La dianoia, écrit Philon, est un « lieu invisible » où sont conservées les pensées jusqu’à ce que la voix s’en empare avec ardeur « dans son désir de les faire connaître ». Elle est comme un « métal vierge » sur lequel le langage, aux fins de la communication humaine, « imprime le dessin des verbes et des noms ».
07 09 20