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Quelque chose a pris de mars à juin, c’est indé­niable, je m’en sou­viens – car deux mois de plus ont suf­fi à don­ner à ce tiers de l’année le tour incer­tain du sou­ve­nir et de la « lit­té­ra­ture ». C’est ce qui lave le mieux l’intensité poli­tique, me dis-je en sep­tembre, mois des romans et d’une panique légère à la pers­pec­tive de ne pas y arri­ver (tout faire dans les temps).

Un œil en moins
P.O.L 2028
p. 138
littérature politique