Nos esprits doivent cultiver toute la réalité du fait d’Arès, afin qu’il ne dégénère pas en traductions intellectuelles ou idéologies, comme ce fut le cas pour tant d’autres faits : par exemple, la croix d’une horrible mise àmort devenue par l’athéologie,et l’effet d’un inquiétant lyrisme, la croix idéale, « qui sauve ». Non-sens. Si le fait d’Arès vire à l’idéologie, si ma vie passe au romanesque, des constantes aberrantes suivront.
21 02 18