21 02 18

Le Christ que je vis n’était pas un esprit, mais une personne bien en volume et certainement pesante, car je sentis la lourdeur de son bras quand il posa sa main sur ma tête. Quand il m’oignit les lèvres je distinguai les sillons de la peau des phalangettes et les ongles normaux.

« Liminaire à l’édition de 1974 »
La Révélation d’Arès
Maison de la Révélation 1987
p. 36
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