À cette époque, parmi les gens à la page, on était généralement pour « l’esprit actif » ; on avait reconnu que le devoir de « l’homme-cerveau » était de prendre le pas sur « l’homme-ventre ». De plus, il y avait quelque chose que l’on appelait l’expressionnisme ; on ne pouvait pas expliquer avec précision ce que c’était, mais, le mot lui-même le disait, c’était une manière de faire sortir quelque chose au-dehors ; peut-être des visions constructives, si celles-ci, comparées avec la tradition artistique, n’avaient pas été aussi bien destructives, de sorte qu’on pouvait les appeler tout simplement « structives », cela n’engageait à rien : « une conception du monde structive », la formule ne sonne pas mal.
Im allgemeinen war man damals unter vorgeschrittenen Leuten für aktiven Geist ; man hatte die Pflicht der Hirnmenschen erkannt, die Führung der Bauchmenschen an sich zu reißen. Außerdem gab es etwas, was man Expressionismus nannte ; man konnte nicht genau angeben, was das sei, aber es war, wie das Wort sagte, eine Hinauspressung ; vielleicht von konstruktiven Visionen, jedoch waren diese, mit der künstlerischen Überlieferung verglichen, auch destruktiv, darum kann man sie auch einfach struktiv nennen, es verpflichtet zu nichts, und eine struktive Weltauffassung, das klingt ganz respektabel.