05 12 20

Cesarano, Apocalypse et révolution

Il ne s’agit pas d’être d’impuissants paci­fistes ou des clowns, fils des fleurs, il s’agit de savoir où com­mence et où se pour­suit le véri­table com­bat. Exactement là où com­mence, et où s’achèvera la pro­duc­tion de soi comme figure, la ges­tion de soi comme enti­té auto­nome de valo­ri­sa­tion inté­rio­ri­sée, la mar­chan­di­sa­tion des rap­ports humains dans la col­lu­sion sanc­tion­née par l’échange inau­then­tique.

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Apocalypse et révo­lu­tion [Invariance, année IX, série III, n°2 et 3, 1976–1977]
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chap. 5  : « L’art de vivre »
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trad.  Lucien Laugier
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p. 125 § 69