Le vouloir ne concerne que le suppôt. La puissance, qui appartient à la vie, au cosmos, — qui représente un degré de force accumulée et accumulante — entraîne le suppôt, suivant les hausses et les chutes. Donc là où il y aurait volonté de puissance, que le suppôt soit malade ou sain : s’il est malade, il cède à l’impulsion, s’il est sain, il cède à son trop-plein, mais il cède tout de même au mouvement d’une puissance qu’il confond avec son vouloir. Résister à des forces envahissantes non contrôlées n’est qu’une question d’interprétation — et relève toujours d’une décision arbitraire.
18 06 17