03 04 16

Et pour chaque bran­che­ment, un nom divin, pour chaque cri, inten­si­té et bran­che­ment qu’ap­portent les ren­contres atten­dues et inat­ten­dues, un petit dieu, une petite déesse, qui a l’air de ne ser­vir à rien quand on le regarde avec les glo­bu­leux yeux tristes pla­to­ni­co-chré­tiens, qui ne sert en effet à rien, mais qui est un nom de pas­sage de l’é­mo­tion.