19 04 14

Brecht, Journal de travail

GRAND-PEUR ET MISÈRE DU TROISIÈME REICH est main­te­nant par­ti à l’im­pres­sion. déjà, Lukàcs a salué LE MOUCHARD comme si j’é­tais un pécheur ren­tré dans le giron de l’ar­mée du salut. voi­là enfin qui est pris à même la vie ! on oublie vite qu’ils s’a­git d’un mon­tage de 27 scènes, d’un simple réper­toire de gestes, se taire, ins­pec­ter autour de soi, sur­sau­ter d’ef­froi, etc.

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trad.  Philippe Ivernel
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p. 19
, 15.8.38