1860. Les réponses sur les mêmes rimes sont un écho de la tenso.
1861. fatrasies, etc. le « je ne sais quoi » est présent aussi bien dans les fatrasies d’Arras que chez Beaumanoir.
1862. Fatrasies, etc. Dans la rotrouenge de Richart comme dans les fatrasies de Beaumanoir, on voit le brusque passage de vers longs à vers courts, présent aussi dans la frottola et dans le « vers de nien ». Mais on voit surtout le passage de la même rime instantanément du mètre long au mètre court. Là est le nœud formel : l’attente de l’identité rime-mètre, immédiatement niée et de la manière la plus évidente.
1863. Fatrasie, etc. « Tels cuide veillier qui dort/en paradis/». Le proverbe est rendu bête par le deuxième vers, qui est aussi en contre-pied métrique. Autre exemple : « Tos jors est li soleils chaus/an plein aoust/» Où l’évidence sentencieuse est ridiculisée à l’aide de la métrique.