Si la ligne de fuite est comme un train en marche, c’est parce qu’on y saute linéairement, on peut enfin y parler ‘littéralement’, de n’importe quoi, brin d’herbe, catastrophe ou sensation, dans une acceptation tranquille de ce qui arrive où rien en peut plus valoir pour autre chose.
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vol. 2 : Mille plateaux
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