Quarante fois Jésus va dicter son message jusqu’à la nuit du 12 au 13 avril. Mais ce n’est qu’à partir de la dixième veillée que je comprends que son message sera peut-être long. L’écritoire improvisé des premiers jours est amélioré et laissé en permanence sur le lieu. Tout naturellement je donne à chaque dictée le nom de veille ou veillée, parce qu’elle a toujours lieu la nuit, et dans les mêmes circonstances. Une voix m’appelle entre 23h et 3h. Invariablement, quand j’arrive sur le lieu de l’apparition, celle-ci m’y précède et attend. Par contre, à l’issue de chaque veille, je vois disparaître Jésus en ascension ; il semble se laisser glisser, bras en avant, dans le lambris du plafond comme un ours blanc dans la mer.
21 02 18