Les Poésies et, de façon moins visible mais analogue, tout texte moderne se constituent comme une totalisation des discours présupposés et de leur appropriation, aussi bien que du commentaire « métalinguistique » de celle-ci comme de ceux-là. Mais cette unification visant une sorte de Livre unique qui sera un Livre généralisé, c’est-à-dire le passage des actes discursifs au Livre, en même temps que la transformation du Livre en une série infinie d’actes illocutoires, est une unification fictionnelle : fictive.
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