Tu fais de poétique et de joli des valeurs. Des valeurs affectives, esthétiques et morales. Des valeurs-refuges, dirais-je. […] Aujourd’hui, le recours à ces valeurs fantasmatiques apparaît clairement comme des impasses du langage et une regression de la pensée. Ce serait, en littérature, l’équivalent de Philippe de Villiers en politique. »
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« Les Dernières Nouvelles de la Cabane, bulletin du 11 avril 1998 »
Ma haie
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p. 440–441