En eux-mêmes les noms et les verbes sont semblables à la notion qui n’a ni composition, ni division : tels sont l’homme, le blanc, quand on n’y ajoute rien, car ils ne sont encore ni vrais, ni faux. En voici une preuve : bouc-cerf signifie bien quelque chose, mais il n’est encore ni vrai, ni faux, à moins d’ajouter qu’il est ou qu’il n’est pas, absolument parlant ou avec référence au temps.
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