L’essai coordonne les éléments au lieu de les subordonner. […] Si l’essai, comparé aux formes dans lesquelles un contenu tout prêt est communiqué de manière indifférente, est plus dynamique que la pensée traditionnelle, grâce à la tension entre la présentation et la chose présentée, il est en même temps plus statique, en tant qu’ensemble construit de juxtapositions.
« L’essai comme forme »
Notes sur la littérature
[1954–1958]
trad.
Sibylle
Muller
Flammarion
1984
p. 27