Le sophisme a beau faire jouer des oppositions familières être/non-être, contradictoire/non contradictoire, vrai/faux, il faut bien se rendre compte de la manière dont se fait ce jeu :
- vrai/faux fonctionne comme équivalent : accordé/pas accordé,
- être/non-être fonctionne comme équivalent : dit/pas dit,
- non contradictoire/contradictoire comme rejeté/non rejeté.
Toutes oppositions, on le voit, qui jouent au niveau de l’existence du discours comme événements dans un jeu.