fois que de poulet rôti. Elle enseigne qu’au sable du temps ne succède que le sable du temps – et elle nous en fout plein les yeux, comme quand, flashant sa très objectivement moyennement sauvage sauvagerie littorale, elle pousse notre corps bolidé à l’opposé de nos regards, du large vers l’intérieur d’un virage, à même le danger d’y passer.
Ainsi, ainsi, sous l’empire d’une nature aliène, hostile dans les virages et hostile dans la côte, sous l’empire d’une nature qui se tient bien savage, virgule, nous commettons 🌈🏆😎~RESTER EN VIE~😎🥇🌈. Tant que nous nous maintenons dans ce crime, il y a et il y aura des fois – par exemple ces fois où le littoral suffit à se sentir vivant, et où se sentir vivant suffit à foutre la patate ; ou alors ces fois où tu peux pas venir, c’est comme ça, c’est pas grave, pas de souci, je comprends, ce sera pour la prochaine fois.
