Tu penses au Brésil, tu vis ici, tu ne peux pas faire autrement que penser au Brésil, mais tu n’as pas besoin de penser le Brésil (c’est toujours ceux qui pensent que le Brésil leur appartient qui se mettent à « le penser », c’est-à-dire à inventer de nouvelles manières d’assujettir ceux qui n’ont ni le temps ni les moyens de penser), penser au Brésil, ça suffit, c’est très bien comme ça.
21 05 24