21 02 18

Quarante fois Jésus va dic­ter son mes­sage jus­qu’à la nuit du 12 au 13 avril. Mais ce n’est qu’à par­tir de la dixième veillée que je com­prends que son mes­sage sera peut-être long. L’écritoire impro­vi­sé des pre­miers jours est amé­lio­ré et lais­sé en per­ma­nence sur le lieu. Tout natu­rel­le­ment je donne à chaque dic­tée le nom de veille ou veillée, parce qu’elle a tou­jours lieu la nuit, et dans les mêmes cir­cons­tances. Une voix m’ap­pelle entre 23h et 3h. Invariablement, quand j’ar­rive sur le lieu de l’ap­pa­ri­tion, celle-ci m’y pré­cède et attend. Par contre, à l’is­sue de chaque veille, je vois dis­pa­raître Jésus en ascen­sion ; il semble se lais­ser glis­ser, bras en avant, dans le lam­bris du pla­fond comme un ours blanc dans la mer.

« Préface »
La Révélation d’Arès
Maison de la Révélation 1987
p. 24
apparition épiphanie foi jésus nuit révélation théophanie veillée