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Musil, L’homme sans qualités

Pour on ne sait quelle rai­son, Ulrich avait l’impression, bien que ce fût la fin de l’hiver, de contem­pler une de ces nuits d’octobre où la fraî­cheur est encore douce, et il lui sem­blait que la ville y fût rou­lée comme dans une immense, cou­ver­ture. Puis, il pen­sa qu’on pou­vait tout aus­si bien dire d’une cou­ver­ture qu’elle res­semble à une nuit d’octobre.

Aus irgen­dei­nem Grund hatte Ulrich auf das stärkste den Eindruck, in eine mild­kalte Oktobernacht hinaus­zus­tar­ren, obgleich es Spätwinter war, und es kam ihm vor, die Stadt sei in sie ein­gehüllt wie in eine unge­heure Wolldecke. Dann fiel ihm ein, daß man eben­so­gut von einer Wolldecke sagen könnte, sie sei wie eine Oktobernacht.

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t. 1
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chap. 115  : « La pointe de tes seins est comme un pétale de pavot »
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trad.  Philippe Jaccottet
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p. 770