Les affirmations sur l’« islam » sont énoncées avec une confiance et une sérénité vraiment olympiennes. Il n’y a aucune dislocation, aucune discontinuité ressentie entre la page de Gibb et le phénomène qu’elle décrit, car chacun d’eux, selon Gibb lui-même, peut en dernier ressort se réduire à l’autre. Ainsi, l’« islam » et la description qu’en fait Gibb ont une simplicité calme et discursive, avec comme élément commun la page bien ordonnée de l’érudit anglais.
The statements about “Islam” are made with a confidence and a serenity that are truly Olympian. There is no dislocation, no felt discontinuity between Gibb’s page and the phenomenon it describes, for each, according to Gibb himself, is ultimately reducible to the other. As such, “Islam” and Gibb’s description of it have a calm, discursive plainness whose common element is the English scholar’s orderly page.