19 09 24

Musil, L’homme sans qualités

« Ce qu’on est » change aus­si vite, semble-t-il, que « ce qu’on porte » ; dans un cas comme dans l’autre, per­sonne, même pas sans doute les com­mer­çants inté­res­sés à la mode, ne connaît le véri­table secret de cet « on ».

»Man ist« wech­selt, wie es scheint, eben­so schnell wie »Man trägt« und hat mit ihm gemein­sam, daß nie­mand, wahr­schein­lich nicht ein­mal die an der Mode betei­lig­ten Geschäftsleute, das eigent­liche Geheimnis dieses »Man« kennt.

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t. 1
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chap. 99  : « De la demi-intel­li­gence et de sa fer­tile seconde moi­tié ; de l’analogie de deux époques, de l’aimable nature de tante Jane et de ce monstre qu’on appelle les Temps nou­veaux »
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trad.  Philippe Jaccottet
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p. 571