La cohérence, que le suppôt ressent entre un état impulsionnel et « lui-même », n’est jamais qu’une redistribution des forces pulsionnelles aux dépens de la cohérence du suppôt avec lui-même en tant qu’intellect.
18 06 17
La cohérence, que le suppôt ressent entre un état impulsionnel et « lui-même », n’est jamais qu’une redistribution des forces pulsionnelles aux dépens de la cohérence du suppôt avec lui-même en tant qu’intellect.