« Avez-vous jamais vu un chien ? demanda-t-il. Vous le croyez seulement ! Vous n’avez jamais vu que quelque chose qui vous est apparu, à plus ou moins bon droit, comme un chien. Quelque chose qui ne possède pas toutes les qualités canines et qui a, au contraire, un élément personnel qu’aucun autre chien ne possède. Comment donc pourrions-nous jamais faire, dans la vie, ce qu’il faut faire ? Nous ne pouvons jamais que quelque chose qui n’est jamais ce qu’il faut, mais qui est toujours un peu plus ou un peu moins que ce qu’il fallait. […] »
»Haben Sie schon je einen Hund gesehen?« fragte er. »Das glauben Sie bloß ! Sie haben immer nur etwas gesehen, das Ihnen mit mehr oder weniger Recht als ein Hund vorkam. Es hat nicht alle Hundeeigenschaften, und irgendetwas Persönliches hat es, das wieder kein anderer Hund hat. Wie sollen wir da je im Leben ›das Richtige‹ tun ? Wir können nur etwas tun, das niemals das Richtige und immer mehr und weniger als etwas Richtiges ist. […]«