c’est | dans mon mental | que je suis heureux ou malheureux |
Facebook. | Dans mon mental | . 21 likes. je partagerai mes emotions, mes idées et de temps en temps mon vécu. |
Mais, en lisant votre réponse, quelques questions sont survenues | dans mon mental | . Although, while reading your reply, a number of questions kept arising in my mind. |
Comment faire une pause | dans mon mental | grâce à la respiration Le 01 juin 2021 Cette vidéo explique comment calmer le mental grâce la respiration abdominale et la cohérence cardiaque afin d’être en pleine conscience et de vivre le moment présent. Halte à l’agitation, au stress, aux dispersions : faisons de la place ! |
J’ai Trop De Pensées ! Comment Faire Pause | Dans Mon Mental | ? Je pense trop, j’ai trop de pensées |
Faiblesse se trouve dans mon coeur, la force est | dans mon mental | Mixtape | Mexico | 18 janvier |
Bonjour je suis un homme de 46 ans et cela fait maintenant 5 ans que je souffre de bavardage mental incessant,il n’y a pas de pause | dans mon mental | ‚ça parle ‚ça chante en boucle ‚ça pense , pourquoi j’arrive pas à l’éteindre |
« Je me suis rendu compte qu’il y avait un brouhaha incroyable | dans mon mental | » confit-il. Un constat qui lui permettra de faire ses premiers |
connaître, contrôler, maîtriser et concentrer mon mental devient prioritaire, puisque je passe ma vie devant et | dans mon mental | . |
Je ne peux pas choisir en imaginant toutes les possibilités | dans mon mental | . Je dois les vivre, les tester pour savoir ce qui me correspond. |
Pourtant moi qui suis quelqu’un d’assez stable | dans mon mental | , même moi j’ai des coups de mou, c’est pas toujours facile de gérer toutes ces émotions |
Il m’a fallu des années pour comprendre ce que voulait dire « être dans le mental ». Ensuite tout autant pour comprendre comment je faisais des noeuds | dans mon mental | , Après, comment cela jouait contre moi, Et encore plus pour comprendre comment « faire la paix avec ce mental ». Aujourd’hui, j’ai déniché certaines clés pour faire la paix avec mon mental et ma capacité d’entreprendre ma vie est plus saine, plus joyeuse. |
Autiste de mon corps, je vivais | dans mon mental | , et je vivais mal, les mots heureux et bonheur m’étaient inconnus, je ne connaissais que la notion de plaisir |
je suis très souvent dans mes pensées, | dans mon mental | , donc pas présent au corps, pas présent à ce que je vis ici et maintenant |
Quand j’ai commencé le programme, je m’attendais à apprendre quelques outils simples qui m’aideraient | dans mon mental | , comme apprendre à accepter l’échec et le pouvoir du monologue positif. |
Très vite, le droit a pris une part importante | dans mon mental | . Plus le blog grandit, plus on prend des risques, explique-t-elle. |
A 45 jours, ça souffle | dans mon mental | …..La semaine dernière je vous avais dit que autour de 40 jours il était possible que la vraie faim apparaisse. En réalité, il s’est passé tout autre chose. |
Pourquoi Je Crois Encore Mon Mental ?, je crois aux pensées dans ma tête, identification au mental, mental, le mental, mon mental, mon mentale, le mental sebastien lecler, pourquoi je crois mon mental, comment arrêter de croire mon mental, je veux arrêter mon mental, croire mon mental, je crois mon mental, sebastien lecler, croire au mental, croire | dans mon mental | , je crois mon mentale, comment ne pas croire mon mental, quoi faire pour ne pas croire mon mental |
Faut que je me réinstalle | dans mon mental | de responsable. C’est un dû pour les familles, pour la population. |
J’analyse ma situation, je prends du recul, j’apprends à me protéger, je fais de la place | dans mon mental | , je reprends mon souffle |
Je me faisais constamment des scénarios catastrophes et préméditais des moments et des situations négatives qui n’existaient que | dans mon mental | . |
La photo du jour. Observez bien et trouvez les sept différences · Football. « On s’est aperçu d’une faille | dans mon mental | ». |
Ce que fait votre mental quand personne ne regarde dans mon mental dans mon mental dans ces moments où le mental est le plus enclin à produire de la négativité, j’ai noté une énorme transformation | dans mon mental | et dans ma vie |
Je remonte | dans mon mental | : la résolution émotionnelle est une approche |
Je n’ai jamais autant investi | dans mon mental | et mon mindset, et me voilà aujourd’hui une personne – franchement j’ose le dire |
Grâce à elle, je découvre l’équilibre dans mon assiette, dans mon quotidien et | dans mon mental | . Cela fait du bien de prendre soin de soi avec elle |
Ça m’évite de gamberger | dans mon mental | , sourit-elle. Muriel, Sylvie (au centre) et Laurent (à droite) profitent de la pause-café |
Peut-être que je ne suis pas dans l’accueil de mon ressenti, mais que je ressasse et que je rumine | dans mon mental | . |
la réussite de mes stages ont été sources de motivations et de fierté, et m’ont aidée à puiser | dans mon mental | et à reprendre courage |
12 raisons pour lesquelles 2017 a été l’une des plus belles… 28 déc. 2017 — J’ai du mal à garder les pieds sur terre, comme emprisonnée | dans mon mental | . Il me kidnappe, ne me laisse plus tranquille, m’éloigne du |
Note personnelle : J’invoque cette Chambre de Lumière quand je vois que je suis trop | dans mon mental | et les effets sont à chaque fois surprenants. |
Je me suis sentie remplie et totalement alignée, pas | dans mon mental | , ni dans mon égo : dans mon corps. De ma tête à mes plantes de pied. |
Tu es entré | dans mon mental | , tu dois rentrer en moi physiquement. Je ne sais pas ce que tu m’as fait. Mais tu me fais vraiment ressentir |
Comme un code interne que je programme | dans mon mental | en le prononçant, il agit pour ramener ma conscience au centre de moi-même. |
Perdues | dans mon mental | étourdi. Par quel miracle mes oiseaux. Volent-ils encore aujourd’hui ? Par quelle adresse. Se posent-ils entre les fissures |
les montagnes du Pérou, les manchots d’Ushuaia et toutes les autres choses que je n’ai même pas osé projeté | dans mon mental | . |
la confusion | dans mon mental | sale à cause de la pollution de satan. J’aimerais bien voir quelle sera la conclusion. Refrain Le jugement dernier. |
Vicissitudes
Ah, ah, ah, ah, stayin’ alive, stayin’ alive
Bee Gees, Stayin’ alive
Eh ! Psst ! Ehhhh !
…
Tu viens à l’enterrement ?
*
On est « ce qu’on est » ; on fait « ce qu’on peut » ; on a beau dire il y a des fois, être vivant ça fout la pêche.
L’histoire des sensations n’a jusqu’à présent fait connaître que quatre façons d’avoir mal : les fois où ça pèse, les fois où ça tire, les fois où ça lance, les fois où ça pique. Toute autre douleur – qu’elle soit continue ou intermittente, égale ou inégale, fixe ou baladeuse – n’est qu’une complication de ces sensations-ci.
Et à chaque fois qu’il y a des fois qu’être vivant ça fout la pêche, surgit l’impression que c’est « la nature » qui assume pour toi ce que tu ne sais pas ressentir ; et la pénible sensation d’en être pour ses frais d’ouverture :
ah la nature
oh la nature
toute étendue
comme incorruptible à la plage
de tout ce qui se tient comme un monde
sage
sous le soleil de « ce qui est ».
Un discours, un discours ! Non. Non. Je ne fais que m’interroger, vous savez. Je ne parle pas de malheur. J’optimise. Je constate que les gens s’affectent ; je les aide à être malheureux trois quatre ans – et puis un jour ils viennent me voir et ils me disent : écoutez ça y est, je crois que y’a du temps qui… recommence à se passer, là. Et sous tout ce malheur suspendu, pendant tout ce temps qui ne passait pas, en fait il y a eu bien des fois, établies de force et maintenues par la force en un lieu mystérieux, source et résultat des phénomènes matériels, où vivre a semblé spontané.
Ah…
Oh !
Ahaa !
Voilà une nature qui se tient sage. On y a de plus en plus pied et l’eau est de plus en plus bonne. Et comme d’une addiction, on oublie presque qu’on y trempe, sauf quand, de rares fois et confusément, on en voit qui se cassent le cul à tenter d’en sortir.
Mais si tu sais que ça pèse, si tu sens que ça tire, si tu trouves que ça lance, si quand tu y penses ça se met à piquer – bienvenue dans le cœur vibrant de la communauté endeuillée du corps endolori. Cénestopathes, bébé. Notre douleur n’a pas de lieu. Notre sensorium est sans interprète.
Endurant une douleur ou une privation sans remède, des gens ont atteint l’extase en prairie, en forêt, en falaise ou vautrés dans les dunes, mais aussi à la plage, à la salle, ou au vingtième étage de la tour de bureaux. Supplice pulsatile. Martyre tensif. Tourment pongitif. Lassitude et stupeur toujours plus gravatives. Soudain, par une lésion déterminée dans l’organe du sentiment général, il se produit une affection qui donne lieu à la perception. Il n’est plus question de journée ok – navigation à courte vue dans le sensorium brinquebalé – mais de vie intense.
Il y a des fois, rien à dire, être vivant, ça fout la patate. Au lieu de l’enterrement, j’ai décidé de taper quarante kilomètres à vélo – une petite corniche littorale en pente douce – seul au monde au milieu des suv et des scoots – de l’interfile un peu sportif entre deux « BUS 19 » – Pointe-Rouge, la pesanteur, mes mollets de poulet tendus, et ce pouls qui jamais ne s’emballe, une fierté génétique locale, sous le soleil de « ce qu’on peut ». Tout autre discours sur la vie n’est qu’une complication de celui-ci.
Établie de force et maintenue par la force, elle est la seule et unique souche, la source et le plateau, la base et le pinacle des phénomènes matériels ; elle est le coq sur le clocher des événements spontanés. Oui oui, c’est « la nature » – la mienne, la tienne : elle est à nous tou⋅te⋅s qui savons qu’il n’y a que ses possédé⋅e⋅s pour la fuir. Elle professe qu’entre terre à terre, cendres à cendres et poussière à poussière, il n’y a pas plus de fois que de poulet rôti. Elle enseigne qu’au sable du temps ne succède que le sable du temps – et elle nous en fout plein les yeux, comme quand, flashant sa très objectivement moyennement sauvage sauvagerie littorale, elle pousse notre corps bolidé à l’opposé de nos regards, du large vers l’intérieur d’un virage, à même le danger d’y passer.
Ainsi, ainsi, sous l’empire d’une nature aliène, hostile dans les virages et hostile dans la côte, sous l’empire d’une nature qui se tient bien savage, virgule, nous commettons 🌈🏆😎~RESTER EN VIE~😎🥇🌈. Tant que nous nous maintenons dans ce crime, il y a et il y aura des fois – par exemple ces fois où le littoral suffit à se sentir vivant, et où se sentir vivant suffit à foutre la patate ; ou alors ces fois où tu peux pas venir, c’est comme ça, c’est pas grave, pas de souci, je comprends, ce sera pour la prochaine fois.
Standard mais pas vraiment
Comment épaissir les cheveux ? Comment ralentir la repousse des cheveux ? Comment accélérer la repousse des cheveux ? Comment précipiter la chute des cheveux ? Comment faire avec les cheveux ? Quoi faire avec les cheveux ? Quoi faire des cheveux ? Comment faire des cheveux ? Et : Si on les coupe pas, les cheveux, est-ce qu’ils poussent indéfiniment ?
À toutes ces questions comme à toutes les autres il n’y a qu’une réponse. Elle vous surprendrait j’en suis sûr, et je vous la dirai dès que je la connaîtrai. Mais je sais que, quelle que soit la réponse, je ressentirai le même genre de trouble que quand, au grand magasin de bricolage, un vendeur du rayon plomberie a dit devant moi et un tuyau :
mais pas vraiment.
Rien de plus grand ne peut être pensé.
Et voilà c’est encore le moment de « manger » — preuve matérielle que ça survit, effet et cause d’une règle productive, pollicitation digestive — voilà c’est encore le moment d’obéir. Or je souhaite une vie sans contraintes, vérifier mes effets dans le monde le plus souvent possible hors de mon propre corps — même si je ne veux pas non plus m’empêcher de tourner autour du plaisir projeté d’avoir été contraint.
I. Une puissance si grande que ses effets sont jusque moindres— Franchement c’est bizarre ton truc… — Pas plus que le Thinkerview avec l’ambassadeur chinois. — Le Thinkerview avec l’ambassadeur chinois est bizarre à la mesure du monde. Ton truc est bizarre, point. — Nan nan. Le monde est plus bizarre que mon truc. Le monde est plus bizarre que la somme de nos trucs, de nos traits, que la puissance conjuguée de toutes nos complexions.
En fait je voudrais simplement ne pas me priver de commencer à jouir par le standard contraignant, par les gros tuyaux libidinaux les plus ajustés en apparence, les plus universellement contraignants en apparence, et que c’est seulement après, quand on s’est faufilé ou vautré dans les gros tuyaux bien standard, c’est seulement là que s’ouvrent ou se découvrent les voies adjacentes et mineures où pas vraiment – qui sont belles et intéressantes précisément parce qu’elles sont adjacentes et mineures, et parce que donc elles n’ont pas rien à voir avec le standard initial et majeur (et même elles en sont comme les malfaçons, genre : pas de vis défoncé, déformation concave, stries, bosses, marbrures, réplétions).
— Le monde n’est pas plus ou moins bizarre que n’importe quoi d’autre ; il est éminemment bizarre, bizarre par éminence, par excès de la qualité dont il procède, qualité qu’il n’a pas mais qu’il est. Et ce n’est pas dire « Comme ce monde est bizarre ! » (frisson pluriversel sous norme universelle) que de dire « Le monde est bizarre ». Il l’est absolument ; il ne reluit pas de bizarrerie par réflexion des normes et des autres bizarreries qu’il contient. Il est bizarre non pas relativement à de plus ou moins bizarres existences, et ni par induction ni par déduction d’une bizarrerie première ou totale, partielle ou dernière.
En fait je voudrais pouvoir vouloir croire que tout standard comprend son pas vraiment – même si bien sûr je ne peux pas vouloir croire que jouir en mineur c’est simplement jouir dans les défectuosités du majeur. C’est trop facile. On sait bien que ça nous accommode tant que ça ne nous nique pas. C’est arrangeant, et puis ça nous niquera. Ça ne nous niquera pas par la morale, en tout cas par directement. Ça nous niquera par la volupté refaite valeur. Ça nous niquera par les valeurs, comme d’hab.
— Nous reconnaissons l’éminence de la cause dans le défaut de l’effet. — Nous, peut-être. — Plus ça tape fort, moins ça agit en apparence. — C’est ce qu’il y aurait à savoir ; c’est ce que nous n’oublions jamais. — Moins ça paraît bizarre, plus nous nous vérifions sous l’empire des normes. — Le monde est simplement mais pas vraiment normal. — Il est si parfaitement standard que rien ne lui est ajusté. — Voilà. La norme du monde est extramondaine. — Mais immanente. — Aucune chose n’est jamais standard ; toutes choses créées pourtant ont le standard. — En partie. — En vue. — Sont une image imparfaite, une image touchante du standard initial.
— En fait toi tu. Tu parles tu parles mais. Mais derrière il y a R. — Si si. Nan nan. Il y a ces petites angoisses dans le ventre qui servent à accorder ma tête et mon cul. — Nan nan. Tu joues les braves mais. Derrière j’t’assure c’est l’désert frère. — Il y a des cheveux dans du pain et tu ne le savais pas. Les chaînes de fast-food font venir des cheveux depuis la Chine et tu ne le savais pas. Afin d’en faire un conservateur essentiel au pain industriel et peu de gens le savent.
— Nous sommes des poètes ; nous avons le soupçon. — C’est ça qu’on fait, c’est pour ça qu’on le fait. — Nous insinuons le soupçon devant le standard initial et les tentatives ultérieures de fidélité au standard. — C’est pour ça qu’on est faits. — Bravo à toute l’équipe : ceux qui font ; ceux qui insinuent le soupçon. — Merci aux concepteurs, aux réalisateurs, aux contrôleurs produit. — Merci aux pas de vis en plastique qui peluchent, à la colle étanche hydrophobe les dix premières minutes, au furet qui s’emmêle, à son ressort martyr. — Merci aux cheveux rêches, aux mèches revêches et bravaches qui sont, avec la poésie, la preuve matérielle, toujours recommencée, que le soupçon était de tout temps justifié.
II. Une charpie fine comme de la dentelle : une cause d’échelle industrielleRien n’est normal ; tout est possible. Un homme une femme, un livre un jour, un acheté un offert, un de plus un de moins, un papa une maman, un flic une balle, un jeune une solution. Cheveux et pain. Tout est une arme par destination si toi ou la justice le veut. Casuistique et suivi des conséquences jusqu’au bout. Le côte à côte et le tête à tête sont interdits sauf si vous êtes amis.
Tout est possible (peu de gens le savent) ; rien n’est normal (tous en sont convaincus).
Et aucun écart plus grand ne peut être pensé.
Est-ce qu’il se passe quelque chose (live-text)
Vaincre l’aboulie
Vaccins Covid Vaccin Moderna Psychologie/Développement personnel Je | n’arrive pas à vouloir | apprendre le monde. |
et toutes les villes comptent ces violences du petit peuple difficile de faire vivre toutes ces formes sociétales ensemble. Gouvernance d’amateurs qui | n’arrive pas à vouloir | comprendre les malaises de notre société. |
Aujourd’hui , chacun viens avec sa folie, son bon sens, sa timidité, sa valeur, sa tendance… Même si la majorité | n’arrive pas à vouloir | partager la vision d’autrui. J’crois que c’est un gros frein pour certains qui sont pas habitué à avancer avec le caractère des autres. |
Et l’on connaît l’analyse décisive de saint Augustin sur cette liberté qui | n’arrive pas à vouloir | . |
Bien que je sache qu’il y a un malheur en vue, le seul fait d’être attachés à la même corde le donne l’illusion d’une entente entre nous deux. C’est une erreur mais je | n’arrive pas à vouloir | du mal à cette femme qui est en train de me trahir. |
À l’issue, Xavier Bertrand affiche un discours plutôt pacifique : « Je ne suis toujours pas macroniste, mais je | n’arrive pas à vouloir | être dans une guerre de tranchée. » Après, lorsque l’on égrène un à un les dossiers avec lui, les coups de griffes du chat Bertrand sont plus nombreux que les caresses. |
Écriture basique, des situations auxquelles on | n’arrive pas à vouloir | croire, des personnages lisses. |
finit par se donner les motifs de ne rien faire. Il | n’arrive pas à vouloir | , il rumine une incessante analyse de lui-même et de la réalité qui le maintient en dehors de toute volonté. |
Je | n’arrive pas à vouloir | détruire quelqu’un que je connais pas juste parce qu’il me le demande. |
Et donc je n’arrive pas à penser des choses heureuses je | n’arrive pas à vouloir | je n’arrive pas à me définir je n’arrive. |
Dans son genre, cet autre univers est au moins aussi intéressant que le nôtre et on | n’arrive pas à vouloir | sa destruction. |
Quelque part, ce couple est prisonnier de son destin et de son époque, il | n’arrive pas à vouloir | véritablement quelque chose. |
Que si un de ses potes se fait mal ou est malade, c’est sur lui qu’on comptera. Il le sait et | n’arrive pas à vouloir | du mal aux autres. Il n’arrive pas à souhaiter la blessure ou le forfait d’un copain, et pourtant, qu’est-ce qu’il aimerait le jouer ce match. Mais il le savait, il s’en doutait et il était prêt. |
C’est plus vrai que jamais en ce moment, on | n’arrive pas à vouloir | se séparer de ceux qui nous appauvrissent tout les jours un peu plus ! |
Je | n’arrive pas à vouloir | découvrir leur musique que je ne connais malheureusement pas. |
Harper est très convaincant lorsqu’il dit ce genre de trucs. Et c’est vrai qu’ici notre esprit change, au plus profond. L’auteur du journal intime ne cesse d’évoquer son grand dilemme. Il n’arrive pas à se concentrer sur sa respiration. Il | n’arrive pas à vouloir | arrive pas à vouloir se concentrer. Ta vie est un échec. Une série de mauvaises décisions. Il se déteste. Des choses à régler. |
Si je | n’arrive pas à vouloir | ce que je veux ! C’est que je manque d’imagination ! C’est que le circuit du vouloir m’échappe ! |
On arrive au malaise dans la relation quand les normaux soit font comme si l’autre était comme eux, soit l’ignorent car | n’arrive pas à vouloir | voir sa différence. Comme on met souvent la personne stigmatisée dans cette situation de malaise, elle a toutes les chances de devenir la plus habile à la manier. |
J’aimerais pouvoir | arriver à vouloir | croire que je ne suis pas le seul. |
Je dois écrire sinon je ne saurai jamais où est la réalité. J’ai pas mal. Je comprends tout mais je | n’arrive pas à vouloir | ce que je pense. Je sais qui j’étais. Je sais ce que je deviens, mais je ne sais pas pour combien de temps. |
Osons écrire que n’est pas comme l’âne de Buridan qui veut. Oui c’est osé car justement, l’âne de Buridan n’arrive pas à vouloir. Et arriver à vouloir être un être qui | n’arrive pas à vouloir | c’est vraiment fort, n’est-il pas ? |
Elle m’a demander jusqu’où j’irais et elle m’a dit que pour elle c’était une façon de mettre fin à mes jours. Je le sais mais je | n’arrive pas à vouloir | arreter, c’est comme si cette solution me convenait et en même temps il y a mon fils mais je préfère ne pas penser à l’après, a lui pour continuer mon autodestruction. |
Face au juge d’instruction, elle eut cette phrase que l’avocat général souligne à plusieurs reprises : « J’ | arrive pas à vouloir | . » La psychologue qui la suit depuis bientôt deux ans explique que le viol est venu s’ajouter aux maltraitances de l’ex-belle-mère. |
Puis, c’est venu comme ça. Et il n’est pas peu fier du résultat. Bruno ne sait pas très bien ce qu’il veut faire plus tard. Il | n’arrive pas à vouloir | quelque chose de loin. Il préfère se satisfaire de ce qu’on a maintenant. |
Pardon mes amis, vous êtes morts par ma faute, je | n’arrive pas à vouloir | le tuer, pour la première fois de ma vie, je vais fuir, pardonnez-moi d’être aussi faible ! |
j’ai le cerveau fait pour ça visiblement, mes bonnes notes dans le domaine me disent que c’est bon, je peux y arriver. Mais je n’y arrive pas, je | n’arrive pas à vouloir | , c’est trop dur de se forcer, d’imaginer une vie de travail à attendre le week end pour se défouler, boire, se droguer, s’abîmer, oublier puis retourner se tuer un peu plus pour avoir de quoi survivre. |
Malgré des baisse de production (en terme de porcs mis en marché), le marché | n’arrive pas à vouloir | se débarrasser des inventaires (Cold storage) encombrant des derniers mois. |
Déjà, il sait. Irrémédiablement, il a choisi : le 23 juillet, il se donnera la mort. Parce qu’il | n’arrive pas à vouloir | ni à désirer, parce qu’il a peur, parce qu’il n’arrive à mettre la main sur rien. |
Il a beau être parfois dégueulasse, je | n’arrive pas à vouloir | sa mort (heureusement, il meurt pas). Je peux juste me dire : Chaos, t’es trop cool. |
Mais il y a de ces situations ou le désir de l’un n’est juste pas compatible avec le désir de l’autre. Peu importe les arguments on | arrive pas à vouloir | la même chose. Tu trouves que l’exemple de l’avortement est un peu fort, moi je le trouve au contraire très pertinent. |
j’ai pourtant l’impression de ne pas être difficile et d’aimer beaucoup de chose mais force est de constater que je dois l’être ! Mais malgré ces déceptions je | n’arrive pas à vouloir | autre chose que des surprises,et je crois plus profondément que c’est l’envie d’être rassurée en me disant « lui au moins il me connait par coeur…… » |
elle perçoit que ça ne va pas, elle veut s’en sortir, regrossir, mais a tellement peur de perdre le contrôle qu’elle | n’arrive pas à vouloir | ce changement. Elle est coincée dans cet état de grand contrôle. |
C’est pas Dieu, c’est pas toi, c’est pas nous, c’est pas eux / C’est bien moi qui | arrive pas à vouloir | la lueur dans tes yeux / J’étais passagère dans ta vie, j’savais que j’avais pas d’avis |
Alors que d’une part, il réalise et magnifie l’amour, d’autre part il s’en dissocie forcément, soit qu’on | n’arrive pas à vouloir | celui qu’on aime, soit qu’on a besoin de vouloir d’autres femmes et d’autres hommes. |
Et si on ne le fait pas, on fait gagner et prospérer le mal, parce qu’on a refusé ce que Dieu veut nous donner et parce qu’on | n’arrive pas à vouloir | comme lui le triomphe de l’amour chez tous ses enfants. |
Le fait est que je l’adore, on est sur la même longueur d’ondes, on a les mêmes délires blabla, il est très attirant, mais j | ’arrive pas à vouloir | de lui. je n’ai absolument aucune idée de ce qui me bloque. |
Pourquoi je | n’arrive pas à vouloir | le bonheur et croire en mon ex, que je pense pervers narcissique ou du moins toxique, qui avance et a des projets ? |
par ce que si t’es une femme en mal d’enfant, tu pourrais aussi être mon mari, en mal de sa vie et du pourquoi il | n’arrive pas à vouloir | d’enfant… sauf que pour la fin du texte, chacun peut l’interpréter comme il veut ! |
je fais aucun effort pour contrôler ça donc c’est pas du contrôle ni du sang froid, j | ’arrive pas à vouloir | de mal au autre, parfois oui, mais seulement quand ça touche d’autre personne ou que c’est une injustice |
Il doit avoir des blocages qui font qu’il | n’arrive pas à vouloir | s’engager avec vous. Il peut ne pas être prêt, mais la plupart du temps cela veut surtout dire qu’il ne vous voit pas comme la femme de sa vie… |
on a essayé une séance de thérapie de couple… en vain car je | n’arrive pas à vouloir | réparer car je suis déjà partie… |
Ajd nous nous aimons comme jamais nous n’avons aimé d’autres personne nous sommes si heureux quand nous sommes ensemble et lui | n’arrive pas à vouloir | franchir le pas… Ajd je ne crois plus en rien… |
Depuis le temps, j’ai l’habitude, je ne changerai plus. Mais même quand on me met à terre, je | n’arrive pas à vouloir | faire du mal à l’autre. Je n’ai pas l’esprit de vengeance, du tout. C’est ainsi. Je n’arrive pas à me défendre. |
Par exemple, on peut lui dire avec sincérité : « Seigneur, je | n’arrive pas à vouloir | obéir à tes commandements » ou « Au fond de moi, je souhaite faire ta volonté. Mais en pratique, je ne suis pas assez motivé(e)… ». |
Tout
Le club
CLUB (de l’anglais : « bâton », « société »)
1. Lieu procurant à une assemblée choisie des garanties d’échanges et de rapports privés, confidentiels voire intimes. Par extension : établissement nocturne où l’on peut consommer, danser, assister à un spectacle, nouer et entretenir des relations sexualisées (un club libertin, un club échangiste, Cavern Club, Hundred Club). Par ext. : lieu ou structure, public ou associatif, intra- ou extra-institutionnel, dont les missions sont en général de soutien psychologique ou d’accompagnement administratif, et qui accueille uniquement en journée (le club de jour de l’hôpital psychiatrique, Club extra-hospitalier Antonin-Artaud).
2. Association dont les membres ont quelque goût, intérêt ou but communs, et qui admet de nouveaux membres le plus souvent par élection ou cooptation, après parrainage. Par ext. : société sportive (un country-club, le Club alpin français). Hist. : instances informelles, nées dans les années 1980, et financées par des acteurs privés, réunissant des parlementaires et des représentants d’intérêt (ou lobbyistes) dans le but de faire accéder les uns aux raisons des autres (Club des parlementaires amateurs de havanes, Club Chiens et société, Club de l’accession à la propriété en région PACA, Club du dernier kilomètre de livraison, Club Vive le foie gras).
3. Société où l’on s’entretient des affaires publiques ou de questions philosophiques et politiques. Hist. : entre 1789 et 1793, sociétés dites « populaires » où sont discutées les idées révolutionnaires (Club des Cordeliers, des Impartiaux, des Jacobins). Par ext. : groupe qui professe des opinions exaltées (Club de Rome).
4. Société fermée ; groupe dont les membres se retrouvent régulièrement et obéissent à certains usages. Par ext. : cercle élitiste ou d’inspiration aristocratique (Reform club, Rotary club).
Dérivés. Cravate club : cravate dont le motif indique l’appartenance à un club. Fauteuil club : fauteuil de cuir large et profond, tel qu’il s’en trouvait dans les clubs de la haute-société coloniale. Clubbable : admissible à un club. Clubber : aller se divertir dans un club de nuit. Clubard : supporteur fanatique d’un club de football. Country-club : club où s’exercent des activités récréatives de plein air telles que le golf, le polo, le tennis ou l’équitation. Club-house : lieu où se rencontrent les membres d’un club, en marge de l’activité principale de celui-ci. Pavillon-club : bâtiment offrant divers services aux membres d’un club sportif ainsi qu’à leurs invités.
Syntagmes. Appartenir, s’inscrire, adhérer à un club. Être membre, faire partie d’un club. Être admis, aller, passer la soirée au club. Fonder, former, (faire) fermer un club. Les réunions, les décisions du club. Faire honneur, faire honte, se dévouer, inviter à dîner au club. Faire asseoir quelqu’un dans son club. Organiser un match, une rencontre inter-clubs.
Locutions. Bienvenue au club ! : expression par laquelle on signifie partager le malheur de son allocutaire (Tu es rongée par l’eczéma depuis ta tendre enfance ? Bienvenue au club !).
Étymologie. A – Le passage, en anglais, d’un sens (« gros bâton noueux dont une extrémité est plus épaisse que l’autre ») à l’autre (« groupe de personnes ») reste difficile à expliquer. Admis que le second procède du premier, celui-ci pourrait s’originer dans un sens zéro (« masse, agrégat »), lequel, sans avoir nécessairement eu cours, participerait du sens premier. Encore aujourd’hui, hormis sur un green et encore, ne reçoit le nom de club qu’un bâton d’une densité et d’une taille qui permettent d’envisager frapper à son moyen. Cf. l’emploi du verbe « to club », qu’il s’agisse de décrire la descente d’une bande à battes ou l’œuvre policière (lors des émeutes de 2011 en Angleterre, un journaliste écrivit que la police, tétanisée par une possible accusation de racisme, n’avait pas « donné aux pillards la leçon qu’ils méritent », en « les assommant comme des bébés phoques » [clubbing these looters as baby seals]). De là, le second sens pourrait procéder d’une comparaison, plus ou moins sourde, entre un regroupement de personnes et la masse d’un gourdin ou d’une massue. Ce que club, suivant ce filon étymologique, désignerait sourdement, c’est donc une sorte d’agence collective capable d’impact. B – Il existe une étymologie concurrente, selon laquelle club, de l’anglo-saxon cleófan (angl. mod. : « to cleave asunder », fr. : « diviser en pièces/en morceaux, cliver, séparer »), a en premier lieu connoté non la masse ou le gourdin mais leur effet – fracturation, division interne. Le français en conserve une trace, à la fois sur le mode distinctif (le club comme poche, parcelle du monde) et répartitif (le club comme ensemble auquel on appartient à raison de sa participation).
depuis que s’est constituée
en club
une ancienne association de
personnes physiques isolées
qu’unissaient déjà dans le monde
sans qu’elles en fussent conscientes et pussent
s’en soutenir
des valeurs, des soucis, des doutes :
des raisons personnelles qu’on peut
par souci de clarté
et pour se faire plaisir
regrouper sous le nom
de force de rapports.
une foison de tendances et d’inclinations :
de raisons personnelles
qu’entretenaient en commun mais
sans le savoir et sans pouvoir
s’y retrouver
des personnes physiques isolées
physiques donc isolées.
Les sources d’étonnement réduisent
Le mal (Anne Boyer)
Ça va faire mal : ça ne fait jamais pas mal. Ça viendra forcer nos poitrines et ça entrera par ici. Il y a des jours, ça fera mal et ce sera le sort ; d’autres jours, ça passera par aucun agent spécifique ; et, des fois, c’est quelqu’un qui en sera la cause. Par exemple quelqu’un trébuche, renverse sur nous tout le mal qu’il avait dans les bras. On se regarde effarés. Il y a du mal partout, sur tout le monde, et tout le monde a les yeux pleins de larmes.
Quelqu’un nous jettera un regard ou plusieurs et décidera qu’on a mérité que ça fasse mal. À notre tour on lui jettera un regard, comme on balance une question ou comme on jette un sort. On dira : Est-ce que ce sont mes mots, ou leur agencement, qui t’amènent à vouloir pour moi ce qui fait mal ? Ou est-ce que c’est mon corps ? Est-ce que tu veux te venger de la façon dont mes yeux s’allument, dont mon corps se tend quand les rayons du soleil l’atteignent sous un certain angle ? Comment oses-tu ! et Qu’est-ce que tu croyais ?!
Des fois, ceux qui nous causent du mal tenteront de se justifier, et qu’ils le fassent ou non ce seront leurs méthodes pour causer davantage de mal.Continuer