29 12 20

Cesarano, Apocalypse et révolution

Il n’existe pas de com­por­te­ment ou de ligne de conduite qui ne se défi­nissent comme révo­lu­tion­naires en soi. Dès que cette pure sty­li­sa­tion de la conflic­tua­li­té s’é­ta­blit et qu’elle devient donc « réa­li­sa­tion de l’art », tout com­por­te­ment, toute ligne de conduite va s’ar­ran­ger pour pré­sen­ter l’é­vé­ne­ment comme un de ses acci­dents par­ti­cu­liers.

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chap. 8  : « La dia­lec­tique réelle »
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trad.  Lucien Laugier
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p. 190 § 121