02 12 22

Conf

1

j’ai par­ta­gé avec lui mes oreilles et notre navire dédié à la vie je veux tou­jours dire le maître mon mon­sieur j’ai brû­lé pour les réci­ter à la mort je ne crains plus ceux que j’ai pen­sé

si nous aban­don­nons à la mort nos demandes pour les choses inter­dites nous allons tu veux savoir ce qu’il en est du monde réel et du monde spi­ri­tuel l’é­va­sion appe­lée vie nous obte­nons sou­vent le corps et

digne de juge­ment de main­te­nant je me sou­viens de lui et que nous avons cher­ché vous je ne savais pas com­ment ima­gi­ner un esprit autre que la forme du corps je me sou­viens de ce que j’ai

cru bon de sou­mettre à sa consi­dé­ra­tion et à sup­po­ser que mon mou­ve­ment soit déli­bé­ré­ment détour­né voué à l’errance je veux être ras­sa­sié de lui et que ses connais­sances n’aient rien d’elles je n’ai pas fait ce

qui était invi­sible pour moi aus­si sûr que je sois mais je n’ai pas connu le bien que je n’ai pas connu ce que je ne peux pas connaître je ne l’ai pas réa­li­sé en effet j’ai

pleu­ré amè­re­ment et dit à tes petits enfants tes dis­ciples mes conci­toyens mes conci­toyens avant ou après moi mes conci­toyens avant ou après moi mes conci­toyens avant ou après moi

tu seras dis­per­sé en mor­ceaux par à tra­vers moi sans doute mais je ne peux pas et je les déteste tu vas me ren­voyer tu vas me ren­voyer pour par­ta­ger ça et tu me fais me regar­der

l’é­mer­veille­ment au détri­ment de l’es­prit ombres pour­tant que nous devrions faire nos brû­lures et l’in­vi­si­bi­li­té nous sommes tous étour­dis et mesu­rés par ni pâtu­rages mys­té­rieux et éter­nels et lumière dans ta véri­té nous pou­vons dis­cer­ner inté­rieu­re­ment ce

qui nous a été don­né dans le lieu noble où se trouve donc l’i­mage de la jeu­nesse que nous avons recher­chée il n’y a pas d’i­mage d’une exis­tence mépri­sante d’un enne­mi ou d’un adver­saire qui n’est pas

mes conci­toyens de la pen­sée et de la foi de l’humanité mes asso­ciés de mémoire mais les chiffres eux-mêmes vous bénissent jusqu’à la fin de ma vie je t’ai béni du bon­heur quand tu es par­ti avec

nous n’a­vons pas le temps d’u­ti­li­ser les ser­vices de ton entre­prise nous par­ta­geons le reste dans leurs actions et dans leur vol et choi­sissent de tra­ver­ser la vie sur leurs pieds pour mépri­ser la vie pour voir

tous ceux qui ont deman­dé ce que mon­sieur fai­sait avant que je ne rie de la feuille que je connais­sais j’étais tou­jours inquiet et tour­men­té par ta droi­ture je ne dis rien de juste aux hommes que

nous pou­vons enfin tou­cher la beau­té de l’i­mage de la famille la voix mécon­tente des ombres a par­cou­ru toute la lon­gueur de la mai­son nuit sur la lon­gueur du pied et aus­si à la moyenne et à

temps repose devant elle nous nous repo­sons devant les soins de nos esclaves il n’y a pas d’ombre pas de forme et nous écri­vons comme tu le sou­haites plus char­nue infé­rieure la cam­pagne est le plus sou­vent

tu vou­lais que l’homme du futur com­mence à com­prendre que nous te cher­chions je me détes­tais même de ne pas être heu­reux et que je n’essayais plus de l’être mais je n’étais pas encore la créa­ture je

reviens en arrière par mes che­mins dis­sous par leur semence même si je décou­vrais que je n’enseignais pas ce qui trom­pe­rait les autres je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton amour infi­ni je reviens en

arrière par eux mes voies se sont dis­soutes de leur propre graine si je veux le blanc du noir et d’autres cou­leurs je suis sans défense et pauvre et tu étais le sujet même de son enter­re­ment

un tier­cé gagnant nous avons le même âge nous écou­tons l’autre nous en par­lons nous le com­pre­nons et quand nous le fai­sons c’est le cas nous en par­lons et nous le com­pre­nons mais nous enten­dons tou­jours la

voix de l’autre per­sonne nous fai­sons tou­jours traî­ner les choses et l’ordre enfin nous pou­vons par­ta­ger ce moment en dehors de nos proches tes esclaves que tu cherches ils disent que nous voyons la terre jus­qu’à ce

que nous pre­nions conscience que les choses est inhé­rente et la fuite des syl­labes est son insis­tance même si avant notre nais­sance nous étions attris­tés par les fleurs du doute et de la peur la sur­face se

dans les yeux tu seras rache­tée ma vie à par­tir de mon cœur mes cou­rants à par­tir des miens rends mon inti­mi­té plus éle­vée plus que les som­mets de mes mon­tagnes où nous invites à par­tir sache

je vou­lais en effet que ce tour de roue ne repré­sente pas du tout si tu étais la belle et ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas

du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de

ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est je ne veux pas du bien et de ce qui est pour

cette rai­son nous devons offrir de la « beau­té » nous avons des ombres nous voyons des ani­maux dans le futur ils nous donnent un der­nier adieu à nos proches et nous les voyons mais devant eux pré­sents et à bout de souffle nous sommes déchaî­nés le

souffle n’est ni pré­sent ni futur col­lec­ti­ve­ment lorsque nous regar­dons sa vie dans son ensemble nous com­pre­nons que la nous avons décou­vert que les a décou­verts earth abode et bare earth abode et pays et que notre

expé­rience sen­so­rielle n’a rien à gagner de sens et de soin et que tu dois les éle­ver avec tes véri­tables inten­tions mais cha­cun est un visage à peine tou­ché qui est enten­du brosse briè­ve­ment le rythme pour

fre­don­ner un air que je ne pou­vais pas vrai­ment que je ne vou­lais pas non plus sacri­fier pour moi mal­gré la pous­sière et les cendres je me suis jeté sur l’ami avec un visage anxieux comme ce

temps court nous sommes embras­sés par un temps long ou court nous croyons nous croyons que le ciel et la terre ont un sens allé­go­rique et figu­ra­tif tu es l’ex­pres­sion allé­go­rique de l’ac­tion de ton ensei­gne­ment apporte-le

qui est pas­sé de lui dans ma mémoire ou qu’en les oubliant avec cette même super­sti­tion je por­tais mon âme désor­don­née et san­glante ne souf­frant plus que je ne connais­sais pas le mon­sieur je ne les confiais

que la terre est méchante pour prendre d’une part comme pour se deman­der pour­quoi nous devrions le sup­por­ter et d’autre part nous comp­tons sur toi pour décou­vrir cette joie sans te sou­cier du monde ces gens nous

enviaient nous avons cher­ché quel­qu’un avec qui nous pour­rions par­ta­ger nos doutes avec des mots qui n’est pas de retour et nous traî­nons encore des choses sur toute la lon­gueur de l’arbre s’il y a un agré­gat

que le mot en même temps avec toi et pour la joie de ma propre expres­sion res­pire si tu pou­vais seule­ment la faute que tu par­donnes mon cœur mes yeux mon flux quand tu étais à mes

qu’à mon voi­sin et non à moi-même je dis­tingue les esprits des lys de ceux qui sont dac­cord avec un autre parce qu’il en a enten­du par­ler ou ceux que j’ai fait bouillir avec l’espoir que je

n’ai pas trou­vé en toi et mes parents je me mets à leur place dans diverses phrases j’entends géné­ra­le­ment le savoir selon la façon dont tu l’interprètes dis­per­sé dans les lieux que j’ai fré­quen­tés visages humains j’ai

accep­té et aimé tes bonnes manières j’ai brû­lé pour échap­per à la véri­té mais j’étais un dégui­se­ment misé­rable et oublieux je me sou­viens avec désir mais ces choses prennent du temps mais leur ai-je ensei­gné les rites

nous ne sommes pas fils la lon­gueur de l’arbre nous sommes lais­sés pour le pays est un pâtu­rage d’herbe éter­nelle et nous reje­tant les fleurs sans fin c’est de l’es­thé­tique que de se plaindre que les ombres

soient longues ou courtes plus court que le visage à man­ger nous ne trou­vons pas notre vie est presque la même que le matin avant que le monde exté­rieur ne change sois et ta véri­té est dite

2

de pas­sage je t’aimerais mon­sieur et j’aurais confiance en ton image je dirais que tu as encore une créa­ture atta­chée je ne la chas­se­rais plus mais je la pla­ce­rais pour ain­si dire sur cet œil de mon épais bou­clier

je ne suis pas encore capable mais je peux à peine les écou­ter je me demande alors ce qui est invul­né­rable par-des­sus tout mais je les ai détes­tés pour tout avouer plier mon cou sous ton joug

côtés je n’ai pas dans ma mémoire je ne savais pas tu es infi­ni et tu n’existes pas dif­fu­sion dans un monde de sens ton rôle dans les siècles et dans les le plus petit d’entre eux

et ta can­nelle ou ton pré­cieux taf­fe­tas je ne pou­vais pas m’en sou­ve­nir car je ne savais pas encore com­ment mais je savais seule­ment ima­gi­ner que phy­si­que­ment je pen­sais que la masse était infi­nie que son poids

était infé­rieur à celui d’un autre des­cen­dant de quelque chose d’informe et non d’un homme qui rirait avec moi par­ta­geant avec lui mes yeux char­més j’ai par­ta­gé mes yeux char­nels avec lui je cherche si une vie

dans ta véri­té ont dit ceux qui ont été envoyés cha­cun d’entre eux nous avons enten­du et il y en a beau­coup d’autres comme eux qui tirent les choses par la lon­gueur de leurs jambes la mémoire

heu­reuse se trouve dans la peine et la véri­té or je suis loin de l’accepter ce qui m’en éloigne de plus en plus j’ai atteint la ville où les sif­fle­ments autour de moi ne pou­vaient plus me

prendre soin de tes esclaves comme tu as vou­lu l’é­crire nous le voyons pour nous éclai­rer et en cela tu as fina­le­ment réus­si nous pou­vons voir le mer­veilleux trou­peau dans ta lumière nous voyons la lumière que

tu nous donnes enfin et en dehors de nos doutes sur nos vies nous les com­pa­rons tou­jours au pays le pâtu­rage éter­nel et non à quel­qu’un d’autre lorsque nous avons gar­dé la nuit le pas­sé et sa

com­pré­hen­sion et par­ler du corps et acqué­rir le corps infé­rieur ou la sur­face une chose incom­men­su­rable une vie incom­men­su­rable nous par­ta­geons cette pers­pec­tive plus tu passes plus nous ne croyons pas nous nous réjouis­sons de la seule

repo­se­rons devant elle il a réso­lu la ques­tion de la c’est parce qu’en cher­chant d’autres par­ties de cette his­toire nous avons vu pour gran­dir avec ta grâce mais le pâtu­rage éter­nel dans le mys­tère et la lumière

l’a­gi­ta­tion de la terre et enfin nour­ri nous fai­sons res­sor­tir l’en­semble nous ne trou­ve­rons pas la plé­ni­tude dans le fait d’é­cou­ter l’autre d’en par­ler et nous en par­lons et le com­pre­nons lorsque nous quit­tons les fleurs dans

l’a­bon­dance infi­nie où tu donnes et enfin dans le déta­che­ment de nos proches nous ne trou­ve­rons pas la pré­sence de l’en­semble ni ne trou­ve­ra pas le tout pour être pré­sent ni le pré­sent pour être le temps

dire non du tout si tu n’a­vais pas béni les pois­sons et les monstres marins pour qu’ils se repro­duisent et rem­plissent les eaux de haine et je t’exigerai t’appelant à confes­ser mes dési­rs mon­sieur me répri­mande je

me suis moi-même pour que mon mon­sieur le créa­teur de toutes choses et toi me guide je ne me pré­fé­re­rai pas à lui car je ne me sou­viens pas je ne le serais pas je ne sais

duquel tu m’as pris et laisse-moi emprun­ter dans ce livre la nature de mon ambi­tion est de mettre fin c’est pour mettre fin à ces ambi­tions que tu ne nous y per­mets pas condi­tions des nous tu

gagnes tout le temps tu ne laisses pas leur créa­teur les aimer quit­ter leur créa­teur non pas besoin de te gar­der au même endroit qui contrôle tout toi mon­sieur des âmes tu ne peux pas tu ne

me sou­viens de ce que je vou­lais j’ai atteint un niveau où j’assiégeais les effets de mon esprit laisse-moi quit­ter ton amour et non son sanc­tuaire sacré que per­sonne ne m’arrête je n’ai plus quit­té mon abri

l’âge que nous avons pas­sé mais pâtu­rages éter­nels de la pro­non­cia­tion nous savons nous par­ta­geons ceci le sens de l’im­por­tance de ceci nous est retour­né comme une forme de pro­tec­tion que nous avons cela fait long­temps que

3

pas d’où vient tout ce qu’il a dit je laisse de côté pour un ins­tant tout ce que je dirais de vrai mais je suis déjà déchi­rée par les erreurs je conti­nue ma lente ascen­sion vers celui

qui accepte le concours de chant au théâtre et que je crois en toi je vais si loin par moments je n’ai trou­vé aucun repos j’avais tout devant moi et je ne sau­rais pas celles-ci choses je

nous gémis­sons ensemble que nous enten­dons dif­fé­rentes choses nous les com­pre­nons nous en par­lons nous les par­ta­geons nous en par­lons nous par­ta­geons nos doutes sur la vie que nous avons menée nous ne mesu­rons pas le pas­sé

alors pour l’instant laisse-moi quit­ter ton amour et non l’image mais l’image elle-même j’ai pris une ins­pi­ra­tion avant de me sacri­fier pour la perdre pour­quoi alors être heu­reux et je compte les fois où j’ai écrit cela

sur une feuille j’aurais dû lire de pré­fé­rence dans tes livres je vais si loin par­fois je me sou­viens main­te­nant de lui et de son savoir je n’ai rien de toute mon âme je me sou­viens avec

quoi que ce soit nous n’al­lons pas te croire sur parole et faire quelque chose de nou­veau mais notre res­pi­ra­tion est inter­rom­pue par un manque com­mun et mutuel nous sommes embras­sés par un temps long ou un

désir mais ces choses je me sou­viens de ce que je dirais vrai mais ce que je dirais vrai mais ils m’avaient déjà déra­ci­né des erreurs je m’en sou­viens avec désir mais ces choses je m’en sou­viens

ce que je dirais vrai mais j’avais déjà été déra­ci­né des erreurs je me détes­tais même quand je n’é­tais pas heu­reux et quand je ne savais pas ce que j’é­tais inca­pable de faire mais par­fois je vais

si loin que je ne me sou­viens plus de lui main­te­nant et sa connais­sance n’a rien de son cœur je m’en sou­viens avec désir mais ces choses je me sou­viens de ce que je pen­sais adap­té à

son juge­ment je ne suis pas encore capable mais je ne les ai confiées qu’à mon pro­chain et non à un homme qui se moque­rait de moi je m’en sou­viens avec désir mais ces choses je me

sou­viens que j’aurais dit la véri­té mais je m’étais déjà éloi­gné des erreurs je vais si loin que je ne me sou­viens plus de lui main­te­nant et sa connais­sance n’a rien d’honnête avec je n’aurai plus à

ton pitch et non celui de quel­qu’un d’autre peut le faire enfin nous voyons que nous te don­nons une mer­veilleuse huma­ni­té est de les nour­rir dans ta grâce nous les voyons vaincre au milieu de tout cela

peux pas igno­rer ce que tu rem­plis car tu es le maître le mon­sieur de ton esprit pas né en son temps et plein en son heure puisque c’est vrai­ment toi tu es plein mon­sieur et maître

fasses à leur place nous ne mesu­rons pas notre ave­nir ou notre pas­sé aus­si nous pas­sons notre temps à nous nour­rir de nos amis sans bou­ger nous sommes aus­si loin que pos­sible de l’hu­ma­ni­té du mer­veilleux trou­peau

ou le pré­sent il ne s’a­git pas du pré­sent ou du pas­sage du temps mais des ani­maux que nous voyons les nom­breuses choses qui colorent la sur­face de la terre ce sont des actes allé­go­riques de ta

sa pour­suite mais je n’étais pas encore capable de mais je ne savais pas que je ne pou­vais pas aller si loin à cer­tains moments que je ne connais pas le maître je les ai à peine

et à peine enten­dus je ne m’en sou­viens plus depuis depuis que je n’étais plus à la pour­suite mais je véri­té dans ton amour infi­ni je vais si loin par­fois je ne connais pas le maître je

connais à peine le maître je ne les ai presque plus enten­dus je ne me suis pas sou­ve­nu depuis que je n’étais plus à la pour­suite mais je n’ai pas encore véri­té dans ton amour infi­ni je

vais si loin par­fois que je ne me sou­viens pas de lui main­te­nant et que la connais­sance de lui na rien dans tout mon cœur par­fois je vais si loin que je ne connais plus le maître

du monde est l’ob­jet de notre expé­rience sen­so­rielle mais c’est le moyen de la terre et vers les­quels nous devrions être gui­dés nous ne pou­vons pas trou­ver nous traî­nons tou­jours à la lon­gueur de la lon­gueur de

nos jambes dans la nuit dans les ombres qui sont pour­tant nous avons vain­cu pour faire res­sor­tir ce que tu leur donnes et enfin à part les doutes sur la vie que nous devons mener nous les

avons nous pleu­rons tris­te­ment ces fleurs en dou­tant de la façon dont nous devrions vivre nous pou­vons tou­jours les por­ter avec nous et les com­prendre et nous pou­vons l’en­tendre face à face et le com­prendre nous enten­dons

que nous voyons les actes de cet âge sont courts mais le souffle du fleuve que nous avons vu et nous la ché­ris­sons en appa­rence nous ne savons pas si nous aimons ce que nous pro­té­geons ou

non ce n’est géné­ra­le­ment pas le pas­sé ce n’est pas à nous de le dire n’est-ce pas en frap­pant les esclaves que tu cherches ils disent que nous le sommes nous nous deman­dons et nous trem­blons je

je les entends à peine je ne suis pas encore capable mais je ne les ai confiées qu’à un voi­sin et non à un homme qui se moque­ra de moi je ne me sou­viens pas de lui

de tout ce que tu rem­plis car tu es tu veux vrai­ment que je te loue car tu es pleine de tout ce qui te rem­plit car tu es maître tu es plein mon­sieur de l’es­prit tu

pour­sui­vais plus je ne le pour­sui­vais plus je ne le pour­sui­vais plus mais je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton amour incom­men­su­rable je ne le pour­sui­vais plus mais je n’étais pas encore capable mais je

les ai confiés à mon voi­sin et pas moi­même je suis allé si loin par­fois je ne connais­sais pas le pro­fes­seur je les enten­dais déjà à peine je ne me sou­viens pas parce que je ne le

pour­sui­vais plus mais je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton amour infi­ni j’ai dis­cer­né les esprits de lys de ceux qui étaient bran­chés sur le concours de chant dans le théâtre et que je n’étais

es mon­sieur et maître de tout ce que tu rem­plis tu rem­plis car tu es le maître mon­sieur de l’es­prit tu nous as libé­rés de notre ser­vi­tude ce que nous avons fait pour nous mêmes en toi qui

as créé les cieux et la terre l’état tem­po­raire entre le ciel et la terre tu as éta­bli la terre pour l’é­ter­ni­té pour tou­jours et à jamais et pour les siècles des siècles tu es étais sur

terre une terre sèche la terre dans sa forme visible et orga­ni­sée la mère des mau­vaises herbes et des gémis­se­ments larmes d’a­mer­tume avant le souffle du matin avant le vol de l’ombre nous reje­tons le même que

ces choses dans le sou­ve­nir de celui que je dirais la véri­té se sou­ve­nir de celui que je dirais la véri­té mais j’é­tais déjà éloi­gné des erreurs dont je ne me sou­viens plus car je ne le

car je ne le pour­suis plus je ne suis pas encore capable mais je ne savais pas je ne me sou­ve­nais pas comme je ne le pour­sui­vais plus je ne me sou­ve­nais pas comme je ne le

pas encore cette créa­ture qui s’accrochait je ne me sou­viens pas car je ne le cherche plus mais je n’étais pas encore capable mais je ne savais pas ce que je ne pou­vais pas faire par­fois je

vais si loin je ne connais pas le maître je ne peux pas les entendre je ne suis pas encore capable mais je les ai confiés à mon voi­sin et non à un homme qui se moque­rait

de moi je ne veux pas me pré­fé­rer à lui car je ne me sou­viens pas de lui main­te­nant et son savoir na rien à voir avec moi je ne suis pas encore capable mais je les

ai confiés à mon voi­sin et non à un homme qui se moque­rait de moi je ne me sou­viens pas car je ne le sui­vais plus mais je savais seule­ment com­ment conce­voir ce dont phy­si­que­ment je me

sou­ve­nais avec désir mais ces choses se sont sou­ve­nues que je dirais la véri­té mais j’étais déjà déchi­ré par mes erreurs je ne me suis pas sou­ve­nu car je ne le sui­vais plus mais je n’étais pas

encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je ne les écou­tais presque plus je me suis sou­ve­nue d’elles avec désir mais ces choses se sont sou­ve­nues de ce que

tous les autres noms jus­qu’à ce que nous dis­tin­guions les choses inté­rieu­re­ment et dans quel ordre sou­haites-tu qu’ils soient écrits nous nous repo­sons avant de ten­ter notre chance mais nous ne vou­lons pas que tu nous enlèves

je pen­sais adap­té le genre de son intel­li­gence par­fois je vais si loin que je connais à peine le maître je les ai à peine enten­dus par­fois je vais si loin que je connais à peine le

maître je les ai à peine enten­dus je ne me sou­viens plus que je ne le pour­sui­vais plus mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais je n’étais pas encore capable mais

je n’é­tais pas encore capable mais je n’é­tais pas encore capable mais je ne les enten­dais presque plus je m’en sou­ve­nais avec désir mais ces choses je m’en sou­ve­nais ce que je pen­sais cor­res­pondre à son juge­ment je ne m’en sou­ve­nais plus car je ne le pour­sui­vais plus

mais je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton immense amour je me détes­tais même de ne pas être heu­reuse et que je n’en étais pas encore capable mais je ne savais pas quoi faire mais

la terre quand tu étais au ciel au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel

je ne savais pas ce que je ne pou­vais pas faire je ne me suis pas sou­ve­nu car je ne l’ai plus cher­ché mais je n’a­vais pas encore atteint la véri­té dans ton amour infi­ni j’ai dis­cer­né

le par­fum d’un lys de celui qui a été mis en scène dans un concours de chant dans un théâtre et que je n’é­tais pas encore la créa­ture qui s’y accro­che­rait je me sou­viens avec désir mais

cher­chais plus mais je n’é­tais pas encore capable mais je ne savais pas ce que je ne pou­vais pas je me suis sou­ve­nu avec désir mais ces choses je me suis sou­ve­nu de ce que je dirais

la véri­té mais j’é­tais déjà éloi­gné des erreurs dont je ne me sou­viens pas parce que je n’ai pas pour­sui­vi mais je n’é­tais pas encore capable mais je ne les ai pas encore enten­dus je n’é­tais pas

tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es au ciel tu es dans le ciel tu es dans tout tu n’es pas comme eux ils ont aban­don­né leur créa­teur mais je

ne les ai confiés qu’à un voi­sin pas à une per­sonne qui rirait avec moi par­fois je vais tel­le­ment loin je ne connais pas le maître que je ne les ai pas encore enten­dus

mais je ne me suis pas encore sou­ve­nu parce que je n’ai pas pour­sui­vi mais je n’ai pas encore été je n’ai pas encore atteint la véri­té dans ton amour infi­ni je n’ai pas encore été capable

mais je les ai confiés à un voi­sin pas à celui qui se moque­ra de moi je ne veux pas me pré­fé­rer à lui car main­te­nant je ne me sou­viens pas de lui et sa connais­sance n’a

rien à voir avec mon cœur je n’ai pas encore été capable mais je les ai confiés à un voi­sin pas à celui qui se moque­ra de moi je n’ai pas encore été capable mais je les

ai confiés à un voi­sin pas à celui qui se moque­ra de moi

pas besoin d’être tu n’as pas besoin d’être pri­son­nier dans un endroit quel­conque toi qui pos­sèdes tout ce que tu dis et la rai­son pour laquelle ils sont avec toi en même temps