Où il y a intensité, il y a labyrinthe, et déterminer les sens du parcours, souffrance ou allégresse, est l’affaire des consciences et de leurs directeurs. Il nous suffit que la barre tourne pour que fusent les spirales imprévisibles, il nous suffit qu’elle ralentisse et s’arrête pour que s’engendrent la représentation et la pensée claire. Donc pas de bonnes et de mauvaises intensités, mais l’intensité ou sa décompression. Et comme on l’a dit et on le redira, l’une et l’autre dissimulées ensemble, le sens caché dans l’émotion, le vertige dans la raison. Ainsi point de morale, plutôt une théâtrique ; point de politique, plutôt un complot.
03 03 16