Qui donc peut se tenir au-dessus de la mêlée interprétative en un lieu lui permettant d’assigner à chaque énoncé une signification constante ? Et pourquoi considère-t-on que la menace que ferait peser une telle autorité est moins grave que celle que constitue l’interprétation équivoque ?
Le pouvoir des mots. Politique du performatif
[Excitable Speech, Routledge, 1997]
trad.
Charlotte
Nordmann
Amsterdam
2004
p. 136