Ce regard « d’homme à homme » a pour moi d’autant plus de prix que je remarque, et que je ressens avec douleur, « quel effort représente pour Jésus d’apparaître en ce monde pourri de péché – en commençant par moi – comme l’épreuve de descendre dans une fosse infecte. J’avais le sentiment de puer de l’esprit et qu’il fallait vraiment beaucoup d’amour pour l’approcher et pour me regarder ».
(…)
Jésus se tourne, bouge, remue la tête, les bras, les mains, très posément. Ses sentiments se traduisent plutôt « par l’étrange variation de la brillance de l’œil ».
21 02 18